Si les marchés ne s'affolent plus autant à la perspective d'une élection de Hollande à la présidentielle, n'est-ce pas parce qu'ils estimeraient que finalement celui-ci serait plus contraint par les marchés aux réformes que ne serait Sarkozy ? Surtout depuis que celui-ci lance des propositions pour entrer dans une compétition avec son rival au lieu de s'en démarquer en cherchant à réduire les dépenses.
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