C’est l’enjeu majeur de ces prochaines semaines qui aura un impact crucial sur la gestion de la crise des dettes souveraines : la succession de DSK au FMI. La bataille pour la succession à officiellement commencé.
Les Européens revendiquent un poste qui leur est traditionnellement dévolu à un moment crucial pour la zone euro ; D’ailleurs, il semblerait que l’Europe ait trouvé un candidat qui fait l’unanimité selon les Echos, il s’agit de Christine Lagarde, qui apparait en effet à en croire la multiplication des UNE sur l’actuelle ministre de l’économie, comme la candidate favorite pour prendre les rênes de l’institution. Mais les pays émergents qui comptent également prendre part au processus de décision font également pression pour que ce soit l’un des leurs qui prennent la tête du FMI pour mieux refléter le basculement du centre de gravité de l’économie mondiale. La bataille a donc officiellement commencé, cela promet d’être passionnant ;
+94%, c’est l’envolée spectaculaire réalisée sur Linked IN, le facebook des cadres, pour sa première séance de cotation sur le NYSE. Avec un pic touché en séance à 122$, on en finirait presque à croire que les arbres montent au ciel. La capitalisation dépasse désormais les 10 milliards de dollars, soit plus de 45 fois les ventes 2010, alors que le Groupe ne prévoit pas de bénéfices cette année.
c’est le montant des bonus versé par les quatre banques françaises en 2010.
Deux conclusions à tirer. 1) les banques semblent bel et bien avoir tourné la page de la crise, 2) la réforme basée sur la volonté d’encadrer le montant des bonus n’a rien changé sur le fond
...de cash pour les sociétés du CAC
Il n’y a pas que les banques qui semblent avoir tourné la page de la crise, Les « stars » de la coté parisienne on accumulé en 2010 un trésor de guerre qui culmine à 170 milliards d’euros. A quoi va servir cette montagne de cash ? Relancer l’investissement par la croissance externe via notamment les fusions-acquisitions, un thème qui devrait être à la mode en 2011.
la crise des dettes souveraines continue en Europe avec des tensions qui ne faiblissent pas sur les pays périphériques.. Même si l’Espagne a réussit à lever un peu plus de 3 milliards d’euros sans trop de difficultés, le spectre d’une contagion de la crise des dettes souveraines à la péninsule est toujours d’actualité. Le contexte reste difficile et incertain alors que les européens se déchirent sur la question de la restructuration de la dette grecque.