CGG perd du terrain à la Bourse de Paris au lendemain d’une hausse de 35%. La veille, les marchés ont été séduits par le discours rassurant de la direction du spécialiste de la sismique.
CGG perd du terrain à la Bourse de Paris au lendemain d’une hausse de 35%. La veille, les marchés ont été séduits par le discours rassurant de la direction du spécialiste de la sismique. Si les résultats du groupe parapétrolier sont ressortis dégradés au troisième trimestre, les investisseurs ont tout de même poussé un gros ouf de soulagement puisque la direction a écarté l’hypothèse d’une éventuelle augmentation de capital. CGG estime en outre qu’il a les reins solides pour affronter un environnement de marché adverse marqué par un reflux des cours du pétrole depuis le mois de juillet.
Les analystes ont également eu leur mot à dire. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que les avis divergent. Si la renégociation des convenants bancaires est saluée par les bureaux d’études, la capacité de CGG à faire face à un environnement de marché difficile ne convainc pas…