Malgré de mauvaises statistiques sur la consommation et de l'emploi aux États-Unis, Wall Street a terminé sa course en territoire positif. Les indices ont été soutenus par l’idée selon laquelle la Fed pourrait ralentir le rythme de son tapering.
Le DJIA a gagné 0,40% et renoue avec le seuil des 16 000 points, à 16.027 pts, le Nasdaq, qui affiche une sixième séance consécutive de hausse, a encore repris 0,94% à 4.241 pts, et le S&P500 a progressé de 0,58% à 1.830 pts.
EN Asie, les places ont terminé la semaine se termine sur une note positive à l'exception de la Bourse de Tokyo, où le Nikkei a perdu 1,53% à la clôture, à 14 313 points, plombé par un net redressement du yen. Sur un mois, le nikkei abandonne ainsi 7,2%.
Ailleurs, Hong Kong prend 0,66%, Shanghai cède 0,89% Taiwan et Bombay reprennent 1,06% et 1,66%. Séoul grignote 0,16% et Sydney +0,9%.
Les places boursières européennes pourraient ouvrir de manière contrastée alors que l'attention se centre sur les chiffres de la croissance dans les pays de la zone euro et sur la politique italienne alors que Matteo Renzi va remplacer l’actuel premier ministre Enrico Letta. Le CAC devrait ouvrir en très légère hausse de 0,19%, à 4319 points.