S’il y a bien un secteur qui n’a pas profité de la chevauchée du CAC40 vers ses plus hauts historiques, c’est bien celui de la santé. Pour rappel, la phase d’hésitation qui a suivi la rentrée des gros investisseurs avait bénéficié aux valeurs sûres (santé, services aux collectivités, télécommunications etc …). Tout a changé début octobre, lorsque la confluence des flux d’informations macroéconomiques et microéconomiques a permis aux spéculateurs haussiers d’initier une impulsion positive qui tractera le CAC vers le sommet historique des 7 183 points le 19 novembre. Depuis, une petite brise portant le nom d’ « Omicron » est venue enrhumer les investisseurs. Après le variant Delta, le nouveau variant sud-africain, classé « préoccupant » par l'Organisation mondiale de la santé, sème l'inquiétude partout dans le monde.
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