L'Espagne est en finale cette année.
En finale... contre les États-Unis.
Il ne s'agit pas de foot.
Mais du championnat de la croissance économique des pays développés.
Une affiche étonnante.
Quelle sera la croissance de l'Espagne en 2024 ?
Le FMI attend 2.9%.
Et 2.8% pour les États-Unis.
L'Espagne pourrait donc décrocher le titre de la croissance la plus élevée des grands pays développés.
L'Espagne oui.
Ce pays qui était au bord de la faillite lors de la crise de l'Euro.
l'Espagne écrase la concurrence.
Comme le note le Financial Times, sa croissance sera trois fois supérieure à la moyenne de la zone euro.
Quand l'Allemagne, elle, l'ex-premier de la classe de la zone euro, espère seulement échapper à la récession.
Quel retournement de situation spectaculaire !
Le tourisme avec un record absolu de visiteurs en 2024 (déjà 6 millions jusqu'à la fin août).
Les investissements étrangers qui se déversent dans le pays.
Les investissements publics.
Les investissements et le développement des énergies renouvelables, solaire en tête.
Malgré une dette publique supérieure à 100% du PIB, l'Espagne n'a aucun mal à emprunter sur les marchés.
Elle se paie même le luxe d'emprunter à des taux inférieurs aux taux français, comme ses voisins portugais.
Une jolie revanche.
Le chômage bien sûr. Il baisse mais il reste à des niveaux très élevés. 11.2%, au plus bas tout de même depuis 2008.
La pérennité d'une croissance alimentée en partie par la dépense publique, on attend d'ores et déjà un ralentissement de la croissance à 2.1% en 2025.
La stabilité politique.
Mais l'Espagne peut néanmoins savourer cette année 2024 qui restera dans ses annales.
Bravo, Bien hecho !
QUOI DE NEUF?
Dingues encore les résultats de Google.
Une flambée des profits au troisième trimestre de 34%.
Avec une explosion, encore, des profits sur le Cloud.
Google parvient à absorber les coûts de ses investissements massifs sur l'IA et à afficher des résultats spectaculaires.
On parle tout de même de 88 milliards de CA sur un trimestre et de 26.3 milliards de profits nets...
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0.4% de croissance au troisième trimestre en France.
Contre 0.2% au deuxième.
Une accélération qu'on doit entièrement aux JO.
Merci encore donc à nos champions nationaux.
J'ai eu le plaisir d'échanger avec Benoit Sorel, le "patron des ETFs" chez Amundi (c'est moi qui l'ai appelé comme ça).
Il a répondu à toutes mes questions sur ce placement devenu incontournable dans une allocation d'actifs : comment cela fonctionne ? Est-ce efficace ? Quels véhicules existent et comment les sélectionner ? Comment élaborer une stratégie pour le long terme avec ce véhicule ?
Un échange passionnant et que j'ai trouvé très utile, pour vous, mais aussi pour nous puisque nous utilisons beaucoup les ETFs dans notre >>gestion pilotée
Cette interview est disponible sur notre chaîne YouTube
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Par MoneyVox, le spécialiste de l'information sur l'argent (banque, crédit, impôt, etc.).
"Impôts locaux : voici les 100 villes et villages où la taxe foncière baisse réellement en 2024
Scoop (ou pas) : la taxe foncière augmente en 2024. Dans toute la France ? Non, une poignée de petites villes et villages mettent un point d'honneur à éviter toute hausse sur la feuille d'impôt de leurs habitants. MoneyVox a dressé la liste des 100 communes où l'impôt baisse réellement. Quelles sont ces communes ? Et comment y parviennent-elles, alors que la taxe d'habitation a disparu ?"
>> Lire cet article sur MoneyVox.fr
Par Sélina Seremet, Analyste Bourse Meilleurtaux Placement.
"L'indice parisien commence la journée en repli de 0,84% à 7 447 points, suivant la tendance baissière de tous les indices européens, malgré les récents records du S&P500 et de l'or. Sur le plan macroéconomique, le PIB de la France a progressé de 0,4% au troisième trimestre, une légère amélioration par rapport aux 0,2% de croissance du trimestre précédent.
La séance du jour s'annonce intense avec la publication des premières estimations de PIB pour le troisième trimestre aux États-Unis, dans la zone euro et en Allemagne, ainsi que le rapport ADP sur l’emploi américain, qui pourrait donner une direction plus claire aux marchés. En parallèle, la saison des résultats bat son plein : après Alphabet, les géants Microsoft et Meta publieront leurs chiffres ce soir après la clôture, de quoi maintenir l’attention des investisseurs en alerte.
Alphabet, la maison mère de Google et une valeur clé de notre portefeuille international, s'envole de près de 6% en pré-market. Testez gratuitement notre abonnement pour suivre nos positions et stratégies en temps réel."
Une deuxième "journée de solidarité" (donc la suppression d'un jour férié) fait partie des pistes d'économie envisagées; Réduction de l'avantage fiscal pour les locations de meublés touristiques, appelé "niche Airbnb"; Accord entre ennemis entre Borne et Attal avec un partage de postes au sein du parti, la direction du parti revient au jeune Gabriel; Emmanuel Macron, François-Marie Banier, Arielle Dombasle et Yassine Belattar rapportent 10 milliards d'engagements de contrats du Maroc; Clint Eastwood qui sort un film à 94 ans, c'est impressionnant; Le titre du jour dans Les Echos : "Le projet de surtaxe du chocolat provoque la colère des fabricants"; Les détails de l'arnaque orchestrée par la trésorière de Kiabi sont dignes d'une série Netflix; Je viens de découvrir qu'un "pouche" est un sachet de nicotine à placer dans la bouche; Pas mal le démarrage de la série sur les coulisses d'une campagne présidentielle "Dans l'ombre" (France 2) mais moins bien que "La fièvre"; À voir ou revoir ce soir sur Arte le remarquable film "The reader" avec Kate Winslet; Vincent Bolloré va couper Vivendi en 4 parties; L'autre titre du jour dans le Figaro "Les gorilles "votent" de manière démocratique...en grognant", comme les Français donc ; Suivez-moi sur X et linkedin en cliquant sur les liens.
** Cet objectif de rendement est non garanti et prend comme hypothèse un rendement net hors bonification équivalent au rendement de l’année 2023 (soit 2,50 % net), associé à une bonification de 2,00 % net. Les rendements passés ne préjugent pas des rendements futurs. Les unités de compte présentent un risque de perte en capital.