Lundi 20 mars

Tout va pour le mieux pour Lucas. Jeune cadre dans un cabinet de consulting, ses dépenses sont assez réduites, d'autant que son activité professionnelle occupe la majeure partie de son temps. Une fois déduit son loyer et les charges quotidiennes, sa capacité d'épargne mensuelle devient confortable, à hauteur de 600 euros. Mais côté finances personnelles, c'est un peu le désert. Lucas s'en occupe très peu. Par manque de temps, mais aussi d'intérêt. Pourtant, ses objectifs long terme personnels exigent dès aujourd'hui de prendre les bonnes décisions pour utiliser au mieux sa capacité d'épargne.

Objectif des jeunes actifs : Epargner



Diplômé d'une grande école, Lucas travaille depuis 5 ans dans un cabinet de consulting. A l'aube de la trentaine, et ses premières années d'exercice validées, il vient de passer consultant. Tout se passe plutôt comme il l'avait prévu, finalement.



Lucas vit à Paris. Une fois déduit son loyer et les charges quotidiennes, sa capacité d'épargne mensuelle devient confortable, à hauteur de 600 euros. Mis à part les voyages, qu'il réalise chaque année sur sa période de congés estivale, ses dépenses sont finalement assez réduites, d'autant que son activité professionnelle occupe la majeure partie de son temps ; le plus gros poste de son budget, et son pêché mignon, les fringues. Mais là encore c'est étroitement lié à son activité.



Bref, tout va pour le mieux, et cette nouvelle capacité d'épargne ouvre des perspectives, mais génère aussi quelques interrogations. Côté finances personnelles, c'est un peu le désert. Lucas s'en occupe très peu. Par manque de temps, mais aussi d'intérêt. Avec environs trois mois de salaires sur un Livret, il se considère armé en cas de coup dur. C'est à peu près tout, et c'est déjà très bien, d'ailleurs.



Comment Lucas peut-il à la fois profiter de l'environnement de taux bas et utiliser au mieux sa nouvelle capacité d'épargne ?


Jeunes actifs : Comment se construire un capital ?



Si le fait d'être propriétaire de son logement reste la voie d'excellence, l’immobilier locatif est de plus en plus apprécié par les investisseurs : l’immobilier locatif garantit des revenus réguliers tout en ne faisant pas l’impasse sur la construction d’un patrimoine que l’on pourra transmettre à ses descendants.



Comme certains de ses amis, Lucas aimerait acquérir sa résidence principale et profiter lui aussi des taux de crédit actuellement très bas. Toutefois, il n'a pour le moment aucune garantie concernant son avenir "géographique" : selon son responsable, il est tout à fait envisageable qu'on lui propose dans un avenir proche (2 ou 3 ans) d'aller travailler au sein de la filiale anglaise, voire à Singapour. Lucas le sait, ces missions à l'international s'étendent généralement sur 3 à 4 années.



Par ailleurs, Lucas a aussi conscience qu'en faisant seul l'acquisition d'une résidence principale, qui plus est à Paris, il ne pourra pas accéder à des appartements du standing ou de la surface qu'il convoite.



Lucas opte pour un investissement dans de la pierre papier. En faisant ce choix, il se donne la possibilité d'investir dans l'immobilier de manière diversifiée (bureaux, entreprises, commerces,..), aussi bien en termes de secteurs d'activité que de zone géographiques. Autre atout, en cas de coup dur, et même si il dispose d'une épargne de sécurité qui doit lui permettre d'amortir un éventuel moment difficile, Lucas sait qu'il peut céder partiellement son investissement. Enfin, ce véhicule d'investissement lui permet de s'éviter de potentiels soucis de gestion depuis l'étranger, ce qui aurait pu être le cas si Lucas avait choisi d'investir dans un immobilier locatif en direct.



Utiliser la SCPI pour vos placements



En cette période de taux bas, Lucas va donc utiliser le levier du crédit pour financer l'achat de ses parts de SCPI. Il se construit un patrimoine immobilier en remboursant le crédit avec l’aide des revenus de ses parts. A noter que Lucas prend également date fiscale sur un contrat d'assurance-vie. C'est une évidence, mais il ne l'avait pas encore fait.



Données estimatives de l'opération :

Sans apport, le montant de l'épargne mensuelle que Lucas va consacrer à son projet est d'environ 600 €



  • Cumul de l'épargne versée : 74 000 €

  • Valeur du capital à terme : 100 000 €*

  • Gain net de l'opération : 26 000 €*


Ces estimations sont nettes d'impôts, hors prélèvements sociaux.



Objectifs remplis pour Lucas : tout comme ses amis, il va bien profiter de l'univers des taux bas du crédit et de l'effet de levier. Sans rigidifier sa situation (aussi bien professionnellement que personnellement ), Lucas se construit malgré tout un patrimoine immobilier, sans les contraintes de gestion. Et c'est notamment précieux si Lucas se retrouve à 10 000 km de Paris dans 3 ou 4 ans. Enfin la perspective de disposer d'un capital non négligeable pour éventuellement financer un projet de résidence principale à la hauteur de ses attentes dans quelques années, n'est pas pour lui déplaire...



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* Simulation non contractuelle. Hypothèse de rendement de 4.85%/ an, avec revalorisation annuelle du prix de la part de 1%. Frais de versement sur les SCPI : 10%.

Les parts de SCPI de rendement sont des supports de placement à long terme (minimum 10 ans) et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine.

Comme tout investissement, l'immobilier présente des risques :

- La baisse de la valeur du placement. Le capital investi dans une SCPI n’est pas garanti. La valeur de part d'une SCPI évolue dans le temps, en relation étroite avec l’état de la conjoncture de l'immobilier d'entreprise. Cette conjoncture suit des cycles successifs, avec des phases à la hausse et à la baisse.

- La diminution des revenus locatifs. Dans un contexte économique moins favorable, la baisse des revenus locatifs versés aux associés est due à la diminution du taux d’occupation financier et/ou à la baisse du montant global des loyers versés par les locataires. Cette baisse peut être toutefois atténuée par l’effet de la mutualisation des risques grâce à la diversification immobilière et locative du portefeuille de la SCPI.

- La liquidité. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution du marché de l’immobilier d'entreprise et du marché des parts de SCPI.

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