Bonjour et merci encore de votre réponse. Pardon du retard dû à maladie et nouvelle affectation.
Mon père (85 ans) envisage de nous faire une donation-partage, à mon frère handicapé et moi, après rachat total de 800.000 euros des contrats d'Assu-vie démembrés en moins-value (multi-supports en UC pleins d'actions internationales, d'immobilier et pays émergents) achetés inutilement en 2005 au courtier indépendant qui nous a fait perdre 400.000 euros en 2008 malgré mes coups de semonce fin 2007 (mon père avait déjà des anciens contrats en euros). Ceci pour que nous en devenions pleinement propriétaires et changions de conseiller.
Mais déduction faite du double-abattement de mon frère et de moi-même, et des donations antérieures, le notaire a estimé à 100.000 euros le montant des droits à payer (20%) ! Du coup, seul le rachat des contrats est envisagé, suggère notre futur banquier, la donation-partage se limitant à la part exonérée.
1) Faut-il tout racheter (afin de changer de courtier) et aller à la banque pour se mettre en monétaires et/ou actions françaises solides en direct ? Pour permettre d'encaisser chaque bénéfice quand cela monte, ce qu'on ne peut pas faire avec ces récents contrats d'Assu-Vie ?
Par ce rachat, mon père passerait à la tranche inférieure de l'ISF, même s'il nous paierait le nôtre. Il gagnerait 5.000 euros environ.
La banque veut nous vendre soit un contrat d'AV à La Mondiale, soit un contrat de capi, soit un peu d'actions en direct de sociétés sous-valorisées, et du monétaire dans l'attente de plus de visibilité. Le courtier indépendant, lui, préconise de lui acheter des oblig High Yields qui rapporteraient du 12%...
2) Quels sont les meilleurs contrats, d'assurance-vie ?
3) Il semble que nous n'ayons pas reçu de Conditions Particulières (demandé en cas de rachat) de l'un de nos contrats d'AV démembrés (contracté auprès d'une banque amie du courtier). La future banque nous conseille d'écrire à l'ancienne en disant que nous les avons perdues et d'en demander un duplicata. Mais plutôt que le rachat, en l'absence de cette pièce d'information obligatoire, n'est-ce pas là un moyen d'exiger le remboursement de l'intégralité de notre capital initial qui a fondu comme neige au soleil ?
Avec mes remerciements renouvelés
Fidèlement vôtre
Franck VEILLON
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