Les incantations gouvernementales sur l'inversion de la courbe du chômage ou la reprise de la croissance paraissent de plus en décalées. Les études se suivent et se ressemblent: les chefs d'entreprises n'ont pas le moral et l'emploi privé ne montre aucun signe de rebond. La méconnaissance du secteur privé par les politiques est un handicap majeur.
Pour l’INSEE et pour l’UNEDIC, l’inversion de la courbe du chômage n’est pas pour demain. Entre le moral des chefs d’entreprises qui reste bas et la prévision d’un dépassement des 3.5 millions de chômeurs en 2015, ce n’est pas la joie. Et pourtant on a tous envie d’y croire, on a tous envie de voir la croissance repartir mais c’est vrai qu’on a du mal à voir le déclic qui pourrait inverser la tendance. La baisse des impôts est anecdotique par rapport à la hausse massive d'impôts que les ménages français se sont pris depuis deux ans. Et il faut rappeler que, compte tenu de l’environnement, la consommation résiste finalement assez bien. Non, c’est toujours du côté des entreprises privées, surtout les petites et les moyennes que ça coince. Elles ont peur de recruter et d’investir.
Il y a pourtant depuis quelques mois des initiatives en faveur des PME et des ETI. C’est vrai. Mais aussi une impression générale que le gouvernement ne comprend rien au fonctionnement d’une entreprise privée. Les chefs d’entreprise sont programmés pour développer, c’est dans leurs gênes, mais le jeu n’en vaut toujours pas la chandelle : du fait des charges et de la fiscalité, les risques qu’ils doivent prendre sont trop élevés. Espérons que tout cela va finir par changer, il nous reste encore la prière…
Le score des partis populistes va être suivi de près dans tous les pays de l'Union: il pourrait avoir des conséquences majeures.
Une émission exceptionnelle! On rejoue la semaine, vous donne des conseils d'achat ou de vente. Le patron de la semaine est un serial entrepreneur ex MisterGoodeal et patron de Panorabanques. Le thème de la semaine: que faire de ses liquidités. A ce soir sur BFM Business à 19h15, 23h30 et en podcast
Il glisse. La faiblesse de la croissance européenne renforce les prévisions de mesures agressives de la part de la Banque Centrale Européenne le 5 juin. Les élections européennes sont également un facteur d'incertitude
GE a accepté d'attendre jusqu'au 23 Juin pour avoir une réponse à son offre. Siemens se préparerait à faire elle aussi une offre sur toute la branche énergie. Et le gouvernement bosse sur un plan "C" d'entrée de l'état au capital. No comment.
"Quand je vois François Hollande, je vois le président". Ségolène Royal. Elle est vraiment complètement à l'Ouest....
On s'en doutait un peu quand même... Les militaires thaïlandais n'auraient pas l'intention de rendre le pouvoir aux civils...
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Dupont Aignan est crédité de 2% de vois dans les derniers sondages. Mais qui vote pour "Debout la République" ?
Les investisseurs semblent faire une overdose d'intros après un record d'IPOs en Europe depuis 7 ans. Que ce soit en France avec les biotechs ou en Europe dans tous les secteurs, on sent une certaine lassitude et certains projets d'IPOs sont remis en question.
Avec sa progression spectaculaire depuis quelques mois, la Bourse Indienne est entrée dans le top 10 des bourses mondiales dépassant d'un coup les valorisations de l'Australie et de la Corée du Sud.
On se croirait dans un souk. Les gros actionnaires d'Astra Zeneca tentent de faire revenir Pfizer à la table des négociations. Le refus d'une offre pourtant assez généreuse a fait plonger le titre...
VOILA C'EST TOUT
BONNE JOURNÉE
MAY THE FORCE BE WITH YOU