Le CAC 40 a terminé la séance du jour en hausse de 0.89 % à 4 451 points, porté par le trio bancaire BNP Paribas, Société Générale et Crédit Agricole, lui-même dynamisé par la BCE qui vient de changer ses propres règles en matière de « collatéraux » éligibles pour obtenir des liquidités (mais nous y reviendrons plus tard). Outre-Atlantique, aussi, le Dow Jones et le Nasdaq évoluent en gain de plus de 1 %, pourtant les chiffres du jour frôlent la catastrophe. En Europe, l'indice PMI flash s'est notamment effondré à 13,5 en avril, signalant ainsi, et de loin, la plus forte contraction de l'activité globale enregistrée en plus de vingt ans d'enquête. Pour rappel l’indicateur était à 29.7 en mars. Aux États-Unis, le Département américain du Travail a recensé 4,4 millions de nouveaux inscrits aux allocations hebdomadaires au chômage.
DU VERT PARTOUT
Le CAC 40 a terminé la séance du jour en hausse de 0.89 % à 4 451 points, porté par le trio bancaire BNP Paribas, Société Générale et Crédit Agricole, lui-même dynamisé par la BCE qui vient de changer ses propres règles en matière de « collatéraux » éligibles pour obtenir des liquidités (mais nous y reviendrons plus tard). Outre-Atlantique, aussi, le Dow Jones et le Nasdaq évoluent en gain de plus de 1 %, pourtant les chiffres du jour frôlent la catastrophe.
En Europe, l'indice PMI flash s'est notamment effondré à 13,5 en avril, signalant ainsi, et de loin, la plus forte contraction de l'activité globale enregistrée en plus de vingt ans d'enquête. Pour rappel l’indicateur était à 29.7 en mars.
Aux États-Unis, le Département américain du Travail a recensé 4,4 millions de nouveaux inscrits aux allocations hebdomadaires au chômage.
POURQUOI LA HAUSSE DES BANCAIRES ?
BNP Paribas a dominé le CAC 40 cette séance en gagnant plus de 6 %, après l’annonce par la BCE, qu’elle s’autorisait à accepter comme « collatéral » des émissions obligataires tombées sous la notation « investment grade » et achètera des lignes classées en catégorie « spéculative » pour peu qu'elles aient été notées « A » ou « BBB » avant d'être dégradées par les agences.
ET COMME PAR HASARD
Demain, Standard & Poors pourrait faire basculer la notation de la dette italienne vers « BB ». Cette note signifie que la dette rentre dans une catégorie « spéculative ».
Ainsi, au final, la notion de risque n’existe plus. Et la notion de note a disparu
ET DU CÔTÉ DES PUBLICATIONS ?
Visiativ (présent dans notre portefeuille « Père de Famille Sportif ») a vu son activité progresser de 2% au premier trimestre à 42,3 millions €. Le chiffre d'affaires à l'international, quant à lui, a progressé de 20% (+11% en croissance organique). Pour découvrir cette société, n’hésitez pas à retrouver toute notre analyse dans notre portefeuille « Père de famille sportif ».
POUR PLUS DE PUBLICATIONS
N’hésitez pas à retrouver le recap' des publications des smalls dans le « Zapping des Smalls » du 22/04/2020 par Euroland Corporate. Il est consultable ici et pour tout savoir sur les smalls caps cotées en bourse, inscrivez-vous à la newsletter d’Euroland Corporate ici .