La détérioration des relations entre les États-Unis et la Chine a passé un nouveau cap.
Trump et son secrétaire d'Etat Mike Pompeo multiplie les déclarations belliqueuses.
Même si sur la forme, l'attitude du gouvernement Américain est discutable, on ne peut qu'applaudir le fait qu'un pays ait enfin le courage de dire à la Chine ses quatre vérités.
Mike Pompeo a abandonné tout langage diplomatique dans son discours.
Le régime chinois est "totalitaire".
Les dirigeants chinois sont des "tyrans".
"Si nous mettons un genou à terre, nos enfants seront à la merci du Parti Communiste Chinois"
"Si le monde libre ne change pas le Parti Communiste Chinois, le Parti Communiste Chinois changera le monde libre".
Ça a le mérite d'être clair.
Et vrai.
en a remis une couche bien sûr.
Il a tout simplement balayé le deal commercial d'un revers de manche.
Pour lui le deal commercial avec la Chine ne veut plus rien dire depuis l'épidémie de Covid pour laquelle ils jugent les Chinois responsables.
La Chine a fermé le consulat américain à Chengdu.
On est dans la nouvelle guerre froide.
Une guerre froide qui risque de durer beaucoup plus longtemps que la précédente...
n'aiment pas ça du tout.
Les bourses chinoises ont chuté lourdement ce matin.
Les indices européens vont suivre.
Une nouvelle guerre froide dans un contexte d'économie déjà affaiblie par le Covid, pas de quoi faire la fête.
déjà contre qui Rocky va combattre dans Rocky 6.
Un boxeur chinois.
la couverture de The Economist de cette semaine...
"FREE MONEY"
"When government spending knows no limit".
Avec une énorme machine qui sème de l'argent.
Je le dis, et je le répète, ce que nous vivons du côté des banques centrales et des gouvernements est inimaginable.
Les États-Unis préparent un nouveau plan de relance.
Il va pleuvoir des milliards.
Les ménages américains vont recevoir des chèques.
Il faut dire que la reprise de l'emploi marque, déjà, le pas....
Les chiffres de l'emploi d'hier n'étaient pas très rassurants.
Et hop, une nouvelle distribution d'argent gratuit...
aussi on distribue de l'argent gratuit tous les jours.
Hier c'était 6.5 milliards d'€ pour le dispositif "un jeune, une solution".
Et hop!
La convention Républicaine.
Trump ne souhaite pas qu'elle se tienne du fait de l'épidémie de Covid.
Il vient de prendre conscience que le Covid n'était pas une grippette.
Le CAC 40 a terminé la séance d’hier à l’équilibre (- 0.07 %) à 5 033 points.
L’indice phare de la place parisienne a piqué du nez après la publication des nouvelles inscriptions au chômage aux États-Unis.
1,416 million contre 1,307 million la semaine précédente.
Une augmentation inattendue.
Outre-Atlantique, le Dow Jones et le Nasdaq ont perdu 1.31 % et 2.29 %.
Cette matinée, le CAC 40 est attendu dans le rouge.
Le seuil des 5 000 points est menacé.
Le Brent se négocie à 43.35 $ contre 44.43 $ hier à la même heure.
L’once d’Or se négocie à 1 884 $ contre 1 868 $ précédemment.
L'euro/dollar est à 1.16.
Il n'y aura plus que 3 opérateurs de trottinettes autorisés à Paris, l'Américain Lime, l'Allemand Tier Mobility et le Français Dott qui auront le droit de continuer à perdre de l'argent dans la capitale; Le patron monde d’Unilever s’appelle Alan Jope, c’est drôle non ?...non ? désolé; Walt Disney repousse les sorties de Mulan et Avatar; l'Académie Française ne veut plus que nous disions "je reviens vers vous", considéré comme un anglicisme, "une traduction hasardeuse de I'll get back to you", il faut dire "je reprends contact avec vous"; plus de 4 millions de personnes infectées par le coronavirus aux États-Unis; Un ancien gardien de camp de concentration de 93 ans a été condamné en Allemagne à deux ans de prison avec sursis.