Vendredi 18 juin

La retraite, c’est plus de temps libre pour profiter de sa famille, des voyages… Mais c’est aussi, et surtout, un enjeu patrimonial majeur. Tout un chacun veut pouvoir en profiter pleinement, mais pour y parvenir, mieux vaut ne pas compter sur les seules pensions. La vraie solution se trouve du côté de votre patrimoine, que vous pouvez optimiser pour vivre votre meilleure retraite… À condition de faire les bons choix une fois votre carrière terminée.

La retraite, des chiffres bien éloignés des fantasmes


Les retraités n’échappent pas aux clichés. Si vous tendez bien l’oreille, vous entendrez de nombreuses voix affirmant, à demi-mot ou ouvertement, que « les retraités sont riches » pour justifier toutes sortes d’idées – le plus souvent des hausses d’impôts. Mais si l’on s’attarde sur la réalité des chiffres, le constat est tout autre.

D’après les dernières données de la Direction de la Recherche, des Études, de l’Évaluation et des Statistiques (DREES), la pension de retraite moyenne atteint 1 393 € nets par mois, un montant qui comprend non seulement la retraite de base mais également les retraites complémentaires. Autre statistique parlante : seuls 7 % des retraités perçoivent une pension globale supérieure à 3 000 € par mois.

De plus, les retraités sont confrontés à des dépenses qui s’alourdissent avec l’âge. Une étude menée par Silver Alliance et Retraite.com estime le coût moyen des dépenses pour "vieillir dignement chez soi" à 1 053 € par mois entre 65 et 85 ans. Une moyenne établie sur la base de 25 produits et services tels que la mutuelle, l’aide à domicile, l’achat de fauteuils adaptés ou produits nécessaires à la dépendance. Pour les plus de 85 ans, la dépense moyenne mensuelle passe à 1 815 € par mois, et même 2 725 € si vous optez pour des services de meilleure qualité. A noter que les données de cette étude ne prennent pas en compte certains postes de dépenses comme l’alimentation (386 €), l’énergie (113 € pour l’eau et l’électricité) et le logement (loyer, impôt foncier, etc.).

Et contrairement aux idées reçues, les retraités ne sont pas des rentiers. Selon le Conseil d’orientation des retraites (COR), les pensions représentent 72 % de leurs ressources, là où les revenus tirés de leur patrimoine n’en représentent qu’environ 15 %. Mais il est possible de faire mieux que la moyenne en optimisant votre patrimoine pour en tirer des revenus additionnels : en prenant les bonnes décisions, vous pouvez compléter vos pensions et profiter de votre retraite dans de meilleures conditions.

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La pierre-papier, mieux adaptée que l’immobilier physique


Pour beaucoup de Français, la pierre est leur meilleure alliée patrimoniale. Mais l’immobilier physique présente aussi des contraintes importantes : entretien, travaux, gestion locative…

S’occuper de son patrimoine immobilier demande du temps et de l’argent. En outre, l’immobilier physique présente des inconvénients pour un retraité à la recherche de compléments de revenus. Il perçoit certes des loyers mais ceux-ci sont lourdement fiscalisés à l’impôt sur le revenu (jusqu’à 45 % de taux marginal d’imposition), sans oublier les prélèvements sociaux de 17,2 %. La rentabilité peut ainsi être rapidement divisée par 2, voire plus, en prenant en compte ces ponctions. C’est d’autant plus vrai si vous n’avez plus de crédit à rembourser, puisque vous ne bénéficiez plus de la déductibilité des intérêts d’emprunt. Enfin, n’oublions pas l’impôt foncier ainsi que l’impôt sur la fortune immobilière (IFI) qui touche les propriétaires d’un patrimoine immobilier important, d’une valeur nette supérieure à 1,3 million d’euros. Autant dire que votre rentabilité réelle a plus de chances de plafonner à 2 % que d’atteindre 5 à 6%...

L’immobilier physique est également peu liquide, ce qui est une problématique importante pour un retraité. Vendre un bien pour faire face à un besoin d’argent n’est pas une solution idéale puisque cela peut demander un certain temps… Et les vendeurs les plus pressés ne sont pas ceux qui réalisent les meilleures opérations dans la majorité des cas. Un autre inconvénient concerne la préparation de la succession, là encore une thématique particulièrement importante aux yeux des retraités. Les héritiers vont récupérer la propriété du bien en indivision, ce qui complexifie la succession.

En comparaison, la pierre-papier, avec les SCPI, permet de se défaire de nombreuses contraintes propres à l’immobilier de physique. En investissant dans des parts de SCPI, vous confiez le pilotage des investissements immobiliers (bureaux, commerces, etc.) à une société de gestion spécialisée qui se charge de tout. En contrepartie de votre placement, vous bénéficiez de distributions de revenus régulières, le plus souvent trimestrielles, qui correspondent à la quote-part des loyers qui vous revient. Vous pouvez moduler votre investissement facilement, avec une mise de départ de quelques milliers d’euros au minimum, afin de générer les revenus complémentaires dont vous avez besoin. Et si besoin, vous pouvez revendre des parts sans devoir céder l’intégralité de votre patrimoine investi en pierre-papier. Sur le plan de la succession, les héritiers recevront chacun des parts de SCPI, sans problématique d’indivision. Ils pourront les conserver ou les céder comme bon leur semble.

Seul bémol, la fiscalité des revenus fonciers continue de s’appliquer… A moins d’investir dans des SCPI investies à l’étranger. Dans ce cas, les loyers sont imposés dans le pays d’origine et vous bénéficiez d’une fiscalité allégée en tant qu’investisseur français par rapport à une SCPI 100 % investie en France. Autre bonus, vous échappez intégralement aux prélèvements sociaux. Vous pouvez donc choisir d’investir dans une SCPI européenne, comme la récente PF Hospitalité Europe (Perial) afin de profiter de cette fiscalité allégée.

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En revanche, si la fiscalité n'est pas un sujet pour vous (TMI faible, déficits fonciers importants, etc), vous pouvez privilégier une SCPI investie entièrement en France, et surtout sélectionner un véhicule qui affiche un haut niveau de rendement, à l’instar de la SCPI Activimmo d’Alderan, spécialisé en immobilier d'entrepôts (6,05 %* en 2020).

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L’assurance vie, un outil indispensable à la retraite


C’est bien connu, l’assurance vie est le placement préféré des Français. Elle cumule les avantages : souple et sans souci de gestion particulier, elle permet d’investir en fonction de votre profil de risque, selon si vous privilégiez la sécurité ou la recherche de rendement.

Pour celles et ceux qui favorisent la sécurité, l’assurance vie permet de placer au moins une partie de son épargne sur des fonds en euros garantis en capital. Et si ces derniers sont de moins en moins accessibles à 100 %, les meilleurs contrats vous donnent accès à de nombreux supports à niveau de risque faible ou modéré, dont des supports immobiliers* (SCPI, SCI, voire OPCI). Il est ainsi tout à fait possible de répartir votre épargne entre fonds en euros et supports immobiliers dans un même contrat et d’atteindre un niveau de rentabilité nette équivalent, et même parfois supérieur, à l’immobilier physique, en fonction des performances du fonds en euros notamment. Pour chercher davantage de rendement, au prix d’une prise de risque plus importante, l’épargne peut être placée sur une variété de supports, comme des fonds d’actions** ou des trackers** boursiers par exemple. Enfin, certains contrats proposent également des profils de gestion pilotée, pour confier votre épargne à des spécialistes en vue de générer une performance supérieure aux fonds en euros à condition d’accepter une prise de risque adaptée à votre profil.

Pour générer des revenus complémentaires, l’assurance vie vous fait profiter d’abattements fiscaux annuels sur la part des intérêts rachetés dès lors que vous détenez votre contrat depuis plus de 8 ans. Le capital n’étant pas soumis à l’impôt (hors prélèvements sociaux), vous pouvez ainsi effectuer des retraits partiels défiscalisés dans la limite de 9 200 € d’intérêts pour un couple (4 600 € pour une personne seule). L’assurance vie est ainsi parfaitement adaptée pour générer un complément de revenus mais aussi pour faire face à une hausse des dépenses ou un besoin imprévu. Si le montant des abattements est dépassé, notons que la fiscalité sur les gains s’élève à 24,70 %, prélèvements sociaux inclus, ou 30 % dans le cas le plus défavorable.

Sur le plan successoral, l’assurance vie fait figure de carte maîtresse indispensable. Elle comporte une clause bénéficiaire, qui vous permet de répartir votre patrimoine financier comme vous l’entendez, à condition de la rédiger précisément. Surtout, les sommes transmises aux héritiers échappent à l’impôt, dans la limite de 152 000 € par bénéficiaire sur la part des versements effectués avant 70 ans. Au-delà de ce montant, l’impôt s’élève à 20 % (jusqu’à 700 000 €) puis 31,25 %. Si vous souhaitez transmettre un patrimoine important à vos héritiers, sans pour autant vous priver à la retraite, le choix de l’assurance vie s’impose donc.

Après 70 ans, les avantages de l’assurance vie demeurent mais la fiscalité successorale change : un abattement commun à tous les bénéficiaires de 30 500 € s’applique sur la part des versements actés après 70 ans. Au-delà, le barème des droits de succession de droit commun prévaut. Précision importante, cet abattement s’applique uniquement au capital transmis, les intérêts générés par votre épargne étant entièrement exonérés de droits de succession. Les deux abattements (152 000 € et 30 500 €) sont distincts et cumulables. Pour exploiter pleinement la fiscalité successorale de l’assurance vie, il est donc possible de jouer sur les deux tableaux. Dans cette situation, ouvrir un contrat à 70 ans, afin de faciliter la distinction des deux régimes, peut s’avérer pertinent.

Les avantages propres à l’enveloppe de l’assurance vie se retrouvent dans tous les contrats… Pour autant, ils ne se valent pas tous. De nombreux contrats, distribués par les réseaux bancaires notamment, comportent des frais sur les versements et les arbitrages ou vous donnent accès à des supports de piètre qualité, qu’il s’agisse du fonds en euros ou des unités de compte**. Pour tirer le meilleur de l’assurance vie, il est indispensable de choisir un contrat sans frais sur les versements ni sur les arbitrages, avec un ou plusieurs fonds en euros performants et un large choix d’unités de compte** pour allouer votre épargne comme vous l’entendez. A ce titre, le contrat M Retraite Vie est le contrat d'assurance-vie idéal pour les retraités.

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La forêt, un avantage fiscal et successoral


Parmi les nombreux placements de défiscalisation sur le marché, l’investissement dans la forêt via un groupement forestier (GFI) s’avère particulièrement pertinent pour des retraités. Un GFI fonctionne sur un modèle similaire aux SCPI : l’épargnant achète des parts d’une société qui va investir dans un parc immobilier (des parcelles de forêts dans le cas d'un GFI) et bénéficie de la distribution des revenus tirés de leur exploitation ainsi que de la valorisation (non garantie) des parts dans le temps. En termes de placement, la forêt constitue un investissement décorrélé des autres classes d’actifs (marchés financiers et immobiliers) et sa rentabilité, de l’ordre de 1%*** net de frais de gestion historiquement, dépend en grande partie de l’évolution du prix du bois.

Mais la grande force du GFI réside dans ses avantages fiscaux. Pour commencer, l’investissement octroie une réduction d’impôt à un taux revu à la hausse de 18 à 25 % en 2020. La réduction est soumise au plafonnement global des niches fiscales.). Bonne nouvelle, ce relèvement a été pérennisé en 2021. L’avantage maximal atteint 25 000 € pour un couple soumis à imposition commune, pour un investissement au plafond de 100 000 €, et peut être reporté sur les quatre années suivantes si nécessaire. Même chose pour les personnes seules, les montants à retenir étant simplement divisés par 2. De plus, le patrimoine forestier dont vous êtes propriétaire est entièrement exonéré d’IFI, sans limite de montant.

Enfin, et c’est particulièrement pertinent pour les retraités, la transmission des parts de GFI, par donation ou succession, fait l’objet d’un abattement de 75 % sur les droits de mutation, sans plafond ni contrainte de lignée. Cet abattement vise spécifiquement la quote-part du fonds réellement investie dans des parcelles forestières, celle-ci n’étant pas garantie par la société de gestion.

En contrepartie des avantages fiscaux, l’investissement dans un GFI implique le blocage de votre épargne jusqu’au 31 décembre de la 5ème année suivant la souscription. Il est donc nécessaire d’y consacrer une épargne dont vous pouvez vous passer momentanément sans vous mettre en difficulté. Dès lors que cette condition est respectée, vous pouvez tirer pleinement parti des avantages du GFI.

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Communication non contractuelle à but publicitaire

* Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Comme tout investissement, l'immobilier présente des risques :

- La baisse de la valeur du placement. Le capital investi n’est pas garanti. Sa valeur évolue dans le temps, en relation étroite avec l’état de la conjoncture de l'immobilier . Cette conjoncture suit des cycles successifs, avec des phases à la hausse et à la baisse.

- La diminution des revenus locatifs. Dans un contexte économique moins favorable, la baisse des revenus locatifs versés aux associés est due à la diminution du taux d’occupation financier et/ou à la baisse du montant global des loyers versés par les locataires. Cette baisse peut être toutefois atténuée par l’effet de la mutualisation des risques grâce à la diversification immobilière et locative du portefeuille.

- La liquidité. L'immobilier n’étant pas un produit coté, il présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution du marché de l’immobilier .

**Les supports en unités de compte présentent un risque de perte en capital.

***Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. L'investissement en parts de Groupement Forestier présente un risque de perte en capital, en particulier sur une durée d'investissement qui serait courte. L'investissement dans des parts de Groupements Fonciers Forestiers (GFF) est réservé aux personnes susceptibles par leur connaissance et leur souci de diversification des placements financiers de prendre en compte les particularités de cette forme d'investissement. L'investissement dans des parts de GFF présente un certain nombre de risques, dont notamment les risques suivants :

Risque de perte d'une partie ou de la totalité du capital

Risques d'exploitation et sur les revenus

M Retraite Vie est un contrat d'assurance vie individuel de type multisupport. Il est géré par Suravenir. Société Anonyme à directoire et conseil de surveillance au capital entièrement libéré de 1 045 000 000 euros. Société mixte régie par le code des assurances SIREN 330 033 127 RCS BREST. Siège social : 232, rue Général Paulet BP 103 – 29 802 BREST CEDEX 9. Société soumise au contrôle de l'Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) (4 Place de Budapest - CS 92459 - 75436 PARIS CEDEX 9).

Il est distribué par MeilleurPlacement SAS, Société par Actions Simplifiée au capital de 100 000 euros, enregistrée au RCS de Rennes sous le n° 494162233, immatriculé à l’Orias sous le n° 07 031 613 en qualité de Courtier et Mandataire d’intermédiaire en Opérations de banque et services de paiement, Courtier en assurance et Conseiller en Investissements Financiers (adhérent CNCIF n° D011939). Siège social : 18 rue Baudrairie - 35000 Rennes.

À propos de France Valley :

France Valley est une Société de Gestion de Portefeuille indépendante agréée par l'AMF (Autorité des Marchés Financiers), spécialisée dans les Groupements Forestiers, le Capital Investissement et l'Immobilier.

France Valley gère une quinzaine de Groupements Forestiers pour le compte de nombreux particuliers qui ont souhaité s'appuyer sur son expertise pour investir dans cet actif.

France Valley est membre de l'ASFFOR (Association des Sociétés et Groupements Fonciers et Forestiers), association professionnelle qui réunit les principaux investisseurs institutionnels français de la Forêt. À ce titre, France Valley se conforme au code de bonne conduite de l'ASFFOR et a pour pratique de faire certifier PEFC (Program for the Endorsement of Forest Certification) ses massifs forestiers sous gestion.

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