Les actions européennes affichent une performance remarquable depuis le début de l’année. Cette tendance contraste avec les actions américaines, en baisse depuis le 1er janvier, après un cru 2024 exceptionnel. Comment investir facilement sur les fleurons européens ? Marc Fiorentino et son comité vous partagent leur choix stratégique.
En janvier, les actions européennes ont enregistré leur deuxième plus important afflux d'investisseurs des 25 dernières années, selon une étude de Bank of America intitulée "Make Europe Great Again". Cette tendance reflète un regain d'intérêt pour les marchés du Vieux Continent.
Les principaux indices européens affichent des performances impressionnantes depuis le 1er janvier :
• Cac 40 : +11%
• Euro Stoxx 50 : +12,5%
• Dax 40 : +17,8%
En comparaison, Wall Street cède du terrain sur ses principaux indices :
• s&p 500 : -2,4%
• Nasdaq : -6,4%
• Dow Jones : +0,1%
Plusieurs facteurs expliquent l'intérêt croissant pour les actions européennes.
Valorisations attractives. L'Europe est actuellement sous-évaluée par rapport aux actions américaines et japonaises. 2024 a été une année plutôt mitigée pour les actions européennes, et en particulier françaises (-2,15% sur le CAC 40). Depuis le début de l’année, on assiste donc à un effet de rattrapage sur les actions européennes. Il en va de même avec les actions chinoises qui ont fortement progressé ces dernières semaines, en particulier dans le compartiment technologique.
Trump et l’Ukraine. Malgré les menaces récurrentes de Donald Trump sur les taxes douanières, les actions européennes montent en flèche. D’abord grâce aux espoirs de paix en Ukraine soulevés. Plus récemment, avec la nécessité pour l’Europe d’investir massivement dans sa défense. Avec à la clé des hausses impressionnantes comme celle de Thales qui gagne près de 80% en Bourse depuis le 1er janvier.
Politique monétaire favorable. Les économistes s'attendent à des baisses de taux d'intérêt plus importantes en Europe qu'aux États-Unis en 2025, ce qui devrait bénéficier aux entreprises européennes en réduisant leur service de la dette. La BCE a d’ailleurs abaissé son principal taux d’intérêt à 2,5% jeudi dernier. Il est supérieur à 4% aux États-Unis.
Solides performances sectorielles. Plusieurs secteurs clés européens, dont la finance, les biens de consommation et l'industrie, enregistrent une croissance régulière des bénéfices et offrent des rendements de dividendes attractifs.
En comparaison, la baisse des actions américaines peut être attribuée, en partie, à des prises de bénéfices après leur forte hausse de l’an dernier. Mais pas seulement. Les incertitudes liées à l’intelligence artificielle avec l’émergence de DeepSeek, une start-up chinoise, ont remis en question la domination des géants américains de la tech dans ce domaine, provoquant une baisse de leurs actions. Les politiques protectionnistes et décisions parfois contradictoires de Trump ajoutent de la tension et incitent les investisseurs à la prudence.
De nombreux analystes pensent que la surperformance des actions européennes devrait se prolonger dans les prochains mois. Cependant, les investisseurs doivent rester vigilants face aux risques européens, dont l'accès à l'énergie, les divisions internes de l'UE et le surendettement de certains États européens.
Pour investir efficacement et simplement sur les actions européennes, il existe un grand nombre de fonds d’investissement. Dans la suite de cet article, nous vous en présentons un qui s’est particulièrement distingué ces derniers mois en surperformant l’ensemble du marché européen.
EUROPE : QUEL FONDS PRIVILÉGIER ?
Le fonds BlackRock Continental European Flex cible les grandes actions européennes. Voici son allocation géographique et sectorielle :
Cliquez ici pour voir l’image en grand. Source : BlackRock
Dans le détail, voici ses performances sur les principaux horizons d’investissement, à la clôture du jeudi 6 mars :
+129,84%* sur 10 ans
+78,28%* sur 5 ans
+32,47%* sur 3 ans
+7,68%* en 2024
+7,63%* depuis le 1er janvier 2025
Le couple rendement / risque du fonds est particulièrement bon. Sur ces horizons de placement, il surperforme nettement les actions européennes selon le média financier indépendant Funds 360. Son homologue MorningStar estime que le risque du support est supérieur à la moyenne, sur tous les horizons d’investissement, par rapport à sa catégorie d’investissement.
Ce fonds d’investissement est éligible à nos trois assurances-vie Meilleurtaux Liberté Vie, Meilleurtaux Placement Vie et Meilleurtaux Allocation Vie.
LES DÉCISIONS DE MARC ET SON ÉQUIPE
Dans le cadre de la gestion pilotée Pilot, Marc Fiorentino et son comité de gestion ont pris plusieurs décisions importantes cette semaine.
D’une part, la totalité des bénéfices ont été pris sur les actions chinoises, compte tenu de leur forte hausse ces dernières semaines. Depuis son entrée dans la gestion en janvier 2024, la ligne dédiée aux valeurs chinoises a généré une performance de plus de 25%*.
En parallèle, les actions européennes ont été renforcées, pour continuer de capter leur potentiel de hausse et leur niveau de valorisation assez faible. Quelques bénéfices ont également été pris sur les matières premières.
Contrairement aux gestions pilotées classiques qui se limitent aux actions et aux obligations, nous allons beaucoup plus loin. Pilot investit sur toutes les classes d’actifs : actions, obligations, private equity, matières premières, immobilier, fonds euros... Un véritable cocktail d’investissements pour optimiser votre rapport risque / rentabilité.
Pour quelles performances ?
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>> Je découvre Pilot, la gestion pilotée de Marc Fiorentino
Et ce qui fait toute la différence, c’est que ces résultats sont obtenus avec une faible prise de risque. La volatilité de nos profils est deux fois inférieure à celle des gestions pilotées concurrentes. Et pour preuve de notre prudence, notre exposition aux actions est au plus bas historique : seulement 19%. L’objectif est clair, préserver votre capital tout en allant chercher de la performance.
Dans son dernier commentaire de gestion, Marc Fiorentino revient sur le contexte des dernières semaines :
“Deux évènements ont marqué le mois de février. D’une part, la baisse des actions américaines. À l’inverse des actions européennes et chinoises qui ont fortement progressé, les valeurs technologiques américaines, en particulier liées à l’IA, ont perdu du terrain, entraînant le Nasdaq en territoire négatif (-2,5%) depuis le début de l’année. La politique de Trump a également joué sur le moral des investisseurs.
D’autre part, l’Allemagne se réveille, et avec elle, peut-être, l’Europe. La victoire du centre droit de Friedrich Merz marque un tournant. Olaf Scholz balayé, l’extrême droite de l’AfD au plus haut, et une priorité annoncée : l’indépendance vis-à-vis des États-Unis. Merz en est convaincu, Washington ne viendra plus défendre l’Europe. Il veut renforcer la puissance européenne, en commençant par un plan massif de réarmement et de relance économique.
L’Europe n’est pas en crise existentielle. Elle est une puissance mondiale. Une zone de 450 millions de consommateurs solvables, un PIB de 18 000 milliards d’euros et des comptes extérieurs largement excédentaires, à l’inverse des États-Unis. Mais elle est à l’arrêt. Une croissance sous 1%, un chômage qui reste à 5,9%, une inflation encore assez élevée. L’Allemagne peut être le déclencheur du rebond. Son modèle économique a pris un coup, plombé par le choc énergétique et la dépendance à la Chine. Mais Merz veut briser les tabous
budgétaires et investir massivement, en particulier dans les infrastructures et la défense, avec pour objectif de relancer la croissance.
Et l’Europe suit. Bruxelles annonce 800 milliards d’euros pour la défense, dont 150 milliards de prêts aux États. Le pacte de stabilité ? Suspendu. Priorité à la puissance, priorité à la sécurité. Berlin ouvre la marche et l’Europe suit.
Malgré la baisse de Wall Street, notre gestion pilotée affiche de très bonnes performances en février. En partie grâce à la hausse des actions européennes, mais aussi des actions chinoises que nous avions intégrées en janvier 2024.”
Dans cette vidéo, Marc Fiorentino décrypte avec Patrick Thiberge, DG de Meilleurtaux Placement, le fonctionnement de la gestion pilotée Pilot, qu'il gère avec son comité d'investissement. Il présente sa méthodologie pour déterminer chaque mois la bonne allocation d’actifs ainsi que ses performances et sa volatilité, en la comparant aux autres gestions pilotées du marché. Et il donne son allocation d'actif pour 2025. En toute transparence.
>> Je découvre Pilot, la gestion pilotée de Marc Fiorentino
Communication non contractuelle à caractère publicitaire.
* Performance net de frais de gestion, hors fiscalité.Performance calculée en prenant l’hypothèse d’un maintien de la performance du fonds en euros en 2024. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. L'investissement en actions, obligations ou OPCVM présente un risque de perte en capital important, et doit s’envisager dans une optique long terme, en représentant une petite partie d’un patrimoine global. Contrairement au fonds en euros, la valeur de ces supports, qui reflète la valeur d’actifs sous-jacents, n’est pas garantie mais est sujette à des fluctuations à la hausse ou à la baisse, dépendant en particulier de l’évolution des marchés financiers.
**Les travailleurs non-salariés (TNS) profitent pour leur part d'un plafond de :
10 % de la fraction du bénéfice imposable dans la limite de 32 909 euros en 2021 (montant égal à 80 % du Plafond annuel de la sécurité sociale) + 15 % de la fraction de ce bénéfice comprise entre une et huit fois le PASS de l'année N, soit 43 193 euros en 2021. Le plafond global se situe ainsi à 76 102 euros. Le plafond minimum pour les TNS se situe à 4 114 euros.
Ces plafonds de déduction peuvent être relevés par le rattrapage des plafonds non utilisés au cours des trois années précédentes. Les plafonds de déduction peuvent également être mutualisés entre conjoints.