L'Insee a publié une étude cette semaine sur l'espérance de vie.
Une espérance de vie qui progresse encore mais à un rythme plus faible.
Avec un écart d'espérance de vie entre les hommes et les femmes qui se réduit, lentement.
Mais l'étude de l'Insee met en lumière l'inégalité sociale face à l'espérance de vie.

POUR VIVRE LONGTEMPS...

vivons plus riches.
On s'en doutait.
Mais les chiffres restent étonnants.
Surtout pour un pays comme la France qui possède le système social le plus généreux.
Et un système de soins universel.

L’ESPÉRANCE DE VIE À LA NAISSANCE

Comparaison de l'écart entre les 5% les plus modestes et les 5% les plus aisés.
9 ans chez les hommes.
13 ans chez les femmes.
C'est énorme.
85 ans d'espérance de vie pour un homme dans la catégorie des plus aisés, 72 ans pour un homme dans la catégorie des moins aisés.
Et, le plus étonnant, cet écart continue à se creuser, lentement mais sûrement.

L’ESPÉRANCE DE VIE MOYENNE

est de 85,6 ans pour une femme.
Et juste au-dessus de 80 ans pour un homme.
Inégalité de sexes donc.
Et inégalité de richesse.
Alors que l'inégalité entre les hommes et les femmes continue à se réduire, mais à un rythme faible, l'espérance de vie entre les deux catégories sociales s'est accrue d'environ 0,4 année en 8 ans.

LES CAUSES

L'accès à la santé, pourtant largement simplifiée et subventionnée en France.
Les risques professionnels avec des activités qui sont plus exposées pour les personnes les plus modestes.
Le tabac.
L'alcool.

SEXE, CLASSE SOCIALE

mais aussi localisation.
Il y a des différences entre les régions.
Mais ces différences sont aussi liées à la concentration des différentes catégories sociales dans différentes régions.
On vit, sans surprise, plus vieux dans le sud-est de la France, dans les Pays de la Loire ou encore en Occitanie que dans les Hauts-de-France.
Des chiffres globalement étonnants et choquants.

À PART ÇA ? QUOI DE NEUF ?

ET VOUS, VOUS EN PENSEZ QUOI ?

Pour vous, l'espérance de vie est-elle devenue un marqueur d'inégalité sociale ? 
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SI LE BUDGET ÉTAIT UNE SÉRIE,
il aurait été déprogrammé depuis longtemps tant l'audience du public s'est effondrée.
Il faut fouiller dans les pages intérieures des quotidiens pour savoir où en est le budget.
Un budget totalement différent du budget, rejeté d'ailleurs, par l'Assemblée a été adopté par le Sénat.
Et les sénateurs ne sont même pas parvenus à réduire notre déficit qui s'affiche à 5,3%, avec des hypothèses de croissance optimistes. Tout ça pour ça.
Et voici donc le budget devant la commission mixte paritaire de 7 députés et 7 sénateurs.
Et s'il n'y a pas d'accord, ce sera une loi spéciale ou, peut-être, un 49.3.
La série "Budget" est un vrai bide, une pitrerie tragique pour le pays.

SAUVE QUI PEUT

Enquête intéressante dans le FT.
Sur les grandes firmes étrangères implantées en Chine qui veulent trouver une solution pour leurs filiales locales.
Des filiales décimées par une concurrence locale féroce, un pays en déflation, des tensions US-Chine et des tracas administratifs majeurs.
Certaines vont sortir complètement de Chine et rendre les clés malgré les milliards investis, d'autres envisagent de s'allier à des groupes de private equity locaux ou internationaux, pour sauver les meubles.
La bérézina chinoise.

DU CÔTÉ DES PLACEMENTS

Par Olivia Boulay, chargée de contenu patrimonial, Meilleurtaux Placement.
Titre de créance complexe de droit français présentant un risque de perte en capital partielle ou totale en cours de vie.
"Les produits structurés permettent de combiner potentiel de rendement et visibilité sur le risque, grâce à un cadre défini dès la souscription : objectifs de gain, protection du capital, échéances et seuils pour le paiement des gains.
L’une de nos solutions propose un objectif de gain fixe plafonné à 8,01 %* par an (soit un objectif de gain fixe plafonné à 0,6675 % par mois) sous conditions et en contrepartie d’un risque de perte en capital.
Parmi ses principales caractéristiques :
- Un objectif de gain connu à l’avance,
- Une fréquence de constatation mensuelle à partir de la fin de la première année, offrant davantage d’opportunités de remboursement anticipé, sous conditions,
- Un mécanisme de remboursement anticipé pouvant se déclencher même en cas de baisse modérée de l’indice de référence."
>> Je découvre ce produit structuré 

DU CÔTÉ DES MARCHÉS

Par Sélina Seremet, Analyste Bourse Meilleurtaux Placement.
"Les marchés européens ouvrent majoritairement dans le rouge, le CAC 40 cédant 0,04%, dans un climat de prudence avant une série de données américaines déterminantes et plusieurs décisions de banques centrales. Après une séance contrastée lundi, marquée par l’attentisme à Wall Street avant les chiffres de l’emploi de novembre, les investisseurs restent sur la réserve. Ces données, publiées avec retard après la paralysie budgétaire américaine, seront scrutées de près, tout comme l’indice des prix à la consommation attendu jeudi. Une inflation trop élevée compliquerait le scénario de futures baisses de taux, alors même que les marchés européens gardent un œil attentif sur la prochaine réunion de la BCE."

ON S'EN FOUT ?

Le point séries : "Pax Massilia 2" terminé, classique mais efficace, malgré un scénario peu crédible, et une plongée dans le monde de la drogue en France pas très rassurante, il y aura une saison 3 ; J'hésite à vous conseiller le nouveau polar nordique, islandais, d'Arte : "Reykjavik 112". Tout d'abord, shame on Arte, c'est en VF avec les mêmes voix qui doublent des séries Z américaines. Ensuite, on sent que l'Islande manque d'acteurs car la série tourne sur un nombre (trop) réduit de personnages qui doivent endosser plusieurs facettes différentes, à vous de voir, ou pas ; J'ai commencé "Pluribus" sur Apple TV sur un virus qui a détruit une partie de la population et une personne immunisée qui se retrouve face à une population béate qui prône la conformité et l'union poussée à l'extrême : c'est une série originale certes mais très étrange, je ne me suis pas encore fait une opinion ; Le titre du jour en une du Parisien (je vous promets, je ne suis pas intervenu) : "Démographie : plus de décès que de naissances" ; Une cagnotte en ligne en faveur du héros de Bondi Beach qui a désarmé un terroriste a dépassé les 2 millions de dollars ; Villepin va ouvrir son siège de campagne présidentielle dans le 16ème arrondissement de Paris ; Le loup d'Intermarché continue à faire un carton mais j'ai adoré le lion de Publicis pour fêter les 100 ans du groupe ; Pauvre Louvre : après le braquage, la grève ! Suivez-moi sur X et Linkedin en cliquant sur les liens.

*Titre de créance complexe de droit français présentant un risque de perte en capital partielle ou totale en cours de vie et à l’échéance. Objectifs de gain - Frais : les gains ou pertes résultant de l'investissement sur ce titre de créance s'entendent sans prise en compte des commissions de souscription et/ou frais d'entrée, de rachat, d'arbitrage liés, le cas échéant, au contrat d'assurance-vie, de capitalisation, d'épargne retraite (individuel, ou collectif le cas échéant) ou au compte-titres, et fiscalité et prélèvements sociaux applicables, et hors défaut de paiement et faillite de l'Émetteur et du Garant et mise en résolution du Garant. Une sortie anticipée à l'initiative de l'investisseur (hors conditions de remboursement anticipé) se fera à un cours dépendant de l'évolution des paramètres de marché au moment de la sortie (niveau de l'Indice, taux d'intérêt, volatilité et primes de risque de crédit notamment) et pourra donc entraîner un risque de perte en capital partielle ou totale.
Dans le cadre de la commercialisation du produit structuré M Ambition 12, support d'investissement labellisé créé par Meilleurtaux Placement en partenariat avec l'Émetteur Citigroup Global Markets Funding Luxembourg S.C.A. pour les besoins de sa clientèle, Meilleurtaux Placement perçoit, en complément de la quote-part qui lui est reversée par l’assureur des frais de gestion du contrat prélevés aux clients et de la rémunération accordée par l'Émetteur, une rémunération versée directement par l'Émetteur. Meilleurtaux Placement s’est doté de dispositifs de gouvernance et de contrôle des pratiques commerciales afin de s’assurer que cette rémunération complémentaire n’a aucun impact négatif sur son devoir de conseil et son obligation d’agir au mieux des intérêts de ses clients.
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