Ce n'eest pas un krach. Ni même encore la baisse qu'on attend aprés la flambée depuis le mois de Mars. Le marché a plié, sans rompre. Il a subi une salve de prises de bénéfices.
C'est la révision par les analystes américains des objectifs de cours sur les valeurs bancaires qui a servi de prétexte au reflux. Le marché était à la croisée des chemins, il hésite encore à prendre franchement la voie de la correction à la baisse
Crédit Agricole, Groupama, Société Générale a été démenti mais le sujet a été abordé par le Crédit Agricole en mal d'alliance. L'heure pour les banques n'est pas aux fusions mais aux scissions.
Aprés sa phase anticapitaliste et son imitation de Besancenot, puis sa phase écologiste et son imitation de Daniel Cohen Bendit, Nicolas Sarkozy-Bruni se lance dans l'imitation de José Bové avec un plan d'aide "massif" (rien que cela) en faveur des agriculteurs. J'attends de voir si il va se laisser pousser la moustache.
C'est ce que doit emprunter l'Etat Américain cette semaine sur les marchés. C'est un montant record qui tombe mal: la FED a en effet, par nécéssité, suspendu ses achats d'obligations sur le marché.
qui leur ont vendu des emprunts toxiques qui ne correspondaient absolument pas à leurs besoins et qui se sont révélés vite explosifs. C'est Saint Etienne qui a commencé en attaquant Deutsche Bank. La Seine Saint Denis menace cinq banques. Et quand le neuf trois menace, il vaut mieux se tenir à carreau.
Depuis des semaines, on nous bassine avec la reprise que les banques sont seules à connaitre... Le nombre de chomeurs lui continue à augmenter. 21,600 de plus en septembre. C'est beau la reprise.
VOILA C'EST TOUT
BONNE JOURNEE
MAY THE FORCE BE WITH YOU