Les marchés sont en équilibre instable. Certes la FED a provoqué un rebond puissant des indices boursiers mais elle a déclenché un désordre sur tous les marchés du change aux matières premières qui crée un climat d'incertitude. Le scénario le moins grave serait une baisse des marchés obligataires. Qui ne vient toujours pas.
Désolé. Ce n'est pas une nouvelle.
Mais les syndicats ne pourront pas lutter contre ce qu'ils ont créé: à la fin de la semaine c'est les vacances de la Toussaint. La trêve des glandeurs.
encore et toujours avec des résultats qui ont permis au Nasdaq de clôturer en fanfare.
ne décolle toujours pas. Ils ont vraiment le blues nos amis outre Atlantique. Les élections vont leur permettre de s'exprimer.
Peu d'indicateurs économiques à attendre cette semaine.
à la réglementation de hedge funds.
On n'a pas le droit de rigoler...
Très rafraîchissant. Entre 'OUI OUI au pays de l'économie" et "les Bisounours en 2020". Il nous promet qu'avec ses 25 mesures (une des principales étant l'amélioration de l'accueil des enfants à la crèche) il va faire baisser le chômage prévu en 2020 de 9% à 4.5%, faire monter la prévision de croissance de 1.5% à 3% mais il peut même augmenter l'espérance de vie de 1 an (ce n'est pas une blague). Si vous avez envie de vous détendre quand vous ferez la queue à la pompe à essence ou quand vous attendrez demain votre train pendant 3 heures, lisez le.
A peine les programmes d'austérité annoncés et même pas appliqués, on assiste dans toute l'Europe du Sud à une levée de boucliers. C'est au tour de le la rue Italienne de se lancer dans la bataille. On ne changera pas les mentalités des cancres européens. Et c'est un latin qui vous le dit...
AIG va enfin réussir quelque chose après avoir couté près de 200 milliards de dollars aux contribuables américains. Ils vont lever 20 milliards de dollars en cotant leurs filiale asiatique AIA à Hong Kong. Les fonds chinois se battent pour en prendre une part
ce week end dans le Herald Tribune qui explique l'extraordinaire performance des pays émergés en partie par l'absence totale de contraintes sociales. On savait que ces pays étaient déjà avantagés par le coût du travail et l'absence de couverture sociale des travailleurs. Mais ce qui est nouveau, c'est qu'avec le vieillissement de la population, le fossé compétitif entre les pays qui veulent garantir des retraites à leurs seniors et ceux qui les laissent mourir va se creuser de plus en plus. C'est un choix de modèle. Mais on ne peut pas en même temps refuser la retraite à 62 ans et s'extasier sur le miracle brésilien ou chinois.
Quand un marché baisse, il y a toujours des grands gourous qui se réveillent pour prévoir l'effondrement et vice versa à la hausse. La palme revient ce matin a un ancien économiste du FMI, professeur à Harvard qui titre dans les ECHOS "10,000 dollars l'once, c'est possible". Je me demande si ce n'est pas lui qui parlait du pétrole à 1000 dollars le baril en 2008 ... avant qu'il tombe à 35 dollars.
Il a poussé une petite gueulante sous prétexte que son numéro 2 et futur successeur Axel Weber a dit qu'il fallait arrêter d'acheter des obligations pour faire tourner la planche à billet. Il est fort ce Jean Claude.
VOILA C'EST TOUT
BONNE JOURNÉE
MAY THE FORCE BE WITH YOU