Mardi 26 mars

Pour garantir son pouvoir d'achat à la retraite, il est plus prudent de s'y prendre le plus tôt possible. Très bien. Mais une fois à la retraite, que faut-il faire ? Peut-on encore souscrire à des placements ? Bien sûr. Il existe des pistes pour ne pas compter que sur sa pension et ainsi financer ses activités, ses besoins, ou faire profiter ses proches et organiser la transmission de son patrimoine.

La pierre pour solidifier sa pension ?


En 20 ans, les prix immobiliers en France ont fait plus que doubler. Pas étonnant que l'immobilier représente la majorité du patrimoine des Français qui partent à la retraite. On comprend aussi pourquoi les nouveaux retraités ne veulent pas vendre leurs biens immobiliers, qui leur ont permis un bel enrichissement. Pourtant, alors qu'investir en immobilier est une très bonne idée quand on est en phase d'accumulation, c'est moins vrai à la retraite. Un bien immobilier, il faut s'en occuper. Il faut être bricoleur, et être prêt à faire face à des mauvaises surprises comme par exemple des gros travaux à réaliser ou un locataire qui ne paye plus son loyer. Outre ces tracas de gestion, organiser sa succession est toujours plus complexe quand il y a des biens immobiliers.

Alors pour que retraite ne rime pas avec prise de tête, les Sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) permettent d’investir dans l’immobilier sans se soucier de la gestion puisque c’est la société qui s’en occupe pour vous. L’autre avantage, et il est de taille, c’est que les SCPI permettent de mutualiser les risques et de diminuer ainsi le risque locatif*. Pour la succession, c'est également plus simple : chaque héritier reçoit des parts de la SCPI. Il n'y a pas d'indivision ou de gestion commune comme ce serait le cas avec de l'immobilier physique.

Naturellement, le retraité cherchera la ou les SCPI offrant les rendements les plus confortables, pour bénéficier du meilleur complément de retraite. A ce titre, la SCPI Epargne Pierre parait particulièrement adaptée. Cette SCPI affiche d’excellentes performances financières depuis ses débuts il y a maintenant plus de 10 ans, avec un taux de distribution régulièrement supérieur à 5 %. En 2023, la SCPI a versé 5,28 %*. Mais le rendement ne fait pas tout, et la SCPI dispose ainsi d’autres atouts qui ont fait d’elle la n°1 de notre classement en 2023. Malgré le contexte, son prix de part reste décoté. Le prix de souscription par part (208 €) est resté inchangé et inférieur de 5,58 % à la valeur de reconstitution (220,30 €). Certes, cette marge s’est légèrement réduite par rapport à 2022, mais elle reste un coussin de sécurité. Par ailleurs, la SCPI a continué de collecter en 2023. Sa capitalisation a atteint 2,62 Mds € grâce à une collecte brute de 399 M €, ce qui a permis de mener à bien sa politique d'acquisition.

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Les personnes fortement imposées, dont le taux marginal d’imposition est supérieur ou égal à 30%, privilégieront, si elles veulent des revenus immédiats, les SCPI européennes. La fiscalité sera alors beaucoup plus douce : pas de prélèvements sociaux et un taux d'IR plus faible qu'en France. En 2022, Atlan Voisin a lancé une version européenne de la SCPI Epargne Pierre. Cette SCPI permet d'investir en immobilier hors des frontières hexagonales, et de bénéficier de rendement potentiellement plus attractif : en 2023, le rendement de cette SCPI s'est élevé à 6,26%*. La SCPI a déjà investi dans deux pays d’Europe en privilégiant une diversification sectorielle et géographique avec un patrimoine constitué de bureaux à 47,91%, de commerces à 36,43%, et activités à 15,66%, en Espagne à 49% et aux Pays-Bas à 51%. Par ailleurs, sa valeur de reconstitution (202,66 €) est en phase avec le prix de part (200 €), ce qui est le signe que la SCPI a la capacité à réaliser des acquisitions au juste prix.

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L’assurance-vie : pour tous les épargnants


L'assurance vie, placement préféré des Français, permet aussi de se constituer un complément retraite. Il s'agit d'un véritable outil patrimonial qui permet de minimiser l'impôt sur les revenus, de sécuriser son patrimoine grâce aux fonds en euros et diversifier ses placements vers des supports en actions et en immobilier. L’assurance-vie permet également d'organiser la transmission de son patrimoine en limitant les droits de succession.

En cas de décès du détenteur de l'assurance vie, la fiscalité est avantageuse : le titulaire du contrat désigne librement ses bénéficiaires, qui profitent d'abattement sur les sommes transmises. Les versements avant 70 ans bénéficient d'un abattement de 152 500 euros par bénéficiaire. . Et les sommes versées après 70 ans profitent d'un nouvel abattement de 30 500 euros (par assuré sur l'ensemble des sommes transmises aux bénéficiaires). Dernier avantage successoral, les gains provenant des sommes versées après 70 ans sont exonérées de droit de succession. Seules les primes versées sont imposées (après donc l'abattement de 30 500 euros).

S'agissant des retraits faits par l'assuré pour compléter ses revenus, la fiscalité est également très avantageuse. Seule la part de gains comprises dans le retrait est imposée (le reste est considéré comme provenant des versements, non imposés) et, pour les contrats de plus de 8 ans, après un de 4600 euros pour une personne seule ou 9200 euros pour un couple.

Le choix du contrat dépend essentiellement du profil du retraité :

- Pour un profil très prudent (recommandé à la retraite), il faut privilégier les contrats avec un support en euros (fonds garanti) performant. L'assureur Generali propose ainsi un bonus de + 1,5 % sur le rendement du fonds en euros Netissima distribué par Meilleurtaux Placement. Le fonds en euros Netissima est disponible sans frais d'entrée dans le contrat d’assurance-vie Meilleurtaux Allocation Vie et la bonne nouvelle, c’est que l’offre à taux bonifié a été reconduite pour 2024… et 2025. L’objectif de rendement est à 4,60 %* en 2024 et 2025 en prenant l’hypothèse du maintien du taux servi en 2023 pour 2024 et 2025. Le taux a servi 3,10 % en 2023. Et pour 2024 et 2025, vos versements bénéficieront d’un rendement additionnel de 1,5% pendant 2 ans !

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- Pour ceux qui souhaitent une épargne un peu plus dynamique, il faut privilégier un contrat avec un gestion pilotée adaptée à votre profil (prudent, équilibré, dynamique). Grâce à la gestion pilotée, vous n'avez rien à faire : vous déléguez les choix des supports d'investissement à un professionnel qui va adapter l'allocation d'actifs selon votre profil et selon l'environnement de marché. Au sein du contrat Meilleurtaux Liberté Vie, vous pouvez déléguer la gestion à un comité d'investissement présidé par Marc Fiorentino

>> Découvrez le contrat Meilleurtaux Liberté Vie


Sérénité, liquidités... transmission


A la retraite, la rentabilité des investissements est certes importante, mais elle ne doit pas être privilégiée aux dépenses d'autres critères essentiels pour le retraités : la sécurité, la liquidité, la sérénité. D'où l'intérêt, comme on l'a dit plus haut, de privilégier l'assurance-vie par rapport à un investissement immobilier : elle est plus sûre, ultra-liquide, et très facile à gérer (notamment si on délégue avec une gestion pilotée).

Cerise sur le gâteau : l'assurance-vie est aussi un outil idéal pour préparer sa succession. Grâce à la clause bénéficiaire, vous désignez librement le ou les bénéficiaires du capital placé sur le contrat. Il est conseillé aux investisseurs particuliers de faire le plein d'assurance-vie avant 70 ans, pour profiter au maximum de l'abattement sur les droits de succession, de 152 500 € par bénéficiaire. Au-delà les sommes sont taxées au taux de 20 %. Car passé 70 ans, vous ne bénéficiez plus de l'abattement de 152 500 €, mais vous bénéficiez d'un nouvel abattement à hauteur de 30 500 € par assuré pour l'ensemble de ses bénéficiaires tous contrats confondus.

>> Je reçois une information sur les contrats assurance-vie de meilleurtaux Placement

Avec l'assurance-vie, un parent peut donc transmettre un peu plus de 152 500 euros par enfant sans payer de droit de succession. Ceux qui ont un patrimoine plus important à transmettre vont alors se tourner vers le contrat de capitalisation. Le contrat de capitalisation est une enveloppe fiscale similaire à l'assurance-vie. D'un point de vue gestion financière, il n'y a même aucune différence. Mais le contrat de capitalisation n'est pas un produit d'assurance. Au décès du souscripteur, il ne se dénouera pas.

Pour limiter les droits de succession, le parent peut transmettre le contrat de capitalisation par donation et bénéficier donc de l'abattement de 100 000 euros par enfant, renouvelable tous les 15 ans. Mais donner de son vivant comporte un inconvénient important : le parent se démunit. Il transmet une partie de son capital, capital qui aurait pu lui servir pour sa retraite, notamment s'il vit très vieux. Pour donner sans se démunir, le parent peut alors réaliser une donation démembrée, c'est à dire transmettre la nue-propriété de son contrat de capitalisation à ses enfants, en conservant l'usufruit. De cette manière, il optimise sa succession mais conserve la possibilité de piocher, en cas de besoin, dans le capital placé sur son contrat de capitalisation

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Enfin, pour réduire encore plus les droits de succession, le retraité peut investir en GFI (Groupement Foncier d'Investissement). Il s'agit d'une société civile à vocation forestière. permettant à des investisseurs particuliers d'acheter des parts de parcelles de forêts. La société de gestion va alors exploiter son actif, c'est-à-dire l'entretenir, découper le bois et le revendre. Elle distribue les revenus (environ 1% net) à ses associés.

Il s'agit naturellement d'un investissement développement durable, qui permet la continuité des exploitations forestières en France. C’est un marché à part puisqu’il est totalement déconnecté des marchés financiers et du marché immobilier ce qui a un réel intérêt dans une logique de diversification de son patrimoine. C'est donc un actif « refuge ». En 2008, le prix de l’hectare de forêt n’a pas été impacté par la crise financière. Plus récemment, en 2022 , le prix moyen de l'hectare des forêts a progressé de 4.2%*** (Source Safer : Sociétés d’aménagement foncier et d’établissement rural). La rentabilité des forêts dépend du prix du bois.

Pour soutenir ce secteur durable et créateur d'emploi, l’État lui confère des avantages fiscaux, et notamment un avantage successorale : Au moment de la succession ou lors d'une donation, une réduction de 75 % des droits fiscaux, sans plafonnement ni contrainte de lignée ou de conservation des parts, mais avec un engagement d'exploitation durable sur 30 ans pris par le Groupement Forestier. Cet abattement s'applique sur la valeur des forêts françaises détenues par le Groupement, pas sur la trésorerie.

>> Découvrez le GFI France Valley Patrimoine pour réduire vos droits de succession


Communication non contractuelle à but publicitaire

*Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme (minimum 10 ans) et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Comme tout investissement, l'immobilier présente des risques :

- La baisse de la valeur du placement. Le capital investi dans une SCPI n’est pas garanti. La valeur de part d'une SCPI évolue dans le temps, en relation étroite avec l’état de la conjoncture de l'immobilier d'entreprise. Cette conjoncture suit des cycles successifs, avec des phases à la hausse et à la baisse.

- La diminution des revenus locatifs. Dans un contexte économique moins favorable, la baisse des revenus locatifs versés aux associés est due à la diminution du taux d’occupation financier et/ou à la baisse du montant global des loyers versés par les locataires. Cette baisse peut être toutefois atténuée par l’effet de la mutualisation des risques grâce à la diversification immobilière et locative du portefeuille de la SCPI

- La liquidité. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution du marché de l’immobilier d'entreprise et du marché des parts de SCPI

**Les supports en unités de compte présentent un risque de perte en capital.

***Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. L'investissement en parts de Groupement Foncier présente un risque de perte en capital, en particulier sur une durée d'investissement qui serait courte. L'investissement dans des parts de GFI est réservé aux personnes susceptibles par leur connaissance et leur souci de diversification des placements financiers de prendre en compte les particularités de cette forme d'investissement. L'investissement présente un certain nombre de risques, dont notamment les risques suivants :

- Risque de perte d'une partie ou de la totalité du capital

- Risque d'exploitation et sur les revenus

- Risque de liquidité

- Risque de contrepartie

À propos de France Valley

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