La campagne électorale pour les prochaines législatives a officiellement commencé.
Comme attendu, le chancelier Scholz n'a pas obtenu la majorité pour le vote de la question de confiance.
Les élections se dérouleront le 23 février.
Et l'Allemagne est face à des choix fondamentaux.
La campagne électorale peut commencer.
À une période charnière pour l'Allemagne.
En particulier pour son économie.
Une économie à l'arrêt.
Une industrie en crise après être tombée dans le piège chinois.
Mais des finances saines.
Très saines.
Les conservateurs du CDU.
Menés par Friedrich Merz.
Avec un programme économique tourné vers la baisse des impôts pour les ménages et les entreprises, et de réorientations des dépenses sociales.
Pour Merz, l'Allemagne est "dans l'une des pires crises économiques de l'après-guerre".
Le chancelier sortant, Olaf Scholz avec un programme social de stimulation de la consommation et la création d'un fonds d'infrastructures énergétiques de 100 milliards d'euros.
Entre autres.
...ne fonctionneront que si l'Allemagne desserre son carcan budgétaire.
Tant que la croissance est molle, les revenus de l’État ne pourront pas progresser suffisamment pour compenser les réductions d'impôts ou les mesures de relance.
Le chat allemand se mord la queue.
Le sujet reste flou.
Aucun parti ne veut encore l'aborder frontalement.
Et pourtant c'est le véritable challenge de l'Allemagne : faire sauter sa règle d'équilibre budgétaire pour dégager des ressources financières qui vont lui permettre de "pivoter".
...donnent les conservateurs au-dessus de 30% et les sociaux-démocrates autour de 15%.
L'avenir économique de l'Europe se joue en Allemagne.
L’Allemagne va-t-elle réussir à pivoter ? Peut-elle sauver son économie et faire revenir l’Europe dans la course ?
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À PART ÇA ? QUOI DE NEUF ?
Les dirigeants du monde entier ainsi que les patrons d'entreprises continuent à faire allégeance à Donald Trump.
C'est assez dingue.
Il faut rappeler qu'il n'est pas encore président.
Mais il dirige déjà le pays.
Hier, c'était au tour de l'emblématique patron de SoftBank de s'engager à investir 100 milliards de $ aux États-Unis et à créer 100000 jobs.
Trump lui a dit : "Tu ne pourrais pas monter à 200 milliards ?".
Dingue.
Christine Lagarde.
Déclaration lunaire.
"Les jours sombres de l'inflation sont derrière nous".
On a l'impression que c'est un message codé de "Radio Londres".
On a envie de lui répondre que "les carottes sont cuites" et que "les sanglots longs des violons de l'automne" sont de plus en plus forts et qu'elle devrait baisser ses taux plus rapidement.
...révise la croissance française à la baisse pour 2025.
De 1,2% à 0,9%.
Et cette prévision reste une prévision optimiste.
J’ai interviewé la semaine dernière Arnaud Filhol, cofondateur de France Valley.
Il est venu nous parler du GFI (Groupement Forestier d’Investissement) un véhicule de placement aux nombreux atouts :
- Une réduction d'impôt de 18%* de votre investissement (en contrepartie d'un risque de perte en capital et d'un blocage des parts de 5 ans ½ à 7 ans.)
- Une exonération d'IFI, et de 75% des droits de succession
- Un espoir de revalorisation de la part liée aux revenus tirés de la découpe de bois et de la hausse du prix de l’hectare de forêt (selon le cofondateur, le prix de la part a grimpé de 4 à 6% par an ces dernières années.)
- Un actif tangible, décorrélé des marchés financiers.
- Un placement vert, durable, dans l’air du temps. Un placement branché…
>> Voir l’interview en replay
Par Sélina Seremet, Analyste Bourse Meilleurtaux Placement.
"La Bourse de Paris débute la séance en repli, -0,46% à 7 323 points, poursuivant son mouvement de consolidation après avoir déjà cédé 0,7% lundi. Le marché parisien reste plombé par la dégradation de la note souveraine française par Moody’s et des PMI décevants, qui confirment la morosité persistante en Europe. L’espoir d’une fin d’année radieuse pour le CAC 40 semble de plus en plus ténu.
Ce matin, une nouvelle série d’indicateurs économiques sera scrutée de près, notamment les indices Ifo et ZEW en Allemagne, qui risquent d’ajouter au pessimisme ambiant. Outre-Atlantique, les investisseurs surveilleront les ventes de détail et la production industrielle. Enfin, la réunion du comité de politique monétaire de la Fed s’ouvre aujourd’hui, avec en ligne de mire la conférence de presse de Jerome Powell demain. De quoi maintenir la nervosité des marchés dans un climat déjà tendu."
Dans la Tribune Dimanche, mon édito : "Pour 2025, demandez le programme", et le conseil placement : "Une réduction d’impôt pour Noël" ; Selon les enquêtes de Deloitte et de l'OMS, 12% des salariés souffrent de dépression et d'anxiété à cause du travail, avec pour conséquence 12 milliards de jours de travail perdus dans le monde pour un coût de 1000 milliards de $ par an ; La nouvelle du jour dans Les Échos : "La Normandie s'affirme plus que jamais comme le royaume mondial du lin", on est refait ; Le nombre de transactions de logements anciens en France est au plus bas depuis 2015 ; Canal+ en baisse de 27% pour son premier jour de cotation à Londres tandis que Vivendi était en hausse de 40% ; François Bayrou a choisi d'assister au Conseil municipal de Pau plutôt qu'à la réunion de crise sur Mayotte et en plus il a utilisé un jet pour s'y rendre, ça commence bien ; L'autre titre du jour dans Le Parisien : "La philo, remède à nos angoisses" ; La justice italienne a condamné Gilbert Montagné et Didier Barbelivien pour plagiat, la chanson "on va s'aimer" est concernée, quelle période ; Léon Hesby, le fils de Patrick Bruel, a donné son premier concert à Los Angeles ; Rediffusion ce soir de "Maman, j'ai encore raté l'avion!", Donald Trump apparaît dans le film...; Selon 20 minutes, "Faire pipi sous la douche n'est pas bon pour votre santé" ; Suivez-moi sur X et linkedin en cliquant sur les liens.
VOILÀ C'EST TOUT
BONNE JOURNÉE
MAY THE FORCE BE WITH YOU
L'investissement forestier, bien qu'assis sur un actif tangible, ne présente pas de garantie en capital, la valeur d'une Forêt étant sujette aux fluctuations de l'offre et de la demande. France Valley ne peut apporter de garantie sur le rendement ou l'évolution de la valeur des parts. Point d'attention : l'investissement forestier, bien qu'assis sur un actif tangible, ne présente pas de garantie en capital, la valeur d'une Forêt étant sujette aux fluctuations de l'offre et de la demande. France Valley ne peut apporter de garantie sur le rendement ou l'évolution de la valeur des parts. En outre, les avantages fiscaux ci-dessus ne sont pas automatiques, ils dépendent de la situation de chacun qui doit être examinée individuellement.