Sur les sept derniers jours, les indices gagnent du terrain, avec un CAC Small et un CAC40 respectivement à +1,2% et +1,7% sur la semaine.
TOP
OSE Immunotherapeutics s'envole et prend +17,5% sur la semaine. Le spécialiste des biotechnologies a dévoilé des résultats plus que positifs pour son essai clinique de phase 2 dans le traitement de la rectocolite hémorragique. En YTD, le titre s'adjuge une performance de +81,7%.
Poujoulat reprend +14,6% sur les sept derniers jours. La semaine dernière, la société a fait état d'un chiffre d'affaires en recul au T1 en repli de -11,0% à 64,7 M€. Pour cause, l'activité a largement été affectée par la baisse des prix du granulé bois et un contexte économique défavorable. Les perspectives sont plutôt positives pour le leader européen de la fumisterie, avec une progression attendue sur le segment cheminées industrielles, et plus globalement sur le S2.
Nexity reprend des couleurs sur la semaine (+13,1%), après avoir fait état de résultats semestriels en demi-teinte. Le CA ressort en repli de -18% au S1 à 1,6 Mds€. Dans le même temps, la société a annoncé la cession de son activité de gestion d'immobilier entreprise à Crédit Agricole Immobilier.
FLOP
L'ex Orpea, Emeis, perd -20,5% sur la semaine après avoir abaissé ses objectifs annuels. Malgré un CA en hausse de +9,2% au S1, la société estime son résultat brut d'exploitation annuel entre 330 et 340 M€ avec une croissance low-single digit (entre 0 et +5%).
La société minière Eramet perd -14,0% depuis la clôture de mercredi dernier. Eramet fait état de résultats semestriels décevants, en raison de la baisse du cours du nickel et du manganèse sur la période. L'EBITDA ajusté ressort à 247 M€ contre 339 M€ un an plus tôt. Le S2 s'annonce plus favorable en raison de la fermeture d'une mine importante de manganèse en Australie. Le groupe a notamment revu à la hausse ses prévisions d'EBITDA ajusté pour l'exercice entre 1,2 et 1,3 Mds€.
Vantiva affiche une baisse de -10,1% sur la semaine. Au S1, l'EBE est en baisse de -52,3% à seulement 23 M€, malgré le plan de restructuration. Pour cause, le ralentissement de la demande sur le marché des terminaux domestiques. Néanmoins, le management réitère sa guidance de 140 M€ d'EBITDA pour la fin de l'exercice.
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