Vendredi 21 avril

Depuis maintenant plus d'un an, Christophe réside en Asie. Il est expatrié dans le cadre d'une mission professionnelle pour une grosse société de services dont il est salarié depuis dix ans. Concrètement, sa nouvelle situation professionnelle lui confère une capacité d'épargne de plus de 1 500 euros par mois. Il aimerait, comme certains de ses amis, faire l'acquisition d'un nouveau bien immobilier locatif. A des milliers de kilomètres, il n'est pas toujours évident de gérer son locataire, et sa copropriété. Contrairement aux idées reçues, il existe toutefois des solutions, même avec un statut d'expatrié.

Depuis maintenant plus d'un an, Christophe réside en Asie. Il est expatrié dans le cadre d'une mission professionnelle pour une grosse société de services dont il est salarié depuis dix ans. Après quelques années d'encadrement d'une équipe commerciale grand-comptes sur le marché français, Christophe s'est vu proposer un poste de direction à l'international, pour une durée d'au moins 7 ans. Une suite somme toute logique pour ce cadre supérieur issu d'une grande école, et la matérialisation d'un projet et d'une carrière professionnelle linéaire. Avec son épouse et ses 2 enfants, Christophe s'épanouit donc professionnellement et personnellement en dehors des frontières de l'hexagone.

Culturellement, les premiers mois ont été une réelle découverte d'un nouveau mode de vie, très éloigné des standards européens. Après une phase légitime d'adaptation, Christophe et sa famille sont bien intégrés, même s'ils se sont naturellement rapprochés des autres expat' de la ville.

Financièrement, la situation de Christophe est confortable. Ses revenus sont très robustes. Il bénéficie en sus des différents avantages contractuels souvent proposés aux expatriés : la prise en charge partielle de son logement, des indemnités pour la scolarité de ses enfants. Il dispose également d'un forfait annuel lui permettant ainsi qu'à sa famille de rentrer deux fois par an en France pour retrouver leurs proches.

| "A des milliers de kilomètres, il n'est pas toujours évident de gérer son locataire, et sa copropriété."

Concrètement, sa nouvelle situation professionnelle lui confère une capacité d'épargne de plus de 1 500 euros par mois. En outre, avec les différents avantages dont il dispose, les dépenses les plus importantes du foyers sont surtout liées aux voyages. En effet, dès qu'il a un peu de temps, Christophe utilise une partie de cette nouvelle manne pour sillonner le pays en famille et en découvrir toutes les facettes.

Christophe ne perd pas de vue la situation en France. Il connaît la faiblesse des taux de crédit, ainsi que la dynamique du marché immobilier. Il aimerait, comme certains de ses amis, faire l'acquisition d'un nouveau bien immobilier locatif. Mais il a déjà du mal avec son premier appartement à Bordeaux. A des milliers de kilomètres, il n'est pas toujours évident de gérer son locataire, et sa copropriété. Il a d'ailleurs dû prendre une prestation de gestion auprès d'une agence immobilière. Ce qui au passage grève un peu sa rentabilité.

| Profiter d'une forte capacité d'épargne pour financer des parts de SCPI* à crédit

Contrairement aux idées reçues, il existe toutefois des solutions, même avec un statut d'expatrié.

Christophe va opter pour un investissement dans la pierre papier. Il se donne la possibilité d'investir dans l'immobilier de manière diversifiée (bureaux, entreprises, commerces,.., en France et en Europe). Autre atout, ce véhicule d'investissement lui permet de s'éviter les soucis de gestion depuis l'étranger puisque les Sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) dans lesquelles il va investir sont directement gérées.

En cette période de taux bas, Christophe va donc utiliser l'effet de levier du crédit pour financer l'achat de ses parts de SCPI. Il se construit un patrimoine immobilier en remboursant le crédit avec l’aide des revenus de ses parts.

Données estimatives de l'opération :

Le montant de l'épargne mensuelle que Christophe va consacrer à son projet est d'environ 800 €

Montant investi à crédit : 250 000€

Loyers mensuels : 1 080€

L'impôt mensuel lié à cet investissement est de 110€

Effort d'épargne : 755 € / mois.

→ Au terme des 15 ans, le capital de Christophe sera de plus de 290 000 €*.

*Avec une hypothèse de revalorisation de 1% des parts des SCPI - Ces estimations sont nettes d'impôts, hors prélèvements sociaux.

A l'issue des 15 ans, Christophe aura la possibilité de bénéficier des revenus de ses parts de SCPI pour en faire un confortable complément de revenus au moment de sa retraite. Il pourra également s'il le souhaite, procéder à la vente de ses parts et en verser le fruit sur un contrat d'assurance vie (ouvert depuis plus de 8 ans). Il pourra effectuer des rachats partiels mensuels pour compléter sa retraite, avec une fiscalité adoucie.

Objectifs remplis pour Christophe : tout comme ses amis, il va bien profiter de l'univers des taux bas du crédit et de l'effet de levier. Sans rigidifier sa situation (aussi bien professionnellement que personnellement ), Christophe se construit malgré tout un patrimoine immobilier, sans les contraintes de gestion. Enfin la perspective de disposer de potentiels revenus complémentaires au moment de sa retraite, n'est pas pour lui déplaire...

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*Les parts de SCPI de rendement sont des supports de placement à long terme (minimum 10 ans) et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps.

Comme tout investissement, l'immobilier présente des risques :

- La baisse de la valeur du placement. Le capital investi dans une SCPI n’est pas garanti. La valeur de part d'une SCPI évolue dans le temps, en relation étroite avec l’état de la conjoncture de l'immobilier d'entreprise. Cette conjoncture suit des cycles successifs, avec des phases à la hausse et à la baisse. - La diminution des revenus locatifs. Dans un contexte économique moins favorable, la baisse des revenus locatifs versés aux associés est due à la diminution du taux d’occupation financier et/ou à la baisse du montant global des loyers versés par les locataires. Cette baisse peut être toutefois atténuée par l’effet de la mutualisation des risques grâce à la diversification immobilière et locative du portefeuille de la SCPI. - La liquidité. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution du marché de l’immobilier d'entreprise et du marché des parts de SCPI.

Communication non contractuelle

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