Le Morning Zapping de Marc Fiorentino : Le déficit public va...

DEPUIS LE COVID...

C'était la gabegie totale, avec une détérioration non justifiée pendant les derniers mois de l'ère Le Maire.
Pire que la gabegie même.
Tous les témoignages décrivent une situation où plus personne ne contrôlait les dépenses.
Non seulement on dépensait plus et n'importe comment, mais, surtout, on ne savait pas ce qu'on dépensait.

100 MILLIARDS

C'est cette absence de contrôle qui a fait que nos dépenses se sont envolées de 100 milliards en un seul trimestre.
C'est cette absence de contrôle qui a fait que nous avons découvert que notre déficit serait de 6.2% alors qu'il était annoncé à moins de 5%.
Un tuyau percé...

LE BUDGET

Le nouveau gouvernement a annoncé qu'il veut économiser 50 milliards d'€.
Ce sont 10 milliards de moins que le projet du gouvernement Barnier.
La bonne nouvelle est que, quoi qu'il fasse, avec budget adopté ou pas, cette économie pourra avoir lieu.
Uniquement parce qu'on va contrôler nos dépenses.
Dans un deuxième temps, il s'agira de les baisser. Mais ça, c'est une autre histoire.

LE CARTON DU JOUR

4 milliards d'euros.
La collecte nette d'assurance-vie pour le seul mois de novembre.
Du jamais-vu depuis juillet 2010.
On aura donc une année 2024 exceptionnelle.
Le cap des 2000 milliards d'euros est en vue, l'encours est à 1985 milliards fin novembre.
Les Français épargnent toujours plus.
Face à l'incertitude.
Et ils ont raison.
Et ils ont raison de privilégier l'assurance-vie, avec des taux nets sur le fonds euros qui dépasseront largement le livret A.

LES SIGNAUX FAIBLES

Oui l'économie américaine connaît une forte croissance.
Oui, elle écrase, sans conteste, toutes les autres économies mondiales.
Mais on commence à voir des signaux faibles de ralentissement lié, notamment, au maintien de taux d'intérêt élevés.
Exemple ? Le taux de faillite des entreprises américaines est au plus haut depuis 14 ans.
À suivre donc.

4ÈME : M RENDEMENT ET M AMBITION

À la quatrième place de notre palmarès des meilleurs placements de 2024, on retrouve les produits structurés, et notamment notre gamme M Rendement et M Ambition.
La hausse globale des indices boursiers en 2024 a en effet permis de nouveaux remboursements anticipés, de M Ambition 3 et M Rendement 10.
M Ambition 3 a ainsi offert 11%* de rendement en à peine plus d’un an.
M Rendement 10 a offert 12%* de rendement en 1 an et demi.
Des rendements très attractifs, surtout quand on sait que ces deux produits disposaient d’une barrière de protection du capital jusqu’à respectivement 50% et 75% de baisse de leur indice de référence.
De nouveaux produits seront proposés dans quelques semaines.
>> Soyez alerté lors du lancement d’un produit structuré

DU CÔTÉ DES MARCHÉS

Par Sélina Seremet, Analyste Bourse Meilleurtaux Placement.
"Hier, le CAC 40 a repris des couleurs, repassant au-dessus des 7 400 points, porté par des rumeurs du Washington Post selon lesquelles Donald Trump aurait adouci sa position sur les barrières douanières. Mais coup de théâtre, Trump n’a pas tardé à balayer ces affirmations, les qualifiant de fake news. Les marchés, dans leur habituelle quête de positivité, ont choisi d’ignorer ce démenti pour se concentrer sur le scénario le plus favorable, entraînant un bond de 2,4 % de l’indice.
Ce matin, la Bourse de Paris ouvre prudemment, -0,2 % à 7 429 points, les investisseurs gardant leur souffle avant la publication de l’inflation en zone euro prévue à 11h. Ce chiffre sera clé pour anticiper les prochaines décisions de la BCE, alors que les attentes d’une nouvelle baisse de taux de 25 points de base en fin de mois restent élevées."

ON S'EN FOUT ?

Le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, démissionne après plus de 9 ans au pouvoir ; Elon Musk donne son opinion sur toutes les élections en Europe ; Ils sont forts ces Danois : le début de la série "Family like ours" est prometteur, le pitch : le Danemark doit être entièrement évacué face à la montée des eaux et les Danois deviennent des immigrés qui cherchent refuge ; Il y a un nouveau péage urbain à Manhattan ; Le taux du livret A devrait baisser "autour de 2.5%" selon Eric Lombard d'ici février (contre plus de 4% pour l'assurance-vie) ; Pour le patron de Nvidia, les robots et les voitures autonomes sont la prochaine révolution, une révolution déjà en marche ; L'extrême droite autrichienne en passe de diriger le prochain gouvernement ; La France progressivement chassée de l'Afrique, un autre tournant géopolitique ; Suivez-moi sur X et linkedin en cliquant sur les liens.

* OBJECTIFS DE GAIN - FRAIS : LES OBJECTIFS PRÉSENTÉS S'ENTENDENT HORS PRÉLÈVEMENTS FISCAUX ET SOCIAUX ET HORS FRAIS DE GESTION APPLICABLES AUX CONTRATS CONCERNÉS, SOUS RÉSERVE DE CONSERVATION DU SUPPORT JUSQU'À LA DATE DE REMBOURSEMENT ET EN L'ABSENCE DE FAILLITE OU DÉFAUT DE PAIEMENT DE L'ÉMETTEUR ET / OU DU GARANT. UNE SORTIE ANTICIPÉE DU SUPPORT (PAR SUITE DE RACHAT, D'ARBITRAGE OU DE DÉCÈS PRÉMATURÉ DE L'ASSURÉ) SE FERA À UN COURS DÉPENDANT DE L'ÉVOLUTION DES PARAMÈTRES DE MARCHÉ AU MOMENT DE LA SORTIE (NIVEAU DE L'INDICE, DES TAUX D’INTÉRÊT, DE LA VOLATILITÉ, DES PRIMES DE RISQUE DE CRÉDIT) ET POURRA DONC ENTRAINER UN RISQUE DE PERTE EN CAPITAL, NON MESURABLE A PRIORI.

Les produits structurés présentent un risque de perte en capital partielle ou totale et doivent s'envisager sur une période d'investissement pouvant courir jusqu'à leur date d'échéance. Par conséquent, ils ne sont pas adaptés à des investisseurs âgés ou souhaitant sortir avant la date d'échéance du produit. Il convient de ne pas avoir besoin des capitaux investis puisque la durée de cet investissement n'est pas connue à l'avance.
Meilleurtaux Placement recommande à tout souscripteur intéressé par un investissement dans un produit structuré de contacter son conseiller afin d'être accompagné dans l'appréciation de son caractère approprié, et ce notamment au regard des risques inhérents au support encourus, détaillés dans sa documentation juridique et commerciale disponible sur notre site internet ou auprès de nos conseillers.
Dans le cadre d’un contrat d’assurance-vie ou de capitalisation, l’assureur s’engage exclusivement sur le nombre d’unités de compte mais non sur leur valeur, qu’il ne garantit pas. L'investissement portant sur des supports en unités de compte présente un risque de perte en capital. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et sont dépendantes notamment de l'évolution des marchés financiers.