Une fois de plus, l'immobilier est au centre de toutes les conversations.
Et en "Une" des médias.
Certains conseillent de se ruer dès maintenant pour profiter de la baisse des derniers mois.
D'autres d'attendre encore que les taux baissent un peu plus.
Et les rapports se succèdent.
Sur l'impact des phénomènes exogènes.
Comme la démographie.
Explications.

ACHETER MAINTENANT OU ATTENDRE

That is the question que des milliers de Français se posent.
Pour ceux qui ont un crédit négocié ou renégocié avant la hausse des taux, autour de 1%, la question ne se pose (presque) pas.
On ne lâche pas un crédit à 1% pour un crédit à 3.5%. Ils attendront que les taux baissent un peu plus.
Et il y a tous les candidats primo-accédants qui attendent.

JE SUIS PERSUADÉ...

...qu'une partie de la hausse récente de l'épargne vient de candidats potentiels à l'achat d'un bien immobilier qui ont décidé d'attendre et qui ont accumulé des munitions.
Ceux-ci sont prêts à dégainer.
Et ils commencent petit à petit à le faire.
On le voit sur les demandes et simulations de crédit réalisées sur le site de Meilleurtaux
Et au fur et à mesure de la baisse des taux, l'activité va s'accélérer.

LES PRIX SONT FAVORABLES

Ils ont baissé.
Ils ne se sont pas écroulés mais ils ont baissé.
L'immobilier résidentiel dans les villes principales a glissé de 5 à 10%, et il existe encore une marge de négociation.

LA DÉMOGRAPHIE

Passionnant d'étudier les effets de la démographie sur l'immobilier.
C'est ce qu'a fait l'observatoire statistique Hexagone, cité ce matin dans Les Échos.
Car la démographie est un facteur essentiel sur l'immobilier.
Facile à comprendre.
Plus il y a de naissances, plus on a besoin d'espace, et l'inverse est vrai.
Plus il y a de divorces, plus on a besoin de biens immobiliers.
Plus il y a de décès et plus il y a d'appartements sur le marché.

ET ON SAIT...

...que le nombre de décès va sensiblement augmenter dans les années qui viennent.
On va tangenter les 700 000 décès alors qu'on était proches des 600 000.
Or les Français les plus âgés sont les plus "propriétaires".
75% des personnes de plus de 70 ans sont propriétaires.
En toute logique, il devrait y avoir un déferlement de biens immobiliers sur le marché du fait des décès des baby-boomers.

3 MILLIONS DE BIENS IMMOBILIERS…

…devraient être sur le marché sur les 10 ans qui viennent selon Hexagone.
Mais, car il y a un mais, ce ne serait que 20 000 de plus par an.
Sur un total de 870 000 transactions.
C'est moins impressionnant.
Reste que le phénomène est enclenché.
Et que de nombreux biens seront sur le marché du fait de la démographie.

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LE SALON DE L'AUTOMOBILE...

...ouvre ses portes aujourd'hui.
À un moment où le secteur est en proie à une véritable révolution et le mot est faible.
Les constructeurs automobiles européens sont sous pression, les constructeurs chinois sont en mode conquête.
La phrase du jour "Je ne suis pas amer et je vais sprinter jusqu'en 2026", Carlos Tavares, dans les Échos : je plains déjà son successeur.

PASSIONNANT

Les prévisionnistes américains sont en pleine surchauffe à l'approche des élections américaines.
Que fera l'inflation si c'est Trump ou Harris ?
La dette, le déficit ?
Le dollar ?
Les marchés boursiers ?
Personne n'est d'accord mais des grandes lignes se détachent.
On vous prépare un petit résumé.
Teasing.

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Avec une analyse du budget 2025, de la situation économique de l'Allemagne, du plan d'action de Trump, de l'évolution de la Bourse.
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DU CÔTÉ DES MARCHÉS

"Par Sélina Seremet, Analyste Bourse Meilleurtaux Placement.
L’indice parisien commence la semaine en légère baisse de 0,13% à 7 568 points, plombé par les valeurs du luxe, tandis que les investisseurs restent sceptiques sur la portée des mesures de relance annoncées par Pékin ce week-end. L'absence de détails concrets continue de nourrir l'incertitude sur l'engagement réel de la Chine à stimuler son économie. La semaine s'annonce également tendue avec la réunion de la Banque centrale européenne jeudi, où une nouvelle décision de politique monétaire est attendue, et les allocutions de plusieurs responsables de la Réserve fédérale américaine.
En attendant, vendredi dernier, Wall Street a salué les résultats solides des grandes banques américaines, comme JPMorgan Chase et Wells Fargo, qui ont dépassé les attentes au troisième trimestre. Enfin, LVMH sera sous les projecteurs mardi soir, en ouvrant la saison des résultats en France.
Nikkei : +0,57% à 39 605 points.
Brent : 78$ (-0,64% vs vendredi matin).
Or : 2 664,2$ (+0,90%).
Euro/Dollar : 1,092$ (-0,09%)."

ON S'EN FOUT ?

Une bonne idée d'impôts qui vient d'Allemagne, un impôt local sur les chiens, 420 millions de recettes par an, et une hausse de 40% du montant perçu en 10 ans ; Finalement vous ne serez que 25 000 foyers à payer la contribution des riches selon Bercy, on n'a pas assez de riches ; En fait la hausse des impôts ne sera ni de 20 milliards, ni de 25 milliards mais de 29,5 milliards selon les dernières estimations ; Les gouvernements occidentaux sont "accablés" par l'ampleur de l'espionnage chinois selon le Wall Street Journal ; La Une du Parisien :"Télétravail: la fin d'une époque", retour au bureau...; Après des séries de tests ADN, des scientifiques espagnols ont déclaré que Christophe Colomb était un juif séfarade, 22 ans d'enquête ; La France se bat pour que le Doliprane reste français et Macron se bat pour qu'"Emily in Paris" reste à Paris, de beaux combats d'avenir ; Excellent le film sur Trump "The Apprentice" avec les trois règles d'or de son mentor, Roy Cohn, appelé "l'avocat du diable" : "1. Attaquer, attaquer, attaquer 2. Ne jamais avouer car il n'y a pas de vérité, il faut imposer la sienne, 3. Toujours crier victoire même en cas de défaite" ; La série "The Franchise" sur le making of d'un sous film de super-héros par des losers : j'ai arrêté au milieu du premier épisode, cela m'a rappelé la pathétique série avec Pierre Niney "Fiasco" ; Une bonne alimentation permettrait de réduire les risques de dépression ; Suivez-moi sur X et linkedin en cliquant sur les liens.

VOILÀ C'EST TOUT
BONNE JOURNÉE
MAY THE FORCE BE WITH YOU

*IL EXISTE UN RISQUE DE PERTE FINANCIÈRE, NI LE CAPITAL NI LES COUPONS NE SONT GARANTIS EN CAS DE DÉFAUT DE LA CIBLE

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Conformément à l'article L. 411-2-1 1° du Code monétaire et financier, l’offre « CUISINES PRO » est inférieure à 8 000 000 d’euros sur une période de douze mois et fait l’objet de l’établissement d’un Document d’Information Synthétique publié sur le site ledealclub.com et est disponible dans l’onglet « Investir ».

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