Alors que nous assistons, écœurés, au remake de la 4ème République joué par les députés, la France est totalement à l'arrêt.
On ne le dit pas assez : la dissolution a des conséquences désastreuses sur notre économie.
À court terme.
Et à moyen terme.
Grosse colère...
...de la France était déjà mauvaise avant la dissolution.
Ralentissement de la croissance.
Arrêt de la baisse du chômage.
Hausse des faillites d'entreprises.
Déficits budgétaires et commerciaux records.
Dette abyssale.
...a apporté le coup de grâce.
Une décision totalement irresponsable au plan économique.
Elle est arrivée au pire moment, puisque nous étions déjà confrontés à une crise majeure.
Et la situation s'est empirée une fois l'effet JO passé.
Remettant en cause les prévisions économiques même les plus pessimistes.
C'est peut-être l'élément essentiel.
Perte de confiance en l'avenir des ménages français, qui n'en finissent pas d'épargner.
Perte de confiance des entreprises, qui voient leur carnet de commandes se dégarnir.
Perte de confiance des Français en général devant l'instabilité fiscale.
Perte de confiance des investisseurs étrangers, face à un pays qui n'est plus dirigé.
L'emploi est la première victime de ce ralentissement économique.
Perte de confiance, baisse des investissements, instabilité : tous les ingrédients sont réunis pour que les embauches marquent le pas et que les plans sociaux se multiplient.
Le chômage ne peut que monter malgré l'effet positif de la démographie sur la population active.
Elle n'a plus de ressort.
Elle ralentit, lentement mais sûrement.
Et toutes les prévisions de croissance pour 2025 sont déjà jugées beaucoup trop optimistes.
La dissolution a été une décision désastreuse.
Et ses conséquences économiques sont graves.
À PART ÇA ? QUOI DE NEUF ?
La Chine, le Mexique, le Canada et l'Europe passent leurs troupes en revue pour décider comment ils pourront répliquer à la première salve de droits de douane américains.
Le Mexique et le Canada menacent, mais ils ont peu de leviers sur les États-Unis.
La Chine a peu de leviers commerciaux, mais elle peut peser sur la dette américaine grandissante qui a cruellement besoin de plus en plus d'investisseurs.
Quant à l'Europe, elle fourbit ses armes et pour une fois elle n'est pas totalement démunie.
À suivre donc.
...n'en finit pas de chuter.
Il est au plus bas depuis l'invasion de l'Ukraine.
Et la nouvelle salve de sanctions n'a rien arrangé.
Les entreprises russes qui importent des biens étrangers, par des voies détournées, se ruent sur le dollar pour payer leurs achats.
Quand la guerre s'arrêtera, et la guerre s'arrêtera, on s'apercevra que l'économie russe est dans un état désastreux.
Surtout si les cours du pétrole chutent.
Tant pis pour eux.
C'est un sujet qui me tient vraiment à cœur.
On est en train de sacrifier la Bourse de Paris.
J'ai tiré la sonnette d'alarme sur BFM Business et sur mon compte LinkedIn.
Nos décideurs politiques doivent comprendre que soutenir le marché boursier, c'est investir dans l’avenir économique du pays.
Allez voir mon post et si vous êtes d'accord, réagissez (likez, commentez, republiez) !!!
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Par MoneyVox, le spécialiste de l'information sur l'argent (banque, crédit, impôt, etc.).
"Retraites : voici combien vous perdez avec une hausse de 0,8% en 2025.
Malgré le « compromis » annoncé par le chef de file des députés LR Laurent Wauquiez, à ce stade, tous les retraités y perdent par rapport à la formule de revalorisation réglementaire. Voici pourquoi. Et voici combien."
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Par Sélina Seremet, Analyste Bourse Meilleurtaux Placement.
"La Bourse de Paris poursuit son repli ce mercredi, cédant 0,91% à 7 130 points dans les premiers échanges, alors qu'une avalanche d'indicateurs américains se profile à la veille de Thanksgiving, jour férié aux États-Unis. Mardi, le marché parisien avait déjà perdu 0,87%, repassant sous les 7 200 points, déstabilisé par la menace de Donald Trump d’imposer de nouveaux droits de douane. Même si l’Europe n’a pas été citée, le message a fait mouche. Cette journée s’annonce donc décisive, car elle ressemble à un véritable "final" pour la semaine boursière, avec Wall Street fermée demain et seulement une demi-séance vendredi.
Les investisseurs auront les yeux rivés sur la deuxième estimation du PIB américain, attendu en hausse annualisée de 2,8% au troisième trimestre, mais surtout sur les données des revenus et dépenses des ménages, qui incluent l’indice PCE des prix, baromètre d’inflation préféré de la Fed. Ces chiffres pourraient renforcer ou contredire le scénario d’une baisse de taux en décembre, actuellement jugé probable à 66 % selon le baromètre FedWatch."
Dans la Tribune Dimanche, mon édito : "Les retraités passent à l’offensive ", et le conseil placement pour la retraite: Liberté, sérénité, liquidités ; Le ministre de la Défense chinoise est accusé de corruption, encore un qui va disparaître, un bien beau pays ; Bernard Arnault est appelé à témoigner dans le procès Squarcini, l'ex-patron des services de renseignement sous Sarkozy ; Le Premier ministre japonais a battu l'indice Nikkei avec son portefeuille de valeurs boursières, imaginez en France un Premier ministre qui aurait des actions...; Cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah à 10h aujourd'hui ; Nouvelle émission de téléréalité : la course à la succession d'Anne Hidalgo ; Face à l'irresponsabilité d'une partie des politiques, je ne comprends pas qu'on ne fasse pas plus appel à des référendums ; Le PSG, no comment, un éternel recommencement, un vrai business case ; Biden veut augmenter drastiquement le remboursement des traitements anti-obésité ; La startup Throne lance une caméra basée sur l'IA dans les toilettes pour détecter les maladies ; Suivez-moi sur X et LinkedIn en cliquant sur les liens.
VOILÀ C'EST TOUT
BONNE JOURNÉE
MAY THE FORCE BE WITH YOU
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