Jeudi 04 octobre

2,3 %. C'est le taux d'inflation sur un an selon l'INSEE. On n'est pas (encore) aux niveaux d'avant crise de 2008, mais cette hausse a une particularité importante : elle se fait dans un environnement de taux qui restent bas. Et donc de rendements annuels des placements sans risque (Livret A, assurance-vie) inférieurs à la hausse des prix. Comment éviter que votre épargne ne vous fasse perdre de l'argent ? Nos conseils...

Inflation et rendement réel

L'inflation est de retour. Selon les dernières statistiques de l'Insee, les prix à la consommation ont augmenté de 2,3% en août. L'indice des prix à la consommation a augmenté fortement en raison de l'évolution des prix des produits alimentaires, des services et de l'énergie, avec des prix du pétrole et du gaz qui ont largement pesé sur la consommation en France. Toutefois, les projections de la Banque de France tendent à sacrer cet été 2018 comme étant un pic atteint pour l'année en termes de niveaux de prix. D'après les projections de la Banque de France, les prévisions d'inflation devraient atteindre +2,1% pour 2018, +1,7% pour 2019 et +1,8% pour 2020.

Nous ne sommes pas dans des niveaux d'inflation élevés. L'inflation atteint 2,7 % aux États-Unis, 3,4 % en Norvège, 4 % au Brésil et 5 % en Afrique du sud. En Turquie, on connaît actuellement une vraie crise inflationniste avec un taux de 15 % sur un an. Des chiffres jamais connus en France depuis la fin de la seconde guerre mondiale, même si on s'en est approché (13%) pendant la récession du début des années 1980.

2 % d'inflation, ce n'est donc pas un niveau inquiétant. Mais cette hausse a la particularité très importante qu'elle se fait, pour l'instant en tout cas, dans un environnement de taux qui restent bas. Le taux de l'OAT, les emprunts de l’État français à 10 ans, reste à un niveau historiquement très faible, sous les 0,8 %. Les taux monétaires (EONIA et Euribor) restent proche de 0 %. Et qui dit taux bas, dit rendements bas des placements monétaires.

À commencer par le Livret A. Le livret préféré des Français a été pendant longtemps présenté comme le rempart contre l'inflation. Logique : son taux était calculé en prenant compte la hausse des prix à la consommation. D'ailleurs, si depuis 2015, le rendement du Livret A est scotché à 0,75 %, c'est bien parce que les taux et l'inflation restaient à des niveaux historiquement bas.

Avec la hausse de l'inflation, peut-on espérer une hausse du rendement du Livret A ? Absolument pas : le nouveau gouvernement, qui n'aime pas le livret A et veut orienter l'épargne des français vers de placements plus « productifs», a pris deux mesures très défavorables au livret préféré des Français : Le gel, tout d'abord, de sa rémunération à 0,75 % jusqu'au 1er février 2020. Et l'entrée en vigueur, à cette date, d'une nouvelle formule de calcul. Une formule de calcul qui donne la possibilité d'un taux inférieur à l'inflation, ce qui n'était pas possible jusque là.

Avec un rendement de 0,75 % en 2018 et 2019 et une inflation autour des 2 %, le rendement réel du livret A est donc de -1,25 %. Il ne protège donc plus de l'inflation.

En plaçant 1000 euros en janvier 2018 sur le Livret A et en les retirant fin 2019, vous pourrez acheter moins de choses qu'en janvier 2018. Votre épargne a perdu 2,5 % de sa valeur. Votre pouvoir d'achat a diminué. Pas ce qu'on attend d'un placement sans risque...

La chasse aux rendements

L'assurance-vie permet-elle de protéger, sans risque, contre l'inflation ?

Selon la FFA, les fonds en euros de l'assurance-vie on rapporté 1,8 %* en 2017. Soit 1,49 % nets de prélèvement sociaux. 1,26 % si on prend la flat tax de 30 % (en cas de rachat). Et les experts s'attendent à une nouvelle baisse, légère, en 2018. Des niveaux qui ne permettent donc pas de se prémunir d'une hausse des prix à la consommation, même si on est au-dessus du rendement du Livret A.

De très nombreux fonds en euros n'offrent donc pas une bonne protection contre l'inflation. C'est d'autant plus vrai que la majorité des fonds placés en assurance-vie le sont dans des contrats « grand public » et « de réseaux bancaires ». Des contrats qui prennent des frais d'entrée, et dont les rendements sont souvent inférieurs à la moyenne nationale.

La sélection du meilleur contrat est donc indispensable si on ne veut pas que son épargne perde de la valeur à cause de l'inflation. Bannissez d'ores et déjà tous les contrats qui prennent des frais d'entrée. Même lorsque votre banquier vous « fait une fleur » et abaisse ces frais de 3 à 1 %. Les frais d'entrée affectent directement le rendement de votre contrat et vous allez mettre de nombreuses années à rattraper ce coût, même avec un fonds euros performant.

Recherchez ensuite les fonds en euros qui ont fait plus que la moyenne en 2017. Car il y a de grandes chances que ce soit les mêmes qui dépassent la moyenne en 2018. Et idéalement, privilégiez les contrats qui proposent deux fonds en euros. Cela vous permet d'avoir plusieurs solutions et de changer si votre fonds en euros devient moins performant.

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L'immobilier, arme anti-inflation ?

Face aux faibles rendements réels des placements financiers réputés garantis, l'immobilier apparaît comme une bonne solution pour éviter la perte de valeur réel de son patrimoine.

La pierre est réputée comme un bon rempart contre l'inflation. Historiquement, les prix immobiliers sont plutôt corrélés à l'inflation. Par ailleurs, l'inflation n'affecte pas le rendement réel d'un placement immobilier : L’indice de référence des loyers étant indexé sur l’indice des prix à la consommation, les propriétaires bailleurs peuvent donc choisir de corréler leurs loyers à l’inflation.

La protection contre l'inflation est encore plus importante pour les SCPI (sociétés civiles de placement immobilier) qui permettent aux particuliers d'investir dans une part d'un parc immobilier (et de toucher les loyers à hauteur de leur participation). Les SCPI sont investies en quasi-totalité dans de l'immobilier tertiaire (bureaux, commerces, centres commerciaux, murs d'hôtels, entrepôts, locaux d'activités, établissements de santé ou d'éducation…). Il s'avère que les baux signés entre les locataires et les SCPI prévoient une clause d'indexation des loyers. En d'autres termes, lorsque l'inflation augmente, les loyers augmentent et les associés porteurs de parts de SCPI ne voient pas leur pouvoir d'achat écorné. Ainsi, en percevant davantage de loyers, la SCPI peut verser davantage de dividendes.

Certes, l'immobilier n'apporte aucune garantie et une hausse brutale de l'inflation pourrait affecter les prix. Mais à 2 %, l'inflation reste bien maitrisée.

Et toujours est-il qu'en 2018, l'immobilier semble être le seul placement qui a toutes les chances de faire mieux que l'inflation (2%). Ces SCPI notamment devraient bien performer en 2018 :

Corum Origin : La SCPI de Corum avait versé en 2017 un TDVM*** de 6,45 %***. Au premier semestre, la SCPI a déjà versé 3,29 % à ses porteurs de parts. De plus, le prix de la part a été revalorisé de 1,71 % au 1er juin. Soit une performance de 4,71 % en l'espace de six mois...

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PF Grand Paris : Au début de l'année 2018, nous avions insisté sur le potentiel de revalorisation de PF Grand Paris compte tenu du net différentiel entre la valeur de reconstitution et le prix de sa part. Ce pari s'est avéré gagnant ! Ainsi, les porteurs de parts ont vu leur part se revaloriser de 4,90% le 2 mai. L'an dernier, le TDVM était de 4,35 %*** avec un dividende de 20 euros versé à aux associés. Cette année, la société de gestion devrait continuer sur ces mêmes bases, deux acomptes de 5 euros (2 fois) ont déjà été versé au titre des premier et deuxième trimestre. La stratégie de la société de gestion pour PF Grand Paris peut conduire à de futures bonnes nouvelles pour cette SCPI.

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Novapierre Allemagne : La SCPI investi en Allemagne et choisit ses actifs précautionneusement comme les commerces de périphérie, au profil très sécurisé et de qualité. En 2017, elle a versé un TDVM de 4,71 %*** (soit 12 euros par part), dans un cadre fiscal ultra avantageux grâce à la convention fiscale entre la France et l'Allemagne (pas de prélèvement sociaux, crédit d'impôt sur l'IR à payer en France). 2018 s'annonce sur de mêmes bases avec deux acomptes de 3 euros (2 fois) versés au titre des premier et deuxième trimestre. Et cerise sur le Plâtzchen, la SCPI va revaloriser le prix de sa part, de 2 % au 1er octobre.

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Prendre des risques avec les actions ?

Les actions sont-elles un bon rempart contre l'inflation ? Deux écoles s'opposent : ceux qui arguent que les actions sont des actifs réels, et donc constituent une couverture naturelle contre l'inflation, les chiffres d'affaires des entreprises devant grimper avec la hausse des prix. Mais il y a ceux qui estiment que l'inflation va peser sur la demande, donc sur la croissance, et sur le coût du capital.

Toujours est-il qu'historiquement, achetez des actions offre une bonne garantie contre la hausse des prix.

Sur la durée, les placements en actions ont prouvé par le passé qu'ils étaient performants****. Si vous avez commencé à investir il y a 15 ans, vous avez déjà une belle performance derrière vous. Même si la crise de 2008 est passée par là.

Et si vous avez 10 ou 15 ans devant vous, vous allez forcément vivre des périodes difficiles pendant lesquelles il ne faudra pas paniquer et des périodes euphoriques pendant lesquelles il ne faudra pas s'emballer.

Évidemment, avant d'investir en actions, il faut être prêt à prendre des risques, et bien définir son profil de risque. Et d'abord votre objectif de rendement.

5% par an minimum ? Vous allez être obligé d'investir au moins 50 % en unités de compte. Et donc prendre des risques sur une partie de votre capital. Cela vous paraît trop ? Vous allez donc devoir revoir vos ambitions et n'espérer plus que 4 ou 3 % de rendement.

Tout est une question d'équilibre entre le risque et le rendement. Une fois que vous avez bien défini un couple rendement/risque réaliste, vous saurez quelle part vous êtes prêt à investir en unités de compte et quelle part laisser en fonds en euros.

MonFinancier a créé la gestion profilée MF étoilée, une solution financière clef en main, adaptée à vos objectifs et votre sensibilité au risque. Une solution combinant un choix de supports diversifié, objectif et pertinent, avec cerise sur le gâteau, les frais les plus bas du marché.

Pour construire notre gestion profilée, nos experts MonFinancier ont sélectionné les meilleurs fonds euros du marché, ainsi que plusieurs unités de compte***** (OPCVM actions) selon différents critères :

• Capacité pour chacun des fonds à générer de la surperformance sur la durée, par rapport à sa catégorie

• Optimisation du couple rendement / risque

• Historique de performance supérieur à 10 ans

• Diversification en termes de zones géographiques et styles de gestion

• Notations supérieures obtenues auprès des différentes agences indépendantes

• Stabilité des équipes de gestion

Cinq formules d'investissement adaptées à votre sensibilité au risque sont proposées. Vous devriez trouver chaussure à votre pied : Profil sécurité, profil prudent, profil équilibré, profil dynamique et profil offensif

C’est vous qui définissez le niveau de risque que vous voulez prendre !

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La diversification pour compléter le fonds euros

À l'heure actuelle, les épargnants ont confié plus de 3000 milliards d'euros en compte et livrets bancaire et dans le fonds euros de l'assurance-vie.

On ne peut pas aborder le prochain cycle économique de cette manière. D'autant qu'on se rend compte qu'il y a une bonne partie de cet argent qui n'est pas conjoncturelle (qui est placée avec des horizons long terme plutôt certains).

Il y a une nécessité pour les investisseurs prudents, en plus de bien sélectionner son fonds en euros (en faisant notamment attention aux frais), de substituer la garantie immédiate qu'offre le fonds en euros par un profil prudent, investi avec parcimonie en produits risqués, et qui va reconstituer la garantie en capital grâce au temps qui passe et recréer de l'espérance de gains.

Aujourd'hui, la garantie en capital a un coût important : celui de renoncer à un espoir de performance attractif même à long terme : vous ne pouvez pas espérer faire plus de 2% annuel sur 10 ans.



L'immobilier de rendement, les actions, ou encore les fonds patrimoniaux sont des placements réputés performants sur le long terme. En les cumulant au fonds en euros (qui reste selon nous le meilleur placement garanti) dans une allocation prudente (50% fonds euros, 20% immobilier de rendement, 20% fonds patrimoniaux et 10% actions), vous obtenez sur 10 ans une allocation qui reste très solide même lorsqu'on simule un scénario très pessimiste (voir le cas pratique ci-dessous), et qui conserve un espoir de rendement très attractif en cas de scénario optimiste.

Dans cette optique, on vous demande quand même de respecter trois règles :

Optimisez votre fiscalité, notamment en privilégiant pour vos placements financiers le cadre fiscal avantageux de l'assurance-vie, avec aussi les frais les plus bas.

• Déterminez votre horizon de placement. C'est le temps qui constitue votre garantie. Même si l'assurance-vie est parfaitement liquide, c'est en laissant la majorité des sommes fructifier pendant plusieurs années qu'on reconstitue la garantie et l'espoir de performance.

• Dans chaque poche (fonds euros, immobilier, fonds patrimoniaux, actions), appliquez-vous à sélectionner les meilleurs supports d'investissement. Nous sommes là pour vous accompagner.

Avec MonFinancier Retraite Vie, vous avez aussi un produit sans frais d'entrée, avec 2 fonds en euros performants et plus de 650 supports pour diversifier, et une fiscalité très douce sur les rachats.

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Exemple d'allocation prudente sur 250 000 euros :

• 125 000 (50%) : Fonds en euros sans frais d'entrée

• 25 000 € (10%) : Fonds actions sans frais d'entrée


• 50 000 € (20%) : Fonds patrimoniaux sans frais d'entrée


• 50 000 € (20%) : SCPI (frais de sortie 7%)

Scénario 10 ans très défavorable : baisse des actions et de l'immobilier

• Fonds en euros : 148680 € (1,75% nets de prélèvements sociaux par an)


• Actions : 12500 € (-50% sur 10 ans)

• 
Fonds patrimoniaux : 37500 € (-25% sur 10 ans)

• SCPI : 45000€ de parts (perte de 10%) + 10000 € de rendement (2% par an) – 3150 € (7%) de frais de sortie

Total : 250 530 € soit un rendement de 0,2% (+0,02% par an). Le capital est donc totalement préservé même en cas de scénario très pessimiste

Scénario 10 ans défavorable (1) : chute des actions

• Fonds en euros : 148680 € (1,75% nets de prélèvements sociaux par an)

• 
Actions : 12500 € (-50% sur 10 ans)


• Fonds patrimoniaux : 37500 € (-25% sur 10 ans)

• SCPI : 55230€ de parts (revalorisation de 1% par an) + 20000 € de rendement (4% par an) – 3865 € (7%) de frais de sortie.

Total : 270 045 € soit un rendement de 8% (+0,774% par an). Mieux que le Livret A...

Scénario 10 ans défavorable (2) : baisse de l'immobilier

• Fonds en euros : 148680 € (1,75% nets de prélèvements sociaux par an)


• Actions : 40000 € (+60% sur 10 ans)


• Fonds patrimoniaux : 70000 € (+40% sur 10 ans)

• SCPI : 45000€ de parts (perte de 10%) + 10000 € de rendement (2% par an) – 3150 € (7%) de frais de sortie

Total : 310530 € soit un rendement de 24% (+2,192% par an). Bien mieux que les fonds en euros des assurances-vie

Scénario 10 ans optimiste

• Fonds en euros : 148680 € (1,75% nets de prélèvements sociaux par an)


• Actions : 50000 € (+100% sur 10 ans)


• Fonds patrimoniaux : 85000 € (+70% sur 10 ans)

• SCPI : 67195€ de parts (revalorisation de 3% par an) + 25000 € de rendement (5% par an) – 4705 € (7%) de frais de sortie

Total : 371 170 €, soit un rendement de 48% (+4,031% par an). On retrouve une espérance de gain digne de ce nom

Au final, pour un profil prudent, le capital est totalement préservé en cas de scénario très défavorable et on retrouve une espérance de gain au dessus de 4% par an en cas de scénario optimiste.

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Communication non contractuelle à caractère publicitaire.

A la différence des fonds en euros, les Unités de Compte présentent un risque de perte en capital.

*Taux net de frais annuels de gestion, hors prélèvements sociaux et fiscaux. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps.

**Pour accéder au fonds en euros Suravenir Opportunités, chaque versement doit comporter au minimum 30 % en Unités de Compte, lesquelles présentent un risque de perte en capital.

*** TDVM : Le taux de distribution sur Valeur de Marché mesure le niveau de distribution historique. Il est la division du dividende brut avant prélèvement libératoire versé au titre de l'année N (y compris les acomptes exceptionnels et quote-part de plus-values distribuées) par le prix de part acquéreur moyen de l'année N. Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures. Les parts de SCPI de rendement sont des supports de placement à long terme (minimum 10 ans) et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Comme tout investissement, l'immobilier présente des risques :

- La baisse de la valeur du placement. Le capital investi dans une SCPI n’est pas garanti. La valeur de part d'une SCPI évolue dans le temps, en relation étroite avec l’état de la conjoncture de l'immobilier d'entreprise. Cette conjoncture suit des cycles successifs, avec des phases à la hausse et à la baisse.

- La diminution des revenus locatifs. Dans un contexte économique moins favorable, la baisse des revenus locatifs versés aux associés est due à la diminution du taux d’occupation financier et/ou à la baisse du montant global des loyers versés par les locataires. Cette baisse peut être toutefois atténuée par l’effet de la mutualisation des risques grâce à la diversification immobilière et locative du portefeuille de la SCPI.

- La liquidité. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution du marché de l’immobilier d'entreprise et du marché des parts de SCPI.

****Les support en unité de compte, en particuliers les fonds investis en actions, présentent un risque de perte en capital

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