Vendredi 22 janvier

Depuis plusieurs années maintenant, la baisse des taux des emprunts d’État, communément appelés "taux sans risque", impacte les rendements des placements monétaires et garantis. Le mouvement s'est amplifié en 2020 et il sera difficile, en 2021, de trouver des placements sans risque qui rapportent encore plus de 0.5% nets de frais et de fiscalité. Mais en suivant nos 10 recommandations, vous pouvez encore obtenir un rendement annuel net de près de 1 %, sans prendre de risques, voire 3 ou 4 % si on place sur un horizon long terme et si on prend un peu de risques.

1. Limiter les encours dans les livrets A et le compte courant


Commençons par un constat très simple : pour maximiser le rendement de votre capital financier, il faut avant tout que la majeure partie de ce capital soit placée...

Ce n'est pas le cas pour de nombreux français. Plus de 600 milliards d’€ dorment sur les comptes courants des Français. En 2020, le compte courant figurait dans le top des placements des Français avec plus de 50 milliards d’€ déposés. Dans le top des placements alors que ce n’est pas un placement. Face à ces 600 milliards d'€, les 400 milliards placés dans un Livret A paraissent finalement peu. Et même les 1700 milliards de l'assurance vie.

Certes, une partie de cet argent est conjoncturelle : il est là pour faire face à une dépense d'argent qui risque d'arriver à tout moment. Mais en réalité, un Français n'a besoin que de quelques milliers d'€ dans son compte courant. Le reste peut être déposé sur un livret A, sur lequel l'argent est disponible très rapidement, et sur un fonds en euros de l'assurance vie, plus rentable et qui reste très liquide (en pratique, il ne faut que quelques jours pour récupérer les fonds d'un contrat d'assurance-vie).

Sur les Livrets A également, les Français ont tendance à déposer plus d'argent que nécessaire. Puisqu'il ne rapporte presque plus rien (on attend 0.5% à partir de février 2020), le seul intérêt du Livret A est sa grande liquidité : la disponibilité est quasi-immédiate. Toujours justifie-t-il de placer quelques économies dans le livret, des économies dont on pourrait avoir besoin du jour au lendemain, une « épargne de précaution ». Si personne n’a jamais livré de règle pour définir le montant à y consacrer, nous conseillons d'y stocker environ 6 mois de salaire, un peu plus si vous êtes très risquophobe, un peu moins si vous avez de très hauts revenus et un budget largement équilibré.

Dans les faits, une très large partie du capital déposé sur un compte courant ne sera pas retirée pendant de longs mois. Ces comptes courants augmentent même d'année en année, ce qui montre bien qu'une grosse partie de ce capital n'est pas déposée à court terme.

Concrètement, en moyenne, c'est environ 20% du capital financier d'un épargnant qui est placé à 0%. Si ce capital était placé sans risque dans un fonds en euros à 1% net, cela donnerait 0.2 point de performance en plus pour l'épargnant. A l'heure où les placements sans risque rapportent difficilement 1%, peut-on vraiment se passer de ces 0.2 point ?

2. Bien sélectionner son fonds en euros


Le rendement moyen des fonds en euros s'est élevé à 1,4 %* en 2019 (hors prélèvement sociaux et hors fiscalité). Même si on s'attend à une nouvelle baisse pour 2020 (peut être même sous les 1% selon certains experts), il sera toujours supérieur au Livret A (0.5% depuis février 2020) et à l'inflation (0.5 % en moyenne sur 2020). De plus, il existe des fonds qui ont fait plus que 1.4%* en 2019 dans des contrats à frais zéro ou frais réduits, et sont attendus au dessus des 1%* en 2020.

Si on ajoute à cela une liquidité quasi-parfaite (quelques jours pour recevoir les fonds), on pourrait donc considérer le fonds en euros comme le meilleur produit d’épargne sécurisé. Mais il y a un hic…

En effet, l’accès à ces solutions est aujourd’hui limité par deux facteurs :

1. Beaucoup de contrats prennent des frais de versement. Avec des frais de versements, votre investissement subit un retard dès le départ. Par exemple, pour un contrat avec des frais d'entrée de 3% et un taux de 2%, il faudrait 6 ans à 2% pour que l’investissement soit plus performant qu’un fonds en euros sans frais d’entrée qui rapporterait 1,4% tous les ans. 6 ans, c’est très long, et il n’y a aucune garantie que votre fonds fasse 0,6 point de plus que le marché, chaque année, dans les années à venir…

2. Beaucoup de fonds de qualité ne sont disponibles que pour des versements comprenant une part minimum en unités de compte, qui présentent un risque de perte en capital.

Par exemple, sur le contrat M Retraite vie, le fonds Suravenir Opportunités, l'un des meilleurs fonds en euros du marché avec un taux de 2,40%* en 2019, n’est accessible que pour des versements qui comprennent au moins 50% d’unités de compte. Le fonds Suravenir Rendement, l’autre fonds euros du contrat, 1,60%* en 2019, est accessible pour des versements qui comprennent au moins 30% d’unités de compte.

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3. Envisager de clôturer votre vieux contrat


Si l'assurance-vie est une des meilleures niches fiscales, c'est surtout pour sa fiscalité douce sur les rachats au bout de 8 ans. Du coup, dès qu'un contrat dépasse 8 ans, on a du mal à le remettre en question et à s'en débarrasser. Pourtant, dans certains cas, c'est la chose la plus sensée.

Dans beaucoup de cas, clôturer son vieux contrat d'assurance-vie ne coûte pas très cher. Avec les abattements sur les gains, si vous n'êtes investi que sur le fonds euros, et/ou si vous êtes en moins-values sur vos unités de compte, la facture fiscale de la clôture peut être très faible voire nulle. Demandez donc à votre assureur de faire le calcul.

Pour les épargnants de plus de 70 ans, un autre critère entre en compte : les droits de succession. L'abattement de 152 500 € par bénéficiaire de l'assurance-vie n'est en effet possible que si on a moins de 70 ans. Pour ceux qui ont plus de 70 ans et dont l'objectif principal est de limiter les droits de succession pour leurs enfants, il n'y a donc pas d'autre choix que de conserver le contrat. Mais beaucoup de personnes ont un capital placé en assurance-vie bien plus élevé que 152 500 € par enfant. Donc au delà de ce minimum, qu'il faut laisser, il est très avantageux de faire un retrait pour investir ailleurs, d'autant qu'après 70 ans on obtient un nouvel abattement (30 500 € de primes, plus-values exonérées).

4. Éviter les contrats avec des frais d'entrée

Selon une récente étude de MoneyVox, les frais d’entrée effectivement facturés sur les contrats « grand public » culminent à 2,81%. Or, selon les chiffres livrés par le cabinet Facts & Figures, les fonds en euros de ces mêmes contrats « grand public » n’avaient rapporté que 1,56%* en 2018 (contre une moyenne à 1,80%*)

Selon MoneyVox, 3,5 milliards d’euros sont facturés au titre des frais d’entrée chaque année !

Or, la première performance de votre contrat vient de la limitation des frais d'entrée. Sur les contrats de réseaux bancaires, les frais d’entrée sont souvent incompressibles : le banquier va vous offrir une réduction de 1 point ou 2 sur les frais, surtout si vous faites un gros versement, mais il va toujours prendre une part de frais qui correspond à sa rémunération. Une épine dans le pied dès le départ alors que beaucoup de contrats, notamment commercialisés par des distributeurs en ligne, ne prennent aucun frais.

A titre d'exemple, un contrat sans frais d'entrée qui rapporte 1,5%* par an aura une performance de 16% au bout de 10 ans. Si le contrat avait 3,33 % de frais d'entrée, sa performance serait de 12 % au bout de 10 ans (soit 1,15 % par an).

Et si le contrat à frais d'entrée avait rapporté 1,8% par an, sa performance au bout de 10 ans serait de 15,5 %. Il faudrait donc plus de 10 ans pour qu'un contrat qui rapporte 1,8 % par an (mais qui a des frais de 3,33%) batte un contrat sans frais d'entrée qui rapporte 1,5 %. 10 ans ! Et à condition que ce contrat reste surperformant pendant toute la période...

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5. Choisir un contrat avec des supports diversifiés


La performance du fonds euros, c’est-à-dire le rendement du contrat, est un critère essentiel pour choisir le meilleur contrat d’assurance-vie. Mais ce n’est pas le seul, à l’heure où les fonds en euros ne permettent plus de rapporter un rendement net d’inflation satisfaisant, la qualité des autres supports disponibles (OPCVM et Pierre Papier) est aussi un facteur déterminant, tout comme les frais (entrée, gestion, arbitrage) qui peuvent venir plomber la performance.

Voici notre liste de critères qu’un contrat d’assurance-vie doit remplir pour faire partie des meilleurs contrats d’assurance-vie du marché :

• Frais d’entrée et de sortie : 0 euro;

• Frais de gestion max : 0,8%;

• Frais d’arbitrage : 0 euro;

• Accessible à partir de 1000 euros;

• Un fonds en euros dont le rendement 2019 est supérieur à 1,5%*;

• Au moins 300 OPCVM** disponibles, dont 150 au moins ayant 3 étoiles ou plus sur le comparateur de fonds Morningstar

• Plusieurs véhicules de Pierre Papier (SCPI-SCI-OPCI***) pour diversifier et bénéficier des rendements et de la solidité d'un investissement immobilier;

• Possibilité d'investir à 100% en fonds en euros ou, à défaut, d'investir à 100% dans une allocation composée de fonds en euros et de supports de Pierre Papier (SCPI-SCI-SCPI***);

• Option de gestion : Sécurisation des plus-values, limitation des moins-values;

• Gestion en ligne (Arbitrages, versements, retraits);

• Conseiller accessible par téléphone

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6. Solidifier avec des supports immobiliers à frais réduits


Avec la baisse des rendements des fonds en euros, les assurés qui souhaitent maintenir un niveau correct de rendement dans leur contrat n'ont d'autres choix que de s'intéresser aux unités de compte disponibles dans leur contrat d'assurance-vie. Dans des contrats multisupports, les épargnants ont souvent à leur disposition des centaines d’OPCVM (actions, obligations, diversifiés) avec des espérances de rendement supérieures au fonds en euros (notamment pour les investissements en actions). Ils sont cependant bien plus risqués que les fonds en euros : aucune garantie en capital et la possibilité de voir le capital baisser fortement en cas de chute des marchés actions. Quelles solutions reste-t-il alors aux particuliers pour obtenir des rendements sans prendre trop de risque ? Il y a bien sûr les SCPI (sociétés civiles de placements dans l’immobilier) : ces véhicules permettent de bénéficier des rendements attractifs d’un patrimoine immobilier physique, pour une solidité reconnue (le risque de baisse est faible, les parts de SCPI ont plutôt tendance à grimper chaque année). Mais les frais de souscription sur ce type de produits sont élevés (environ 10%).

Les SCPI sont donc des produits de très long terme. Il faut plusieurs années de rendement et de hausse de prix pour rentabiliser l’investissement.

À court-moyen terme, il existe pourtant une autre solution qui va vous permettre d’obtenir une bonne rentabilité nette de frais sans prendre trop de risque : les SCI (sociétés civiles immobilière). Plus connue comme outil pour faciliter la gestion d’un patrimoine immobilier entre plusieurs particuliers (notamment SCI familiale), la SCI peut également prendre la forme d’une unité de compte au sein d’un contrat d’assurance vie. Elle est alors gérée par une société de gestion qui va constituer un patrimoine et capitaliser les revenus locatifs. L’investissement peut prendre plusieurs formes : immobilier physique, mais aussi SCPI, sociétés foncières cotées ou encore fonds immobiliers.

Par rapport à des SCPI, les SCI sont moins chargées en frais : on trouve de nombreux véhicules qui ne prennent « que » 2 % de frais d’entrée. Or, les rendements offerts sur ce type de produit ont été plutôt bons ces dernières années : autour de 4 %*** (et même 5 ou 6%*** pour les meilleures). Avec une telle performance annuelle, les frais d’entrée sont rentabilisés sur 6 mois. Sur un an, la performance est supérieure à de nombreux fonds en euros alors que sur 5 ans, elle n’a pas à rougir face à la performance de fonds actions.

>> Je souhaite recevoir une information détaillée sur les SCI et OPCI dans l'assurance-vie

7. Diversifier avec des fonds patrimoniaux


Les fonds diversifiés recouvrent plusieurs catégories. Ils poursuivent un objectif commun : protéger** l'épargne du souscripteur, en tentant, en même temps, de capturer une partie du potentiel de hausse des marchés. Leur portefeuille est constitué d'un mélange d'actions, d'obligations, de cash, de fonds monétaires ou d'autres fonds...

Parmi les fonds diversifiés, on trouve plusieurs catégories :

- Les fonds d'allocation prudente privilégient la sécurité du capital pour les porteurs de parts. Ils sont constitués d’environ 70 à 75% minimum d’obligations. Les 25% restants sont investis dans des titres financiers plus risqués comme les actions

- Les fonds d'allocation équilibrée contiennent une proportion plus importante d'actions (environ 50%)

- Les fonds d'allocation flexible bénéficient d’une très grande latitude de gestion. Pour la plupart d’entre eux, leur exposition aux actions peut varier de 0% à 100%. En fonction des anticipations du gérant, il pourra plus ou moins s'exposer aux actions (ou à une autre classe d'actifs)

- Les fonds «alternatifs» ou « de performance absolue» utilisent des stratégies «sophistiquées», avec notamment l'usage de produits dérivés, pour offrir une «performance absolue», régulière et décorrélée des indices.

Avec la baisse des actions et des obligations l'an dernier, les fonds patrimoniaux ont connu une année 2020 décevante : la plupart de ces fonds sont investis en partie en actions et en partie en obligations. Ils ont donc pour la plupart baissé en 2020. Par contre, la majorité de ces fonds ont bien rebondi au deuxième semestre. Ces fonds ont donc une corrélation assez forte avec les marchés boursiers, même s'ils sont moins risqués. Il y a quelques exceptions, notamment du côté des fonds de « gestion alternative » ou « de performance absolue » qui investissent sur d'autres actifs ou d'autres stratégies pour essayer de faire de la performance** quelle que soit l'évolution des marchés. Pour les autres, il faut espérer que 2021 soit une aussi meilleure année boursière que 2020 .

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8. Pour le long terme, envisager l'investissement en actions


Avec des performances très attractives sur 8 ans, l'investissement en actions est alléchant. Le problème c'est qu'il y a 8 ans, tous les particuliers avaient fui la Bourse après les crises de 2008 et 2011. Ils sont revenus en masse en 2018 et 2019... pour se reprendre une nouvelle chute des marchés en 2020. Le deuxième semestre année 2020 a ensuite été très prolifique pour les placements actions. Dans le meilleur des mondes, il fallait donc acheter en Bourse en décembre 2018 puis en mars 2020. Dans la réalité, à ce moment, ils étaient peu nombreux à parier sur un rebond de la Bourse en 2018 alors qu'on était en pleine guerre commerciale sino-américaine, et encore moins en 2020 en pleine crise du coronavirus et confinement en France. 10 mois plus tard, certaines Bourses sont déjà revenues à leur niveau d'avant crise, voire ont même inscrit de nouveaux records. Est-il trop tard pour investir en ce moment ? Faut-il attendre? Quelle zone ? Quand faudra-t-il vendre ?

Les décisions d'achat et de vente sur actions sont importantes mais, on va peut-être vous surprendre, elles ne sont pas primordiales, notamment lorsqu'on a un horizon long terme.

Évidemment, si on parvenait à investir lorsque le CAC est très bas et revendre lorsque le CAC est plus haut, on arriverait à obtenir une rentabilité très attractive, supérieur à 10%. Mais pour cela, il fallait par exemple investir en 2008 au moment de la faillite de Lehman Brothers et en 2011 au moment de la faillite de la Grèce. Mais à ce moment-là, ils étaient peu nombreux à avoir le courage d'acheter des actions. Dans la pratique, on s'aperçoit que les volumes d’investissements les plus importants se font généralement lorsque les marchés sont au plus haut.

A défaut d'être un expert prévisionniste, ou d'avoir une boule de cristal, autant faire les choses de manière pragmatique : si vous investissez sur l'indice CAC 40, sur un an, votre performance sera très aléatoire : Historiquement, la meilleure performance du CAC 40 sur un an a été de 60%, et la pire de -40%. Bigre ! Mais sur 30 ans, la performance annuelle d'un investissement dans le CAC 40 est comprise entre 2% par an et 10% par an. L'écart entre un bon investissement et un mauvais investissement est donc bien plus faible sur du long terme.

Si vous investissez en Bourse sur 30 ans, vous pouvez être à peu près sûr que vous profiterez de belles hausses mais que vous subirez également de fortes baisses, voire des krachs. Mais quelle que soit votre date d'achat, vous pouvez quand même espérer faire des gains sur le long terme. Un investisseur qui aurait acheté l'indice CAC 40 en 2007 aurait réalisé aujourd'hui une performance de 60% (hors frais et fiscalité). Il aurait pourtant subi la crise des subprimes, la crise grecque, le Brexit, le conflit sino-américain et enfin la crise sanitaire de 2020

A noter également que les versements programmés lissent l'effet des marchés. En faisant des versements régulièrement, on achète parfois quand la Bourse est à un point haut et parfois quand elle est à un point bas (et parfois entre les deux) : on se retrouve finalement avec un point d'entrée moyen « moyen ». On lisse ainsi les aléas de marché mais on profite quand même de la tendance à long terme.

Aujourd'hui, beaucoup de professionnels considèrent que le CAC 40 est "au plus haut". Le moment est-il mal choisi pour entrer en Bourse ? Peut être, mais si on souhaite obtenir une rentabilité de plus de 5% sur son patrimoine, on n'a pas le choix, on doit investir en Bourse. Si on ne veut pas investir en Bourse, on doit forcément revoir les ambitions de rendement à la baisse.

Pour investir en actions à long terme, découvrez notre gestion profilée MF étoilée, une allocation adaptée à votre profil de risque (prudent, équilibré, dynamique, offensif), investie partiellement sur le fonds en euros du contrat d'assurance vie (M Retraite Vie) et sur une sélection de fonds d'actions diversifiés sur les principales zones géographiques. Sans frais d'entrée et sans frais de gestion additionnels, sans minimum d'investissement (uniquement les 100 € minimum à l'ouverture du contrat).

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9. Pour le long terme, penser aux SCPI


Les SCPI sont de plus en plus prisées par les épargnants. Elles offrent un avantage de taille : permettre d'investir en immobilier physique, en limitant les soucis de gestion et de liquidité. La gestion du parc immobilier est en effet confiée à la société de promotion qui se charge de le louer et de l'entretenir pour le compte des porteurs de parts. L’associé n’a plus qu’à percevoir ses revenus ! L’autre avantage, et il est de taille, c’est que les SCPI permettent de mutualiser les risques et de diminuer ainsi le risque locatif.

Avec des rendements attendus autour de 4%*** en 2020, et une solidité des prix, les parts de SCPI (société civile de placement immobilier) ont une nouvelle fois montré leur statut de placement anti-crise l'an dernier. Comment combiner la solidité et les rendements de la pierre avec les avantages pratiques et fiscaux de l'assurance-vie ? En achetant des parts de SCPI à l'intérieur de son contrat d'assurance-vie. Avant d'investir en SCPI via l'assurance-vie, il faut donc choisir le meilleur contrat, celui qui propose la ou les SCPI de qualité sur lesquelles on souhaite investir. Chez MeilleurPlacement, vous avez des SCPI de qualité sur chaque contrat que l'on distribue.

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10. Bénéficier d'un conseil personnalisé


Vous êtes un peu perdu dans toutes ces recommandations et vous voulez bénéficier d'un conseil personnalisé selon votre profil ? N'hésitez pas à prendre contact avec nos conseillers en gestion de patrimoine. Ils sont à votre écoute, disponibles toute la journée par téléphone, email, ou en rendez-vous dans une de nos agences (Paris, Cannes, Rennes, Bordeaux). Ils sauront vous accompagner vers les solutions d'investissement les plus adaptés à votre profil notamment vos objectifs, votre aversion au risque, et votre horizon de placement.

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Communication non contractuelle à caractère publicitaire.

*Taux net de frais annuels de gestion, hors prélèvements sociaux et fiscaux. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps. Pour accéder au fonds en euros Suravenir Opportunités, chaque versement doit comporter au minimum 30 % en Unités de Compte, lesquelles présentent un risque de perte en capital. S'agissant du fonds en euros Suravenir Rendement, tout versement supérieur ou égal à 250 000 € doit être investi à 30% minimum en Unités de Compte, lesquelles ne garantissent pas le capital versé et sont soumises aux fluctuations des marchés financiers à la hausse comme à la baisse.

** Les supports en unités de compte présentent un risque de perte en capital.

*** Les parts de SCPI et SCI sont des supports de placement à long terme (minimum 10 ans) et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures et ne sont pas constantes dans le temps.

Comme tout investissement, l'immobilier présente des risques :

- La baisse de la valeur du placement. Le capital investi dans une SCPI ou SCI n’est pas garanti. La valeur de part d'une SCPI ou une SCI évolue dans le temps, en relation étroite avec l’état de la conjoncture de l'immobilier d'entreprise. Cette conjoncture suit des cycles successifs, avec des phases à la hausse et à la baisse.

- La diminution des revenus locatifs. Dans un contexte économique moins favorable, la baisse des revenus locatifs versés aux associés est due à la diminution du taux d’occupation financier et/ou à la baisse du montant global des loyers versés par les locataires. Cette baisse peut être toutefois atténuée par l’effet de la mutualisation des risques grâce à la diversification immobilière et locative du portefeuille de la SCPI ou SCI.

- La liquidité. La SCPI ou SCU n’étant pas un produit coté, elle présente une liquidité moindre comparée aux actifs financiers. Les conditions de cession (délais, prix) peuvent ainsi varier en fonction de l’évolution du marché de l’immobilier d'entreprise et du marché des parts de SCPI ou SCI.

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