On continue notre feuilleton de l’été avec Marie et Nicolas, maintenant âgés tous deux de 40 ans. Bien qu'ils ne soient pas particulièrement inquiets concernant leur manière de gérer leurs finances, ils estiment qu’il serait bon de mettre à plat leur façon de gérer leur épargne. Faut-il déjà anticiper la retraite ? Comment préparer l’avenir de leur enfant ? Avec une carrière déjà riche en accomplissements, comment diminuer la charge fiscale qui pèse sur leurs revenus ?
Dans le 1er épisode de notre feuilleton de l’été, Marie et Nicolas réfléchissaient à acheter leur résidence principale. A 40 ans, leurs préoccupations ont évolué. Ils s’interrogent notamment sur leur retraite. Marie et Nicolas ont le désir commun de passer leur retraite sous le soleil. Très hésitants encore sur la destination, ils ont surtout un pays en tête pour profiter pleinement de cette nouvelle étape de leur vie : le Portugal. Le soleil, la mer et la proximité avec la France sont déjà trois critères qui leur sont importants. Autre critère, le coût de la vie bien moins élevé au Portugal. Même si le coût de la vie est moins élevé, le couple souhaite anticiper la préparation de leur retraite. Jusqu’à présent, le couple n’y avait pas songé, « la retraite, on a le temps donc on verra plus tard ». La quarantaine juste entamée, épargner en vue de leur retraite est un objectif qu’ils souhaitent mettre en place dès cette année. Il faut dire que l’un comme l’autre, ils gagnent bien leur vie et peuvent se permettre de réserver une certaine somme à la préparation de leur retraite.
Marie est directrice des ressources humaines dans une grande entreprise pharmaceutique, tandis que Nicolas est consultant en data science dans une société de conseil. Marie est rémunérée 75 000 € bruts par an et Nicolas, 65 000 €. À eux deux, ils gagnent 140 000 € par an.
Après s’être renseignés, ils souhaiteraient se tourner vers le Plan d’Epargne Retraite (PER), une enveloppe d’épargne spécialement dédiée à la préparation de sa retraite. En effectuant des versements dans un PER, l’épargne placée sera bloquée (sauf pour des cas de déblocage anticipé) pour fructifier jusqu’à l’âge de la retraite. Le PER permet d’investir son épargne sur plusieurs supports d’investissement allant de supports à capital garanti mais peu rémunérateurs à des supports plus risqués mais potentiellement plus rémunérateurs. Marie et Nicolas comptent également profiter de l’atout fiscal du PER. Les versements dans un PER sont déductibles de leurs revenus imposables dans les limites légales. Comme il s'agit d'un produit de déductions fiscales, la réduction dépend de la tranche marginale d'impôt (TMI), et va ainsi de 11 % à 45 %. Avec leur niveau de revenu, Marie et Nicolas sont imposés au taux marginal d’imposition de 30 %. Les versements réalisés dans le PER permettront ainsi de réaliser une économie d’impôt égale à 30 % des versements. Si tous les mois, le couple décide d’investir 200 € chacun dans un PER, ce qui représente 4 800 € par an en tout, ils réaliseront une économie d’impôt annuelle de 1 440 €. S’ils réinvestissent l’économie d’impôt, ils feront davantage fructifier leur épargne.
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Le hic, comment vont-ils faire pour choisir les supports d’investissements les plus adaptés pour eux ? Et surtout, vont-ils penser à faire des arbitrages quand c’est nécessaire ? Marie et Nicolas le savent, il ne vaut mieux pas compter sur leur capacité à bien choisir les supports et surtout, la retraite c’est encore loin et ils ne veulent pas « s’embêter » à gérer leur épargne retraite quand il est possible de confier cette tâche à un professionnel qui sait ce qu’il fait.
En faisant le choix de la gestion pilotée, Marie et Nicolas n’auront même pas à se soucier de l’allocation de leur épargne. Ils confient la gestion de leur contrat à un professionnel qui se charge de la répartition de l’épargne et des arbitrages entre les différents supports d’investissement. Ils auront juste à choisir leur profil investisseur (prudent, équilibré, dynamique ou audacieux) selon leur appétence au risque.
La retraite n’étant pas pour tout de suite, le couple estime qu’ils peuvent s’autoriser à placer sur des supports risqués pour viser un rendement élevé.
En versant 6 240 € par an (4 800 € de versements + 1 440 € d’économie d’impôt) dans un Plan d’Épargne Retraite (PER) avec un taux de rendement annuel de 9 % (ce qui correspond à un profil dynamique), le capital obtenu après 24 ans serait de plus 365 000 €, une somme leur permettant d’envisager sereinement leur retraite.
Bien sûr, au fur et à mesure que la retraite approche, le couple pourrait aussi envisager d’augmenter le montant des versements mais aussi modifier le profil de la gestion pilotée en passant notamment à un profil prudent à quelques années de la retraite.
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Si le PER permet d’alléger la pression fiscale qui pèse sur leurs revenus, Marie et Nicolas souhaite davantage réduire leurs impôts.
Le FIP Corse est un fonds d’investissement qui vise à soutenir les petites et moyennes entreprises (PME) situées en Corse. En contrepartie de leur investissement, Marie et Nicolas bénéficieraient d'une réduction d'impôt sur le revenu de 30 % du montant investi, une des plus élevée du marché. L’investissement doit être conservé pendant une durée minimale pour bénéficier pleinement de l’avantage fiscal.
En investissant 24 000 € dans un FIP Corse, Marie et Nicolas obtiennent une réduction d’impôt de 7 200 € (la réduction d’impôt maximum pour un couple) qui s’appliquera sur l’impôt à payer l’année suivante.
À savoir : investir dans un FIP Corse implique de bloquer l’épargne investie pendant un certain temps. C’est une contrepartie nécessaire pour profiter de la réduction d’impôt. Le FIP Corse est donc à envisager dans le cadre d’une stratégie d’investissement à long terme. Le blocage des fonds peut être compris entre 5 et 10 ans.
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Le FIP Corse est certes une solution de défiscalisation intéressante mais c’est aussi un placement potentiellement rémunérateur. Vous investissez dans des PME corses et en contrepartie des fonds investis, vous profitez d’une réduction d’impôt mais vous profitez aussi des performances des entreprises présentes dans le FIP. Investir dans un FIP présente donc un risque de moins-values. Du fait de l’avantage fiscal, les potentielles moins-values peuvent être compensées par l’économie d’impôt réalisée. Bien sûr, là n’est pas l’objectif visé, celui-ci étant de profiter de la réduction d’impôt et d’une plus-value hors avantage fiscal.
A noter : Actuellement, le FIP Corse permet d’obtenir une réduction d’impôt de 30 %. Pour les fonds arrivés à leur terme, la réduction d’impôt s’établissait quant à elle de 38 % à 50 % (contre 30 % actuellement). Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.
Ci-dessous l’historique de performance des 6 fonds Kallisté Capital, commercialisés par Vatel Capital, arrivés à leur terme* :
Sur l’hypothèse d’un scénario conservateur dans lequel le couple récupère la totalité de la somme investit au bout de 8 ans, soit 24 000 €, mais que l’investissement n’est généré aucune plus-value, alors le taux de rendement interne est de 4,5 % net de frais et de fiscalité.
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Planifier l'avenir financier de ses enfants est une préoccupation majeure pour de nombreux parents. Marie et Nicolas n’ont qu’un seul enfant de 5 ans et il est déjà question de lui laisser un petit pécule pour l’aider à démarrer sa future vie d'adulte. Dès ses 18 ans, cette somme d'argent l'aidera alors à financer ses études, acheter sa première voiture ou louer son premier logement. Plusieurs solutions s'offrent à Marie et Nicolas pour constituer cette épargne. Parmi les options qui s’offrent à eux : le Livret A, le Plan d’Épargne Avenir Climat (une nouveauté de cette année) et l'assurance-vie.
Le livret A
De façon quasi-automatique, beaucoup de parents ouvrent un livret A pour le compte de leur enfant. Accessible (il suffit souvent d’un petit billet pour l’ouverture du livret), défiscalisé (pas d’impôt et donc rien à déclarer) et simple à abonder, le livret A est souvent plébiscité. Son taux est d’ailleurs encore à 3 %, un taux intéressant pour un placement à capital garanti. En revanche, ce taux devrait être révisé à la baisse à partir du mois de février 2025 et le livret est soumis à un plafond de 22 950 €.
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Le PEAC
Autre placement spécialement dédié aux jeunes : le PEAC. Dans l’objectif de remplacer le PER pour les mineurs, le Plan d’Epargne Avenir Climat (PEAC) a été lancé le 1er juillet 2024. À mi-chemin entre un livret d’épargne réglementée et le PER, le PEAC permet d’investir dans des supports qui contribuent au financement de la transition écologique. En choisissant ce placement, l’épargne placée dans un PEAC sera bloquée jusqu’aux 21 ans de leur enfant et comme pour le livret A , le PEAC est plafonné à 22 950 €.
L’assurance-vie
Marie et Nicolas pourrait bien jeter leur dévolue sur l’assurance-vie pour constituer l’épargne de leur enfant. Avec l’assurance-vie, de nombreux supports sont proposés pour investir dans l’immobilier (SCPI, OPCI, SCI), les marchés actions, les obligations, le Private Equity… Cette enveloppe d’épargne qui offre bien plus de flexibilité a d’autres atouts :
• Programmation des versements : Marie et Nicolas peuvent programmer les montants et la fréquence des versements dans le contrat.
• Disponibilité de l'épargne : ils ont accès à l'épargne à tout moment,
• Fiscalité avantageuse : la fiscalité sur les gains est avantageuse si le contrat est détenu depuis plus de 8 ans.
• Gestion pilotée : en choisissant ce mode de gestion, Marie et Nicolas confieraient la gestion du contrat à un professionnel qui s’occupe de placer et d'ajuster les investissements en fonction des objectifs et du profil de risque choisi (prudent, équilibré, dynamique ou audacieux).
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Enfin, grâce à un pacte adjoint, Marie et Nicolas pourront conserver un certain contrôle sur l'épargne accumulée pour leur enfant. Par exemple, il permettra de bloquer l’épargne jusqu’à un certain âge (entre 18 et 25 ans) ou permettra de définir une obligation d’emploi de l’épargne à son déblocage (le financement des études, l’achat d’une résidence principale ou d’une voiture).
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Marie et Nicolas se décide alors pour l’assurance-vie qui offre bien plus de flexibilité et permet de cadrer le déblocage et la façon d’utiliser l’épargne. Comme pour leur PER, ni Marie, ni Nicolas n’y connaissent grand-chose concernant les supports d’investissement accessibles au sein d’un contrat d’assurance-vie. Ils préfèrent donc confier la gestion du contrat à un professionnel. En choisissant un profil équilibré, ils peuvent envisager un taux de rendement interne de 6 % par an. Tout ce qui leur incombe, c’est quel montant versé dans le contrat et à quelle fréquence. En mettant en place des versements programmés, ils n’auront à le faire qu’une seule fois et ils pourront bien sûr modifier le montant ou la fréquence des versements programmés quand ils le souhaitent.
En versant 200 € tous les mois dans un contrat d’assurance vie avec un TRI de 6 % jusqu’à la majorité de leur enfant (soit pendant 13 ans), le capital obtenu sera de 45 317 €.
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* Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Vous devez prendre connaissance des facteurs de risques de ce fonds d’investissement décrits à la rubrique « profil de risque et de rendement » du Règlement.
Contrairement aux fonds en euros à capital garanti (brut de frais de gestion), les Unités de Compte (SICAV, FCP, SCPI, SCI, OPCI, EMTN, Trackers, Titres Vifs, FCPR…) ainsi que les supports en parts de provision de diversification ne garantissent pas le capital versé et sont soumis aux fluctuations des marchés financiers et immobiliers à la hausse comme à la baisse. L’assureur s’engage sur le nombre d’Unités de Compte ainsi que sur les parts de provision de diversification et non sur leur valeur qu’il ne garantit pas. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Par conséquent nous vous recommandons de prendre connaissance des documents réglementaires (prospectus, DICI, DIS…) avant toute décision d’investissement.
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