A quelques jours des élections italiennes, toujours aucune réaction des marchés.
Ce qui se passe sur l’Italie est très surprenant. Très surprenant. Certes on sait que les investisseurs se sont tellement plantés avec Trump et le Brexit qu’ils ne veulent plus paniquer en cas de mauvaise nouvelle électorale mais quand même.
La situation politique, selon les sondages, est totalement confuse. Aucun parti ne semble pouvoir avoir de majorité et le pays pourrait entrer dans une longue période de tractations avec des personnages comme Berlusconi comme roi ou faiseur de rois, ce qui est peu rassurant pour les marchés. Sans mentionner les discours populistes sur l'Italexit.
Apparemment non. C'était pourtant son statut il y a encore quelques mois. Mais si on regarde la performance des marchés italiens, c'est même tout le contraire. En 2017 les marchés italiens surperformaient déjà les marchés européens de plus de 7%. Depuis le début de l'année cette surperformance s'accentue avec déjà près de 5% d'avance. Les investisseurs jouent le come-back économique de l'Italie, l'amélioration des indicateurs et la meilleure profitabilité des groupes italiens. La performance du pays n'est pas spectaculaire mais elle est nettement meilleure avec des prévisions de croissance supérieure à 1.5%.
Même les promesses des candidats ne font pas peur.
Et pourtant on assiste à une véritable surenchère. Chaque candidat y va de ses cadeaux fiscaux, des cadeaux fiscaux dont, évidemment, on n'a pas le moindre début d'idée de financement surtout avec les niveaux de déficit et de dettes. Qu'importe. On verra bien. Mais le plus étonnant c'est que les taux italiens ne dérapent même pas vraiment. C'est vrai que la BCE achète toujours de la dette italienne mais on aurait pu avoir tout de même un dérapage des taux italiens. L'écart entre les taux allemands et les taux italiens s'est même payé le luxe de se resserrer, signe d'une grande quiétude. Non. Les marchés ne veulent plus s'agiter sur les évènements géopolitiques. C'est surprenant mais finalement assez logique.
Le patron de Disney est venu en personne annoncer à Macron qu'il allait investir 2 milliards d'euros pour un troisième programme d'expansion de Disneyland Paris. À partir de 2023, des nouvelles zones vont être créées sur les thématiques Marvel, Reine des Neiges et Star Wars. J'ai été surpris d'apprendre qu'Eurodisney représente 6.2% des recettes touristiques nationales. Ça me semble énorme.
Le nouveau patron de la FED. Jay Powell. Pas de surprise. Pour son premier discours officiel il a joué la continuité. L'économie est forte, très forte. Il a même parlé de surchauffe. Il faudra monter les taux d'intérêt plus vite et plus haut.
Une page se tourne cette année à la banque Rothschild et Cie. Selon le Financial Times, David devrait transmettre le pouvoir à son fils Alexandre, 37 ans, avant l'été. La transmission chez les Rothschild a l'air plus simple que chez les Hallyday (aucun rapport, mais j'avais envie d'écrire ça.)
Si vous vous faisiez du souci pour nos banques, les Echos vous rassurent: les banques françaises vont mieux et elles gagnent beaucoup d'argent. La crise est bien finie. Merci aux banques centrales et merci aux gouvernements. Les 6 premiers groupes bancaires affichent plus de 23 milliards de bénéfices. Et elles "affichent des volumes de prêts records". Ouf, je suis rassuré.
Le discours de Jerome Powell ravive les craintes d'une série de quatre hausses des taux cette année sur fond de vigueur de l'économie américaine. Un ton qui n'a pas été apprécié sur les marchés américains qui accusent leur plus forte baisse depuis le début du mois de février. Les trois indices majeurs américains perdent plus de 1% à la clôture. Les marchés asiatiques suivent la tendance dont le Nikkei qui rend 1,44% de retour sur les 22.068 points. Du côté des devises, l'euro/dollar se négocie 1,2220 dollar et le pétrole recule encore avec un Brent à 66,43 dollars et un WTI qui cède du terrain sous les 63 dollars.
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Il caille encore plus, je vais rester sous ma couette cet après midi; Dany Boon sort aujourd'hui la "Ch'tite famille", no comment; Wauquiez campe au Salon de l'Agriculture; Le prince héritier saoudien, MBS, s'attaque maintenant à l'armée avec une petite purge (Le Figaro); Apparemment, la grande question c'est de savoir si Neymar jouera contre le Real mardi prochain; Double record pour les Norvégiens: médailles aux JO de Pyeongchang (39 dont 14 d'or) et record de bénéfices, 106 milliards d'euros, pour le fonds souverain norvégien, le plus gros fonds souverain du monde ; 8% des plus de 75 ans utilisent les sites de rencontres selon l'étude Yougov; Boeing va construire AirForce One, Trump a négocié le prix pendant un mois.
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