Que ce soit entre les pays Européens pour parvenir à un accord le 23 octobre, que ce soit entre le FMI, l'Europe et les pays émergents pour parvenir à un accord le 3 Novembre, les négociations battent son plein.
Les banques ne veulent pas de recapitalisation alors qu'elles en ont besoin. Il y a un vrai bras de fer avec les banques Françaises mais les banques allemandes se sont jointes au choeur des pleureuses. Mais c'est un combat perdu d'avance. Les banques devront capituler car le gouvernement Allemand a fait de la recapitalisation et des vrais stress tests son cheval de bataille
Tous les jours, les statistiques se succèdent dans les pays émergents et montrent à quel point le "découplage" était une fable inventée par des économistes en mal de fantasmes. Ralentissement des ventes au détail au Brésil, baisse des exportations en Chine, baisse des exportations de matières de premières d'Amérique du Sud et d'Afrique, baisse des commandes industrielles en Afrique du sud. N'en déplaise au duc de Montebourg, la globalisation de l'économie est une réalité.
Comme on vous l'annonçait hier matin dans l'édito. C'est normal. Si il y a recapitalisation, il y aura dilution pour les actionnaires existants.
pour les Américains. Leur revenu a baissé de 7% depuis 2000. Et ils ne retrouveront pas leur niveau de 2000 avant 2021. C'est la pire décennie depuis l'après guerre.
La Chine a fait baisser le yuan pour répliquer aux sanctions votées par le Sénat en cas de manipulation de monnaies. Ca devient très très chaud.
11 ans de prison pour le patron de hedge fund dont je n'arrive pas à écrire le nom, accusé d'insider trading. La justice commence à durcir le ton avec Wall Street.
La puissance de l'Allemagne vient de son Mittelstand, ces grosses PME. Une étude d'un organisme de crédit allemand publiée par la Tribune montre qu'elles ont renforcé leurs fonds propres pendant la crise et qu'elles envisagent d'investir encore.
54% des Français sont favorables au protectionnisme selon un sondage publié par les Echos. Il va falloir leur expliquer que c'est le protectionnisme, entre autres, qui a amplifié la crise de 1929. Mais leur accorder aussi qu'il faut que tout le monde respecte les règles du libre échange, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui.
L'Italie est parvenue à lever plus de 6 milliards sur les marchés. La demande a été forte. Mais l'Italie a du payer le prix fort avec des taux élevés. Le taux à dix ans reste prés de son record historique de 5.86%.
son objectif de déficit budgétaire de 6% pour l'année. Le ralentissement de l'économie a accentué la pression sur le déficit.
VOILA C'EST TOUT
BONNE JOURNEE
MAY THE FORCE BE WITH YOU