Un seul être vous manque et l'ambiance fait défaut sur les marchés. Le CAC40 consolide légèrement de 0,05% à 4865 points, en l'absence de Wall Street, fermé pour la journée des présidents.
Plutôt que d'insister, Kraft-Heinz a préféré retirer sa proposition de rachat d'Unilever pour 143 milliards de dollars. L'américain ne s'attendait pas à ce qu'Unilever lui résiste même avec une offre à près de 150 milliards de dollars.
LE FAYOT DU JOURL'Allemagne conforte son statut de bon élève de la zone euro. Et pour la Bundesbank, cet état de grâce devrait durer en raison du dynamisme du secteur de la construction, de la pleine exploitation des capacités de nombreuses usines et de la hausse de l'investissement.
LE GRAND ÉCARTL'ombre de la présidentielle française plane sur les marchés obligataires. L'écart de rendement entre l'OAT et le Bund à 10 ans a augmenté à 84 points de base, son niveau le plus élevé depuis la fin 2012, après un sondage montrant que Marine Le Pen réduit l'écart avec ses principaux concurrents pour le second tour de la présidentielle.
LES EXPERTS A ATHÈNES ?Les ministres des Finances de la zone euro vont se prononcer sur un éventuel retour à Athènes d'une mission d'experts pour examiner les réformes mises en place par la Grèce dans le cadre d'un plan d'aide international, a déclaré le président de l'Eurogroupe.