L'affaire BNP Paribas devient une affaire d'État. Elle sera évoquée par Hollande et Obama et on imagine que le président Américain doit déjà trembler...Cette affaire s'inscrit dans une démarche de l'administration américaine qui a commencé depuis quelques années: taxer les banques, américaines ou étrangères, directement ou indirectement, légalement ou par la menace. Un racket cynique et pragmatique
L'affaire BNP Paribas fait partie d'une stratégie globale de l'administration américaine. Elle ne vise pas que la BNP, ou la France, ou l’Europe. Elle vise les banques en général avec un leitmotiv « faire payer les banques ». On y retrouve tous les éléments du pragmatisme et du cynisme américain. Pragmatisme d’abord. Les États-Unis ne se sont pas embarrassés de longs débats sur la taxation de banques ou sur la taxe sur les transactions financières comme en Europe. Ils ont attendu que les banques se soient remises de la crise pour les taxer. Des dizaines de milliards de dollars ont été prélevés sur les JP Morgan, Bank of America, Citigroup et autres.
Maintenant que les banques américaines ont été essorées, c'est le tour des banques étrangères et ce n'est qu'un commencement. Peu importe la raison ou la solidité du dossier, il suffit d’une menace de retrait de licence pour obtenir des paiements immédiats. Crédit Suisse a ouvert le pas, BNP Paribas va suivre avec un chèque probable inférieur aux 10 milliards de dollars demandés.C'est une taxation déguisée. Ou du racket. Comme on veut. Deux buts : engranger des sommes gigantesques et satisfaire l’opinion publique. Personne n’ira défendre les banques après leur rôle dans la crise. À part François Hollande peut être. Voir l'édito en vidéo
Aujourd'hui commence une semaine sans jour férié.
On apprend que des Français se baladent librement entre la France et la Syrie, pour s'entraîner puis revenir commettre des attentats en France ou en Europe. Heureusement que la famille Merah est sous haute surveillance...
C'est THE événement de la semaine. Jeudi la BCE va dégainer ses taux d'intérêt négatifs et autres baisses des taux. C'est déjà tellement anticipé qu'on se demande quel effet cela aura.
comme il le mérite? Cette dictature rétrograde qui finance des mouvements terroristes et pratique la corruption à échelle internationale bénéficie d'une impunité totale. En France, en s'achetant le PSG et en distribuant quelques enveloppes, le Qatar est chez lui.
au lieu de 22. Enfin une bonne décision.
"Impossible que Hollande résiste trois ans": Bayrou. Il sait de quoi il parle puisqu'il a soutenu le président entre les deux tours.
40% de hausse. Des commandes de vins au verre dans les restaurants. Le vin servi en bouteille ne représente plus que 42% du vin servi dans les restaurants, devant le pichet et le vin au verre.
du week end dernier est disponible en podcast . Alice Lhabouz, présidente de Trecento AM, et Christian Cambier, president fondateur de Prigest, vous ont répondu. Le patron de la semaine c'est Mohed Altrad, patron du groupe Altrad, un parcours et une success story étonnants. Et le thème de la semaine : Comment réduire votre ISF en dernière minute?
La Grande-Bretagne va suivre l'Espagne, l'Italie et la Suède. Elle va intégrer les activités de prostitution et de trafic de drogue dans son calcul du PIB. La France refuse. Pour une fois qu'on pouvait booster la croissance...
Elle s'insurge contre l'ingérence des États-Unis dans les affaires asiatiques et notamment son alliance avec le Japon. Ces deux-là vont finir par se taper dessus un jour.
VOILA C'EST TOUT
BONNE JOURNÉE
MAY THE FORCE BE WITH YOU