
On estime à 2,76 milliards d'euros les contrats d’assurance-vie "en déshérence", c'est à dire non réclamés par les bénéficiaires après le décès du souscripteur. Il faut dire qu'avant 2005, l'assureur n'était tenu à aucune obligation de recherche pour ces contrats non réclamés. Ces montants alimentaient [...]