Vendredi 12 septembre

Carmat est sous pression après la diffusion jeudi d'une enquête d'Envoyé Spécial, intitulée « le business de l'homme réparé ». Cette émission enquêtait sur les coulisses des sociétés biotechnologiques et autres medtechs dont Carmat et son cœur artificiel.

Dans ce reportage, il est notamment fait mention d’une cession de titres de la part de Truffle Capital, le fonds qui épaule Carmat dans son développement. La gérante de fonds à l’origine de ces allégations avançait également que le fonds de désengageait « au moment où il dit que l'avenir est radieux pour la société ». Ce que dément formellement Truffle ce vendredi matin sur la radio BFM Business.

Le docteur Philippe Pouletty, directeur général du fonds d'investissement déclare être toujours actionnaire à hauteur de 74,5% du capital de Carmat. "Nous avons vendu parce qu'on a des FCPI à échéance fixe, […] nos nouveaux fonds ont racheté des actions avant l'été", s'est-il justifié. Il a indiqué avoir une "confiance très grande en Carmat" et que sa position actuelle dans le capital est identique à celle de 2008, année de la création de Carmat.

Ce qui est sûr, c’est que l’action Carmat souffre et cède plus de 6% au retour du déjeuner après avoir cédé plus de 18 % dans la matinée. Le parcours du titre ressemble à des montagnes russes. Et pour l’investisseur, il vaut mieux avoir le cœur accroché.

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