La seconde estimation du PIB de la zone euro est un peu plus robuste que la première, mais pas de quoi fanfaronner pour autant. La croissance reste molle sur le vieux continent. La progression trimestrielle ressort à +0,4%, contre +0,3% initialement annoncé.
Sur un an, la croissance économique s’inscrit en hausse de 1,5% contre 1,2% estimé précédemment.
Selon Eurostat, la contribution de la dépense de consommation finale des ménages à la croissance du PIB a été positive (+0,2 point) mais la formation brute de capital fixe a coûté 0,1 point. Grâce notamment à la baisse de l’euro, le commerce extérieur a contribué positivement (+0,3 point), à l'inverse des stocks (-0,1 point). Le surcroît a été apporté par les administrations publiques (+0,1 point).