Wall Street a encore une fois terminé en hausse vendredi, ce qui a permis au Dow Jones et au S&P 500 d'effacer la quasi-totalité des pertes accusées en janvier en raison, notamment des turbulences qui avaient secoué les marchés émergents.
Le Dow Jones a grappillé 0,30%, à 16 321,71. Le S&P-500, qui a inscrit un nouveau record en séance à 1 867,92 points, a pris 0,28%, pour clôturer à 1.859,45 points. En revanche, le Nasdaq Composite a reculé de -0,25% à 4.308,12 points.
Sur l'ensemble de la semaine, les trois indices ont bien rebondi, le Dow ayant progressé de 1,4%, le S&P 500 de 1,3% et le Nasdaq de 1%
La tendance a été soutenue par le discours de Janet Yellen, présidente de la Réserve fédérale, qui a rassuré les investisseurs en laissant entendre que la banque centrale américaine était prête à agir s'il s'avérait que le ralentissement de l'économie ne relevait pas seulement de la vague de froid survenue au mois de janvier.
En Asie en revanche, les marchés consolident. Au Japon, le Nikkei recule de 1,27%, Hong Kong recule de 1,38%, alors que Shanghai prend 1,5%. Taiwan cède 0,56%, Bombay prend 1,72%, Séoul grappille 0,17% alors que Sydney perd 0,37%
Du coté de la pré ouverture, les marchés européens devraient ouvrir en net recul, pénalisés par les informations concernant la situation en Ukraine, qui s'est aggravée au cours du week-end. Le marché devrait ouvrir en baisse de 1,26%, à 4 350 points.
