
En voyant Paris vide à cause de simples vacances scolaires, intermédiaires qui plus est… puisque nous ne sommes ni en Août, ni entre Noël et le Jour de l'An, les mots du Général du 25 Août 1944 me reviennent à l'esprit : Paris ! Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé ! mais Paris libéré ! libéré [...]