Vendredi 26 juillet

À l'approche de leur retraite, et malgré des belles carrières, Nicolas et Marie vont subir une nette baisse de leurs revenus à la retraite. Heureusement, ils se sont construits avec le temps un patrimoine suffisamment conséquent. Mais le montant ne fait pas tout, il faut désormais que ce patrimoine délivre un revenu complémentaire.

Réduction d'impôt durable


Nicolas et Marie ont pris l'habitude de réaliser chaque année des versements dans un produit de défiscalisation type PER, FIP ou FCPI. Mais cette année, sous l'impulsion de leur enfant particulièrement attaché aux questions environnementales, ils décident de s'intéresser à un nouveau produit : le GFI.

Le GFI (Groupement Forestier d'Investissement) est une société civile à vocation forestière. Son activité est donc rattachée à un ou plusieurs massifs forestiers. Il permet à des investisseurs particuliers d'acheter des parts d'une société civile qui détient des parcelles de forêts. La société de gestion va alors exploiter son actif, c'est-à-dire l'entretenir, prélever les bois matures et les revendre. Elle distribue les revenus à ses associés, les porteurs de parts. Parts dont le prix peut également évoluer avec le marché des forêts et la pousse des arbres non récoltés.

Le GFI (Groupement Forestier d'investissement) représente un placement aux multiples banches puisqu’il permet de profiter :

• De 3 avantages fiscaux (réduction d’impôt de 18 %, Exonération de 75% de droits de succession et donation et exonération d’IFI).

• D’un revenu récurrent (le rendement d’exploitation brut avant les frais du GFI varie entre 1 % et 3 % en moyenne sur 10 ans, soit un rendement net de l'ordre de 1%* après frais de gestion.).

• D’une potentielle hausse du prix de la part.

Le couple va ainsi investir 8 000 euros sur le GFI France Valley Forêts XII . Il bénéficiera ainsi l'année prochaine d'une réduction d'impôt de 1440 €. Par ailleurs, sur ces 8000 euros, 6000 euros échapperont aux droits de succession.

>> Recevez une documentation complète sur le GFI France Valley Forêts XII


Baisse des revenus à la retraite


Nicolas et Marie n'ayant pas eu deux carrières complètes, ils bénéficieront d'une pension assez modeste qui s'élèvera à 3 250 € bruts par mois.

Cette pension est heureusement complétée par 1200 euros de revenus de placements et 1 500 € de revenus immobiliers.

Mais chaque année, ils payent environ 8 000 € de taxe foncière, 9 530 € d’IR et 10 485 € de prélèvements sociaux (17,2%). Soit 2 335 € d'impôt par mois, et donc un revenu net d'environ 3 615 € par mois (3 250 + 2 700 - 2 335).

Pour Nicolas et Marie, cela représente une baisse importante de leurs revenus.

Nicolas et Marie devront donc se serrer un peu la ceinture d'autant plus que leurs dépenses vont augmenter (la retraite, c'est fait pour en profiter) et qu'ils payent depuis quelques années la maison de retraite de la mère de Marie.

Le couple souhaite pouvoir voyager et passer du temps avec les petits-enfants (nés et à venir) mais financièrement, ils ne peuvent pas tout se permettre.

Le couple voulait aussi épargner sur un contrat d'assurance-vie pour leurs petits-enfants mais concrètement, ils n'y arrivent pas.

Nicolas et Marie ont un profil défensif. Ils ne veulent pas prendre de risque avec leur patrimoine. Pas question par exemple d’investir en actions ou autre actif à risque. L’immobilier, solide et rentable, leur convient très bien même s’ils doivent bien reconnaître que la gestion de leur bien immobilier devient de plus en plus lourde. Le couple aimerait bien s’alléger un peu de cette gestion mais il ne peut pas risquer de diminuer la rentabilité de son patrimoine.


Vente d'un bien immobilier


Sur les recommandations de leur conseiller, ils décident de mettre en vente leur biens immobilier. Il en ressort un capital net de 390 000 € (après le paiement de l'impôt sur la plus-value, ou plutôt des prélèvements sociaux puisque le bien a 25 ans).

Le couple verse 390 000 € sur deux contrats d'assurance-vie

Par rapport à l’immobilier, l’assurance-vie sera bien moins imposée, beaucoup moins contraignante et surtout beaucoup plus liquide. Ils pourront adapter leurs retraits sur ces contrats à leurs besoins.

En matière de rentabilité, étant donné que les revenus seront nettement moins imposés, et qu’on peut en plus mettre de l’immobilier dans l’assurance-vie sous forme de Pierre Papier, les revenus complémentaires du couple seront préservés, voire améliorés.

>> Je reçois une information sur les contrats assurance-vie de meilleurtaux Placement

Nicolas et Marie ouvre un contrat d'assurance vie Meilleurtaux Liberté Vie et choisissent la gestion déléguée Pilot, avec un profil prudent. Ce portefeuille leur permet d’espérer une performance entre 3% et 4%* en moyenne par an. Chaque mois, le couple retire 975 € (ce qui correspond aux intérêts des contrats).


Un patrimoine au service de leur retraite


Fiscalité sur les retraits

La 1ère année, sur le retrait de 11 700 € (975 € par mois), environ 190 € (1,62 %) représentent des gains qui seront imposés à la flat tax, à 12,8 % (soit 24 €).

Quant aux prélèvements sociaux de 17,2 %, ils ne s'appliquent que sur une partie des gains (70 €) car les prélèvements sociaux ont déjà été pris à la source sur le fonds en euros.

Au total, l'impôt à payer s'élève à 36 € sur l'année (alors que sur les revenus fonciers il fallait payer environ 10 400 € d'impôt sur l'année...).

Chaque année, l'impôt à payer augmente légèrement (600 € la septième année) mais il rebaisse ensuite à la faveur de l'abattement de 9 200 € sur les gains des rachats, disponible chaque année après 8 ans de détention du contrat. Au final, au bout de 15 ans, le couple aura payé environ 300 € par an d’impôts sur les gains des rachats de l’assurance-vie. Contre 10 400 € d’impôts et taxes sur les revenus fonciers du bien vendu.

Impôt total par an et par mois

Avec 1 350 € par mois en moins de revenus fonciers à déclarer, le couple payera environ 5 870 € d'impôt et 7 700 € de prélèvements sociaux. Plus 4 000 € de taxe foncière. Soit 17 570 € par an (1 465 € par mois). Si on rajoute 25 € par mois environ d'impôt sur les rachats d'assurance-vie, on se retrouve avec un impôt à payer de 1 490 € par mois, contre 2 335 € avant la vente du bien immobilier.

À noter que le couple retire 975 € par mois de ses contrats au lieu de 1 350 € de revenus fonciers.

Au final, en vendant son bien immobilier pour ouvrir deux nouveaux contrats d’assurance-vie sans frais d’entrée, sur lesquels il va faire des rachats programmés mensuels, le couple obtient un gain net de 470 € par mois.

>> Je veux souscrire à Meilleurtaux Liberté Vie, le contrat d'assurance-vie sans frais d'entrée avec plus de 700 UC pour diversifier


Économie sur les droits de succession

Le couple a un enfant et un patrimoine d’un peu plus d'1 million d’€ (en comptant sa résidence principale), qui sera donc difficile à transmettre en limitant les droits de succession. Il doit donc maximiser ce qu'il transmet via l'assurance-vie et utilisant les abattements de 152 500 euros pour son enfant, voire pour ses petits enfants. A ce titre, vendre son bien immobilier pour investir dans l'assurance-vie lui permet de réduire drastiquement les droits de succession.

Conclusions

En choisissant de vendre un bien immobilier locatif et de remplacer les revenus fonciers par des rachats programmés en assurance-vie, le couple :

1) Réduit ses impôts et dispose d'un budget supplémentaire de 470 € par mois pour ses projets. Un niveau qui aurait même pu être supérieur si le couple :

- avait une tranche marginale d'imposition supérieure à 30 %,

- payait l’IFI,

- n'avait pas de plus-value à payer sur la vente.

2) Maintient un niveau de capital intéressant à transmettre à ses enfants dans un cadre fiscal ultra avantageux.

3) Se débarrasse d'un placement peu souple dont la gestion serait devenue de plus en plus inconfortable au fil du temps.

>> Je veux souscrire à Meilleurtaux Liberté Vie, le contrat d'assurance-vie sans frais d'entrée idéal pour la retraite


Communication non contractuelle à but publicitaire

* Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Les supports en unités de compte présentent un risque de perte en capital.

L'investissement en actions, obligations ou OPCVM présente un risque de perte en capital important, et doit s’envisager dans une optique long terme, en représentant une petite partie d’un patrimoine global. Contrairement au fonds en euros, la valeur de ces supports, qui reflète la valeur d’actifs sous-jacents, n’est pas garantie mais est sujette à des fluctuations à la hausse ou à la baisse, dépendant en particulier de l’évolution des marchés financiers.

Comme tout investissement, l'immobilier présente des risques :

- La baisse de la valeur du placement. Le capital investi n’est pas garanti. Sa valeur évolue dans le temps, en relation étroite avec l’état de la conjoncture de l'immobilier . Cette conjoncture suit des cycles successifs, avec des phases à la hausse et à la baisse.

- La diminution des revenus locatifs. Dans un contexte économique moins favorable, la baisse des revenus locatifs versés aux associés est due à la diminution du taux d’occupation financier et/ou à la baisse du montant global des loyers versés par les locataires. Cette baisse peut être toutefois atténuée par l’effet de la mutualisation des risques grâce à la diversification immobilière et locative du portefeuille.

- La liquidité. L'immobilier n’étant pas un produit coté, il présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution du marché de l’immobilier .

A découvrir également

  • visuel-morning
    N'attendez pas la fin d'année pour préparer 2025 !
    15/11/2024
  • visuel-morning
    La pépite de la semaine : Netgem
    18/11/2024
  • visuel-morning
    Investissez en Corse pour profiter de 30 % de réduction d’impôt
    08/11/2024
  • visuel-morning
    Les « parts sponsors » : la solution pour diversifier votre patrimoine immobilier à moindre coût
    30/10/2024
Nos placements
PER Plus de retraite et moins d'impôts avec nos PER sans frais d'entrée
Assurance vie Découvrez nos contrats sans frais d'entrée
SCPI Accédez à l'immobilier professionnel dès 500 €
Defiscalisation Investissez dans l'économie réelle en réduisant votre impôt