Lorsque l'on détient des actions, on est propriétaire physique d'une partie des actifs de l'entreprise emetteur. En cas d'explosion du système financier, c'est une garantie de survie de son placement car les actifs sont en principe toujours là. Peut-on en dire autant des obligations, des FCP, et surtout des produits structurés qui me semblent relever du shadow banking et qui, lors d'un krack, disparaitraient instantanément dans la tourmente et l'inventaire infaisable des droits papiers virtuels. Je me trompe ?
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