Nous n'avons plus les moyens de maintenir notre système social.
Il craque de partout.
Les déficits explosent.
La dette explose.
Les politiques sont dans un déni total de réalité parce que les Français sont dans un déni total de réalité.
Le gouffre de la Sécurité sociale en est l'illustration.
est en dérapage incontrôlé.
Il a été conçu, tant le système des retraites que la Sécurité sociale pour protéger une partie seulement de la population, la plus vulnérable et la plus défavorisée.
Mais année après année, avec une accélération mortelle après 1981, il a voulu couvrir l'ensemble des Français.
C'est un rêve de Miss France mais ce n'est tout simplement pas possible.
On ne peut offrir une retraite élevée à tout le monde pendant 25 ans.
On ne peut offrir des soins gratuits à tout le monde pendant 85 ans.
CE N'EST PAS POSSIBLE.
Et tous les Français savent que c'est impossible mais ils refusent qu'on touche à tous leurs ACQUIS SOCIAUX.
est une illustration de cette dérive et de ce déni de réalité.
Depuis que la carte vitale est devenue une carte bleue qui permet de dépenser gratuitement sans aucun plafond, les compteurs s'affolent.
on parle d'un déficit de 23 milliards d'€.
Une hausse de 7.7 milliards d'€ en 2024.
Avec une croissance des dépenses qui dépasse très largement la croissance des recettes.
Selon la Cour des comptes, ce sera 28.7 milliards d'€ en 2027.
Une course folle que personne n'a le courage d'arrêter.
n'est plus possible.
Elle ne doit être réservée qu'à la partie de la population la plus fragile économiquement.
Une hausse des franchises et des participations doit être mise en place.
Le plus rapidement possible.
c'est le fait que nous voyions tous le système s'effondrer sous nos yeux mais que personne ne réagisse et que les Français, pourtant champions du bon sens et de la gestion de leur propre budget, continuent à exiger l'impossible.
À PART ÇA ? QUOI DE NEUF ?
Vos réponses montrent à quel point cette question divise. Entre fascination pour les prouesses technologiques et inquiétude face à leurs conséquences sociales, un constat s’impose : la croissance sans emploi interroge le sens même du progrès économique.
Pour Thierry, c’est avant tout "une prouesse, car on ne peut pas aller contre un monde en mutation : seuls les plus malins s’en sortiront". Une vision partagée par Michel, qui salue "une prouesse technologique et socio-économique", tout en avertissant qu’"une rupture de civilisation s’annonce, car nos dirigeants ne sont pas prêts à gérer cette révolution."
Mais la majorité d’entre vous soulève les risques d’un tel modèle. Patrick résume bien le paradoxe : "Moins d’emplois, c’est moins de consommateurs. Les gains de productivité générés par l’IA devraient être partagés entre réduction du temps de travail, réorientation professionnelle et profit." Une préoccupation également exprimée par Grégory : "Dans un monde de croissance sans emplois, qui seraient les consommateurs qui soutiendraient cette croissance ?"
Pour d’autres, comme Thibault, le travail ne disparaîtra pas, il se déplacera : "Moins d’emploi, mais pas moins de travail."
En résumé, vos réponses oscillent entre optimisme technologique et lucidité sociale. Oui, la croissance sans emploi peut être une prouesse, mais sans redistribution ni repense du lien entre travail et revenu, elle risque de devenir un formidable moteur d’inégalités.
C'est aujourd'hui.
L'élection municipale à New York.
Les sondages donnent le candidat démocrate Zohran Mamdani gagnant.
Un tremblement de terre pour la ville de Donald Trump.
Donald Trump qui a déjà annoncé qu'il partira en guerre, littéralement, avec l'armée, si Mamdani prend le pouvoir.
On n'arrête plus OpenAI.
Les dizaines de milliards de deals continuent à pleuvoir à un rythme frénétique.
Cette fois, il s'agit d'un deal de 38 milliards de $ avec Amazon Web Services.
Un deal de 7 ans pour utiliser l'infrastructure d'AWS.
On atteint donc les 1 500 milliards de $ d'investissement et de deals de partenariats pour OpenAI.
1 500 milliards de $.
La bulle continue de gonfler.
Par Olivia Boulay, chargée de contenu patrimonial, Meilleurtaux Placement
"Selon la Caisse des Dépôts, le Livret A a enregistré une décollecte de près de 2 milliards d’euros en septembre 2025. Parmi les raisons : un taux de 1,7 % devenu trop faible face à d’autres placements à capital garanti, plus rémunérateurs, comme les fonds en euros.
Parmi eux, le fonds en euros du contrat Meilleurtaux Essentiel Vie se distingue, avec un objectif de rendement net de frais de gestion de 5 % en 2025 et 2026 (sous conditions*).
Pour compléter cette solution, nos fonds de conviction offrent des opportunités de diversification :
-le fonds obligataire daté Meilleurtaux Horizon 2031 pour tirer parti des opportunités du marché obligataire européen,
- la Blackstone Crédit Privé SC pour accéder au financement d’entreprises non cotées."
Investir en unités de compte présente un risque de perte en capital. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.
Par Sélina Seremet, Analyste Bourse Meilleurtaux Placement.
"Le CAC 40 décroche de 1,4% ce mardi et repasse sous les 8 000 points, plombé par un climat politique tendu et la poursuite d’une saison de résultats contrastée. À Paris, les investisseurs s’inquiètent du blocage autour du budget 2026, dont l’adoption avant la fin de l’année semble de plus en plus incertaine. Outre-Atlantique, le Nasdaq a mieux résisté lundi, soutenu par un bond de 4% d’Amazon après la signature d’un contrat géant dans le cloud avec OpenAI, un signal fort de la vigueur persistante de la thématique IA. La journée sera encore rythmée par les publications d’entreprises, avec Pfizer et Uber avant l’ouverture, puis AMD après la clôture."
J'aime bien ce titre de Bloomberg : "Le Portugal a plein de touristes mais il veut maintenant des data centers" ; 63% de hausse du chiffre d'affaires de Palantir au 3e trimestre avec le boom de l'IA et de la défense ; Les islamistes font le siège de Bamako au Mali, 4 millions de personnes enfermées, et pas de manifestations en France ; L'Espagne attend avec fébrilité la publication demain, en France d'abord, des mémoires de Juan Carlos qui est toujours exilé à Abou Dabi ; Le nouveau patron de Stellantis Antonio Filosa dénonce la fin du thermique en 2035 en Europe qui va ouvrir la voie (déjà largement ouverte...) aux constructeurs chinois ; La bonne nouvelle du jour sur BFM : "le prix des voitures d'occasion en recul" ; Suivez-moi sur X et Linkedin en cliquant sur les liens.
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