Si l’on a l’habitude de conspuer les dirigeants de grands groupes, souvent par réflexe populiste franco-français, il faut reconnaître que certains ont la place qu’ils méritent. Pas tous, certes, mais certains. C’est le cas de « Monsieur » de Meo, président du groupe Renault. Et pour cause, alors que l’année 2022 était toute promise à la marque au losange , la décision de Moscou d’envahir l’Ukraine est venue mettre un coup de pied dans la fourmilière « Renaulution ».
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