Mercredi 27 janvier

Situation étonnante sur le marché de l'immobilier.
La crise sanitaire et la crise économique n'ont pas eu, pour l'instant, l'impact qu'ont normalement les crises majeures.
Et l'immobilier reste un placement qui attire les Français qui ont accumulé un montant colossal d'épargne pendant la crise.

IL N'Y A PAS UN MARCHÉ IMMOBILIER

Mais plusieurs marchés immobiliers évidemment.
L'immobilier résidentiel.
L'immobilier de bureaux.
L'immobilier commercial.
Pour l'immobilier commercial, il suffit de se promener dans les artères des centres-ville pour comprendre que la situation est et va être difficile. Un réajustement brutal des prix est à attendre.

POUR L'IMMOBILIER DE BUREAUX

La situation est plus complexe.
L'évolution des prix dépendra de ce qu'il restera des habitudes prises pendant la crise après la crise.
Si le télétravail entre définitivement dans les mœurs, les entreprises vont revoir à la baisse leurs besoins d'espace pour améliorer leur rentabilité.
Et il y a bien sûr toutes les entreprises en difficulté du fait de la crise qui peuvent tomber une fois qu'elles ne seront plus sous respiration artificielle par l’État.
Pour l'instant le marché est relativement stable, les prix ont peu bougé, le nombre de transactions a baissé.
C'est l'attentisme.

L'IMMOBILIER RÉSIDENTIEL

Lui n'a pas souffert de la crise.
Il faudrait évidemment distinguer tous les segments de marchés, en fonction des niveaux de prix, des localisations, mais dans son ensemble, l'immobilier résidentiel fait mieux que résister.
2020 a même été un bon cru.
1 million de transactions malgré le confinement.
Des prix en hausse de 5 à 10% dans la majorité des villes françaises.
Le moteur de cette progression est évidemment le niveau des taux d'intérêt.
Des taux d'intérêt toujours historiquement bas et des perspectives de taux, tant que la crise perdure, toujours très favorables.

FAUT-IL INVESTIR DANS L'IMMOBILIER ?

Oui.
En étant sélectif.
Dans une gestion équilibrée de son épargne, de la même façon qu'on doit avoir de l'assurance vie, qu'on doit avoir un PER, on doit aussi avoir de l'immobilier, en proportion plus ou moins importante en fonction de son anticipation sur l'évolution des prix.
L'immobilier est d'ailleurs, si on inclut la résidence principale, le placement préféré des Français, de loin.
Tant que les taux resteront bas, et ils resteront bas, de nombreux segments de l'immobilier resteront soutenus.
Et l'immobilier "locatif" reste un placement incontournable.

MAIS

Il faut faire preuve de sélectivité et de flexibilité.
Utiliser intelligemment sa capacité d'épargne, limiter les frais, optimiser sa fiscalité, profiter de l'effet de levier des taux d'intérêt et sélectionner un investissement avec des revenus locatifs pérennes sans les soucis de gestion qui y sont souvent associés.

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À PART ÇA ?



QUOI DE NEUF ?

LA RUÉE VERS L'ARGENT

Les entreprises se ruent vers l'argent distribué par les banques centrales.
Selon le Financial Times les levées de capitaux pendant les premiers jours de janvier, trois semaines seulement, ont dépassé les 400 milliards de $.
C'est 170 milliards de plus que la moyenne pour cette période de l'année.
Dettes.
Mais aussi augmentations de capital.
Les entreprises profitent aussi de leurs valorisations élevées.
Et elles ont bien raison.

LE FMI ET LA CROISSANCE

5,5 %
C'est la prévision de croissance mondiale pour 2021.
Une croissance tirée par les États-Unis, la Chine et l'Asie en général dont la croissance est attendue en hausse de 9,5%.
La zone euro elle ne devrait croître que de 4.2% alors qu'elle a largement plus plongé en 2020 que les autres zones, à -7.2%.

FATIGANT

Rien n'est décidé pour le confinement.
Le gouvernement joue avec les effets d'annonce, les rumeurs.
Il semble vouloir "tester" les réactions avant de prendre une décision.
Un fonctionnement aberrant et anxiogène.
Cette attente d'un éventuel confinement crée une ambiance malsaine et extrêmement défavorable à l'économie.
Sans parler de l'impact sur le moral de nos troupes...

LES GRANDS GAGNANTS DE LA CRISE

Dans les Échos.
Les distributeurs alimentaires, les vendeurs de cuisines, de robots culinaires et de canapés, les artisans de la rénovation de logements, les enseignes de bricolage et ...le poker en ligne.
Ils ont oublié la Bourse qui a attiré plus de 1,5 million de particuliers actifs en 2020.

DU CÔTÉ DES MARCHÉS

Par Richard Garnier, Analyste Bourse MP
Le CAC 40 a terminé la séance d’hier en hausse de 0.93 % à 5 523 points, soutenu par une série de résultats de sociétés applaudis par le marché. En Europe, le géant suisse UBS semble avoir largement dépassé les attentes et, aux US, General Electric a publié un flux de trésorerie meilleur qu'attendu au titre du quatrième trimestre. Cependant, les investisseurs ont quelques doutes sur la capacité du Congrès US à adopter rapidement le plan de relance de l'administration Biden. In fine le Dow Jones et le Nasdaq ont terminé en baisse de 0.07 %.
Ce matin, à Tokyo, le Nikkei a fini en hausse de 0.31 %.
Le CAC 40 est, lui aussi, attendu légèrement dans le vert cette matinée, avant les annonces de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine (Fed) attendues dans la soirée.
Le Brent se négocie à 56,3 $.
L'once d'Or se négocie à 1 852 $.
L'euro/dollar est à 1,215 $.

ON S'EN FOUT ?

On pensait que les Pays-Bas étaient un pays calme et respectueux des règles, c'est là que les émeutes anti-confinement sont les plus violentes; Sanofi en est réduit à produire le vaccin de Pfizer-BioNTech, pas très glorieux; 30% de hausse pour Beyond Meat, le spécialiste du burger végétarien, après son accord avec PepsiCo; Israël a vacciné 42,9% de sa population, nous n'apparaissons même pas dans le classement des 20 premiers pays en termes de % de la population vaccinée, insupportable; Hidalgo aurait été démoralisée par le sondage qui ne lui donne que 6 à 7% d'intentions de voix à la présidentielle; Triste nouvelle dans le Parisien, sur deux pages : Neymar ne pourra pas fêter ses 29 ans comme il le souhaite du fait du confinement, sale période; J'ai vu deux épisodes de Lupin, je ne comprends pas comment cette série a pu autant cartonner dans le monde; Smarties abandonne tous les contenants en plastique, tout en papier recyclable; Espérons tout de même que les Smarties n'auront pas un jour qu'une seule couleur, le vert.

*Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme (minimum 10 ans) et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine.
Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps.
Comme tout investissement, l'immobilier présente des risques :
- La baisse de la valeur du placement. Le capital investi dans une SCPI n’est pas garanti. La valeur de part d'une SCPI évolue dans le temps, en relation étroite avec l’état de la conjoncture de l'immobilier d'entreprise. Cette conjoncture suit des cycles successifs, avec des phases à la hausse et à la baisse.
- La diminution des revenus locatifs. Dans un contexte économique moins favorable, la baisse des revenus locatifs versés aux associés est due à la diminution du taux d’occupation financier et/ou à la baisse du montant global des loyers versés par les locataires. Cette baisse peut être toutefois atténuée par l’effet de la mutualisation des risques grâce à la diversification immobilière et locative du portefeuille de la SCPI.
- La liquidité. La SCPI n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution du marché de l’immobilier d'entreprise et du marché des parts de SCPI.

Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager. Aucun versement, de quelque nature que ce soit, ne peut être exigé d'un particulier, avant l'obtention d'un ou plusieurs prêts d'argent.

VOILÀ C'EST TOUT
BONNE JOURNÉE
MAY THE FORCE BE WITH YOU

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