Mardi 21 mai

La retraite, c'est surtout une question d'âge. L'âge d'ouverture des droits, qui a fait couler beaucoup d'encre en 2023 avec le rallongement à 64 ans. L'âge de départ pour toucher la pension à taux plein, qui est resté à 67 ans. Et puis il y a bien sûr l'âge pour commencer à y penser et à épargner, dès 25 ans ou le plus tôt possible. Il existe de nombreuses solutions d'épargne pour se construire un complément de revenus à la retraite. Le choix entre ces diverses solutions dépend de votre profil et notamment... de votre âge.

PARTIR À 62, 64, 67 ANS ?

La réforme des retraites de 2023 a reculé l'âge d'ouverture des droits à la retraite de 62 à 64 ans. Mais si les droits à la retraite sont ouverts à cet âge, le seul moyen d’obtenir cette pension à taux plein est d’avoir validé la durée d’assurance. C’est-à-dire un nombre minimum de trimestres travaillés dans sa carrière. Cette durée était de 160 trimestres en 2013. Mais la réforme de 2014 l’a progressivement augmentée de 160 (pour les personnes nées avant 1952) à 172 trimestres (pour les personnes nées après 1973). 172 trimestres, cela correspond à 43 années de travail, complètes. Même en ayant commencé à travailler à 20 ans, même sans avoir connu une seule interruption dans sa carrière, la durée d’assurance minimum serait donc atteinte à 63 ans. Et on est dans le cas d’une carrière débutée tôt et linéaire. Tout le contraire de ce que les Français ont aujourd’hui...

Une personne qui ne valide pas tous ses trimestres aura donc une pension de retraite minorée. Une retraite doublement minorée d'ailleurs car elle se voit appliquer un coefficient de proratisation (ex : une personne qui n’a validé « que » 80% des trimestres, se verra appliquer à sa pension le coefficient de minoration de 80%) ainsi qu'un coefficient de décote (ex : 0,625 point par trimestre manquant). Pour annuler les deux décotes, le seul moyen est de valider tous ses trimestres. Tout retraité peut partir à la retraite à 67 ans et bénéficier du taux plein, mais il aura quand même un coefficient de proratisation s'il n'a pas validé tous ses trimestres.

Heureusement, ce n’est pas tout. Que vous soyez salarié, fonctionnaire ou indépendant, vous allez recevoir une retraite complémentaire pour laquelle vous cotisez chaque mois. Il s’agit par exemple du régime Agirc Arrco pour les salariés du privé, de la RAFP pour les fonctionnaires ou du RCI pour les indépendants. 
Ces retraites complémentaires fonctionnent toutes sur un système de points. Plus vous cotisez, plus vous emmagasinez des points de retraite. À la retraite vous convertissez ces points en rentes selon un barème mis à jour chaque année.

Passé 50 ans, il est absolument nécessaire d'estimer sa pension de retraite pour anticiper et préparer. Mais le calcul est complexe. Heureusement, depuis 2010, vous recevez tous les 5 ans, à partir de 35 ans, un relevé individuel de situation contenant les droits acquis auprès des régimes de retraite. En complément de ces envois automatiques, il est possible d’obtenir un relevé de situation individuelle sur lassuranceretraite.fr. À partir de 55 ans, vous pouvez obtenir à tout moment, à votre demande, une estimation indicative globale sans en attendre l’envoi automatique. Ce sera souvent un choc salutaire : vous saurez dès aujourd’hui que vous allez toucher peu d’argent, beaucoup moins que ce que vous espériez et nettement moins que ce dont vous aurez besoin.


25-35 ANS : ASSURANCE-VIE, COMMENCEZ DÈS QUE POSSIBLE

Assurance vie et jeune, il y a quelque chose qui coince. Rien que le terme peut évoquer quelque chose de poussiéreux et de peu dynamique. Préjugé ! Car quand on est jeune, le temps est notre allié. Investir quelques dizaines d'euros par mois dans un contrat d'assurance-vie, pour prendre date, et pour vous accompagner dans tous vos projets fait beaucoup de sens.

Si vous avez moins de 40 ans, vous devez, avant de penser à la retraite, vous construire une épargne de précaution. Vous n’épargnez donc pas pour votre retraite, mais ce n’est pas un problème. Car le fait d’avoir une épargne de précaution à 40 ans, vous permettra à 45 ou 50 ans de pouvoir vous focaliser sur l’épargne retraite. Vous devez donc vous construire le plus tôt possible une épargne en investissant régulièrement dans une assurance-vie .

Si votre capacité d’épargne reste encore limitée, l’assurance-vie est également un placement adapté à toutes les bourses. En toute souplesse, et pour quelques dizaines ou centaines d’euros chaque mois, vous pouvez vous constituer progressivement un capital. Libre à vous d’augmenter le montant des versements par la suite.

En versant 50 euros par mois sur un contrat d'assurance-vie sur une allocation équilibrée (investie en fonds euros et unités de compte* diversifiés de type ETF, fonds obligataire, fonds de private equity ou encore fonds immobilier), si on prend l'hypothèse d'un rendement net de frais de gestion et de prélèvements sociaux de 4%, on obtient sur 15 ans un capital d'environ 12 300 euros et sur 20 ans un capital de 18 300 euros. Sur 35 ans, on obtient un capital de 45 200 euros dont plus de la moitié provient des intérêts du placement (versement = 21 000 euros).

Ouvrir jeune un contrat permet également de « prendre date » fiscalement et de bénéficier d'une taxation beaucoup plus douce au bout de 8 ans de détention. En effet, passées ces années de détention, la fiscalité est réduite pour ne pas dire minime. Seule la part de gain qui compose un rachat est imposée, après un abattement annuel de 4600 euros (9200 euros pour un couple) au taux de 12,8 % voire 7,5 % (prélèvements sociaux à 17,2 % sans abattement).

Et nous avons le produit pour vous : Pilot, la gestion pilotée sans frais d’entrée, accessible dès 100 € de versements mensuels, disponible au sein du contrat Meilleurtaux Liberté Vie, qui vous permet de déléguer le choix des placements au sein de votre enveloppe à notre comité d’investissement, présidé par Marc Fiorentino. Un pilote pour votre retraite…

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35-50 ANS : L'HEURE DU PER ?

Se construire une épargne retraite tout en diminuant ses impôts ? C'est la formule magique que propose le PER (Plan d'Épargne Retraite) : les versements réalisés sur une année dans ce produit sont en effet déductibles du revenu imposable dans la double limite de :

-10% des revenus du travail de l’année n-1 (après abattement de 10%), pris en compte dans la limite de 8 fois le Plafond Annuel de la Sécurité Sociale (PASS) de l’année n-1 (PASS 2023 : 43 992 euros)

- 10% du Plafond Annuel de la Sécurité Sociale si les revenus sont trop faibles (PASS 2023 = 46 368 euros)

Comme il s'agit d'un produit de déductions fiscales, la réduction dépend de la tranche marginale d'impôt. Plus elle est élevée, plus la réduction sera forte : un contribuable soumis à la tranche à 45% bénéficiera donc d'une réduction de 45% de son versement (s'il ne dépasse pas les plafonds).

Ce placement convient idéalement aux épargnants actifs qui sont dans la période de leur vie où leurs revenus sont les plus élevés, pour maximiser le gain d'impôt. Plus l’écart de revenus annuels, par rapport aux revenus moyens, est grand, plus le PER est attractif. Une niche accueillante d'autant plus qu'elle n'est pas comprise dans le plafonnement global des niches fiscales de 10 000 euros.

Le capital est bloqué jusqu'à la retraite (sauf cas exceptionnel de déblocage anticipé). Il va surtout fructifier pendant de longues années. Car plus qu'un produit de réduction d'impôt, le PER est un placement : vous choisissez les supports sur lesquels vous voulez investir, selon votre profil. Sur notre Plan Epargne Retraite Meilleurtaux Liberté PER, vous avez le choix entre la gestion libre ou bien la gestion pilotée Pilot. Avec le second mode de gestion, vous déléguez la gestion de votre épargne retraite à Marc Fiorentino et son comité stratégique d’investissement. Ainsi, vous profitez d’un contrat dont l’allocation est entièrement pilotée par des experts en placements.

À la retraite, le capital peut être récupéré, en une ou plusieurs fois, ou transformé en rente viagère, ou une combinaison des deux. Le capital et ou la rente est alors soumis à l'imposition sur le revenu (ou PFU pour les gains du capital retiré).

Exemple :

Un foyer fiscal soumis à la tranche à 30% verse 425 € par mois dans un PER. Il économise 127,5 € d'impôt par mois (30 % x 425). Soit un effort d'épargne réel de 297,5 €. Il privilégie là encore une allocation équilibrée (par exemple le profil équilibré de Pilot). Au bout de 20 ans, le capital sur le plan atteint 156 500 € (soit une hypothèse de rendement moyen de 4 % par an). À ce moment, alors à la retraite, le couple fait des retraits mensuels de 785 €. Sur ce retrait, 510 € (correspondant à la part de versement) s'ajoutent aux revenus imposables (une partie de ces revenus sera imposée à 11%, et l'autre à 30% car le capital retiré fait basculer le couple dans la tranche supérieure). Le reste est soumis au PFU de 30%. Le couple obtient ainsi un complément de revenu net de 590 € par mois qui durerait pendant 25 ans jusqu'à épuisement du capital (cette hypothèse prend en compte une revalorisation du capital pendant la phase de retrait).

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50-60 ANS : PROGRAMMER À 10 ANS AVEC LA NUE-PROPRIÉTÉ

A dix ou quinze ans de la retraite, vous vous êtes déjà construit un capital et votre objectif est qu'il dégage des revenus complémentaires... dans dix ans. Avec votre taux d'imposition, vous n'avez surtout pas besoin de revenus complémentaires aujourd'hui : vous avez donc besoin d'un placement qui va capitaliser pendant 10 ou 15 ans, puis vous verser des rendements à votre retraite. La nue-propriété correspond parfaitement à cet objectif.

Pour rappel, la propriété d'un bien peut être démembrée, c'est-à-dire séparée en deux droits sur ce bien : l'usufruit, qui donne droit d'user du bien ou d'en tirer les profits, et la nue-propriété. Le nu-propriétaire possède le bien mais sans en avoir la jouissance. Concrètement, sur un bien mis en location et démembré pendant 10 ans, l'usufruitier va recevoir les loyers pendant 10 ans, tandis que le nu-propriétaire récupérera la pleine propriété du bien au bout de 10 ans.

Acheter la nue-propriété temporaire d'un bien immobilier peut se révéler très intéressant :

- Vous achetez le bien avec une décote par rapport à son prix en pleine propriété

- Le risque n'est pas très élevé puisque le remembrement est mécanique : la nue-propriété va devenir pleine propriété à l'échéance du démembrement, et l'investissement a donc de grandes chances de se revaloriser.

- L'espérance de gain peut venir de deux sources. Tout d'abord, le remembrement : admettons que vous achetiez sur 10 ans une nue-propriété égale à 65% de la pleine propriété. Vous savez d'ores et déjà que votre placement va passer de 65 à 100% en 10 ans. Soit une performance annuelle de 4,4%, et sans compter la revalorisation du bien qui peut donc vous amener une deuxième source de rentabilité.

- Le cadre fiscal est sans comparaison : pas d'IFI puisque c'est l'usufruitier qui doit déclarer le bien dans son patrimoine, pas d'IR ni prélèvements sociaux (pas de revenus), pas de plus-value sur le remembrement (qui n'est pas fiscalisé). Le nu-propriétaire n'est donc pas concerné par le matraquage fiscal de l'immobilier, sauf en cas de plus-value (qui viendrait alors augmenter la rentabilité nette du placement).

L'investisseur sera néanmoins attentif au prix qu'il payera pour la nue-propriété d'un bien. Sur des biens en direct, la valeur des nues-propriétés disponibles sur le marché est souvent déraisonnable. Nous conseillons donc de privilégier la détention de parts de SCPI en nue-propriété. Pour 3 raisons :

- Le prix de la nue-propriété d'une part de SCPI est basé sur le prix de la part. Il n'y a donc pas de survalorisation.

- L'investissement est simple et souple. La société de gestion gère la nue-propriété, pour une durée déterminée, et vous récupérez la pleine propriété à l'échéance.

- La clé de répartition, c'est-à-dire la quote-part respective du prix entre l'achat de l'usufruit et de la nue-propriété pour une durée donnée, est fixée par la société de gestion. Celle-ci n'a pratiquement pas évolué depuis 10 ans. Ainsi, vous pouvez acheter des parts de SCPI en nue-propriété pendant 10 ans pour à peine 65-70% de la valeur de la part !

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60-65 ANS : RETOUR SUR L'ASSURANCE-VIE

Il est conseillé aux investisseurs particuliers de faire le plein d'assurance-vie avant 70 ans, pour profiter pleinement de l'abattement de 152 500 euros par bénéficiaire sur les droits de succession. Mais l'assurance-vie est loin d'être un simple outil successoral. Il s'agit d'un véritable outil patrimonial, idéal notamment pour les retraités.

Quels sont les objectifs que cherchent les retraités pour leurs placements ? Les revenus complémentaires, le besoin de liquidités, la liberté et la tranquillité de gestion, et bien sûr la souplesse de transmission.

Tout ce que l'immobilier locatif, par exemple, n'est pas : les loyers sont imposés très lourdement (TMI +17,2%), sans compter l'IFI. Donc pour une rentabilité brute de 5 %, vous aurez 2,5 % net (au mieux). Sans compter les éventuels soucis de gestion : problèmes avec le locataire, entretien, travaux, etc. qui peuvent venir grignoter votre rentabilité. Des soucis qui vont aussi vous prendre du temps, et qui vous obligent à vivre non loin de votre bien. L'immobilier n'offre aussi aucune liquidité en cas de besoin ponctuel. Et la succession sera très lourde et souvent à problème entre les héritiers qui se partagent l'indivision du bien, sans compter le conjoint survivant qui sera usufruitier.

En revanche, l'assurance-vie remplit parfaitement tous les objectifs du retraité. L'assuré pourra tirer un rendement entre 2 et 4 % (avec une allocation en fonds en euros, SCPI** voire quelques fonds investis partiellement en actions* selon le profil). Comme la fiscalité est très douce, il ne payera pas ou très peu d'impôts sur ses retraits. Et il retire de manière très souple selon ses besoins (il peut retirer plus lorsqu'il a un besoin ponctuel, ou moins sur des mois où il a peu dépensé). Contrairement à l'immobilier, le placement ne demande aucune gestion et permet de transmettre de manière très simple (une somme d'argent est bien plus simple à transmettre qu'un bien immobilier) et avec des abattements sur les droits de succession.

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65 ANS : DES SCPI ÉTRANGÈRES POUR DES REVENUS COMPLÉMENTAIRES

Le départ à la retraite est un événement majeur, un véritable changement de vie. Le retraité n'est plus en « phase de construction », il entre en « phase de restitution ». C'est le moment où il faut retirer les fruits du travail de construction patrimoniale réalisé, pour compléter sa pension, maintenir son niveau de vie et profiter de sa retraite.

Pour cela, l'accent doit donc être mis vers les actifs les plus rentables (tout en étant solides), nets de fiscalité.

Malgré le contexte difficile pour l’immobilier et les SCPI, il est important de souligner deux aspects fondamentaux de ce véhicule de Pierre Papier. Il s'agit tout d'abord d'un véhicule d’investissement axé sur le rendement et conçu pour une épargne à long terme. Malgré un environnement morose, les SCPI conservent l’avantage de distribuer un rendement stable. En 2023, le rendement moyen des SCPI était de 4,52 %** (contre 4,53 % en 2022).

Les SCPI sont donc adaptées à un investisseur cherchant principalement à tirer des revenus de son patrimoine.

On notera également que si certaines SCPI ont subi des baisses de prix de part en 2023 et/ou 2024, la majorité des véhicules sont restés stables malgré la crise immobilière grâce à une gestion défensive de leur parc immobilier. La sélection du bon véhicule est donc, comme toujours, essentielle.

A ce titre, la SCPI Epargne Pierre Europe, première de notre classement, convient particulièrement à un investir à la recherche de rendement solide. La SCPI a affiché un taux de distribution de 6,26 %** brut de fiscalité en 2023. Profitant d'un contexte de baisse des prix sur les marchés immobiliers européens, elle a pu acquérir des actifs en Espagne et aux Pays-Bas. Son ambition est de maintenir un taux de distribution brut de fiscalité supérieur à 6 %** tout en consolidant sa marge de protection entre prix de part et valeur de reconstitution.

Au 31 décembre 2023, la valeur de reconstitution d’Epargne Pierre Europe était de 202,66 € pour un prix de part fixé à 200 €. La SCPI était alors en situation de légère décote (prix de part inférieur à la valeur de reconstitution) ce qui est un avantage pour les épargnants.

Outre la diversification géographique, la fiscalité des SCPI européennes présente un avantage. En investissant dans des SCPI européennes, les épargnants perçoivent des revenus locatifs provenant de l'étranger. Ces revenus sont soumis à un régime fiscal spécifique, nettement plus avantageux que s'ils provenaient de biens immobiliers en France. En effet, les revenus locatifs issus de SCPI investissant à l'étranger sont soumis à une imposition déterminée par les conventions fiscales entre les États membres de l'Union européenne, permettant d'éviter une double imposition. Et surtout, les investisseurs échappent aux prélèvements sociaux de 17,2 % sur les revenus de source étrangère. Cette fiscalité attrayante explique l'attrait croissant des épargnants pour les SCPI européennes.

La stratégie d’acquisition de la SCPI Epargne Pierre Europe se concentre uniquement sur le marché européen hors marché français, offrant ainsi aux investisseurs des rendements plus attractifs grâce à une fiscalité favorable, permettant aux porteurs de parts de viser un rendement net proche de 5%, alors qu’il serait difficilement au-dessus des 3% pour une SCPI française.

>> Je reçois une documentation sur la SCPI Epargne Pierre Europe


Communication non contractuelle à but publicitaire

* Les investissements en unités de compte présentent un risque de perte en capital, doivent s’envisager dans une optique long terme et porter sur une petite partie d’un patrimoine global. Contrairement au fonds en euros, la valeur de ces unités de compte, qui reflète la valeur d’actifs sous-jacents, n’est pas garantie mais est sujette à des fluctuations à la hausse ou à la baisse dépendant en particulier de l’évolution des marchés financiers. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps.

** Les parts de SCPI de rendement sont des supports de placement à long terme (minimum 10 ans) et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. Le capital investi dans la SCPI n’étant pas garanti, cet investissement comporte un risque de perte en capital. Comme tout investissement, l'immobilier présente des risques : absence de rendement ou perte de valeur, qui peuvent toutefois être atténués par la diversification immobilière et locative du portefeuille de la SCPI. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers.

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