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Attention, terrain miné
Les 4 scénarios de crise
qui menacent
votre contrat d'assurance-vie
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Soyons francs, ce que j'ai à vous dire n'est pas agréable à entendre.
La situation est grave : si vous avez un contrat d'assurance-vie, votre épargne durement gagnée est en danger. Et selon nos découvertes, ce danger est réel et imminent.
Mais comme vous le verrez dans ce message, vous pouvez vous en protéger. Un plan simple, en quatre étapes, vous aidera à mettre votre argent à l'abri de la tempête qui s'annonce... à condition d'agir vite.
Croyez-moi, ce ne sont pas des paroles en l'air, ni de vagues menaces agitées pour effrayer les badauds. Les faits le prouvent : le "placement préféré des Français" est en passe de devenir le plus dangereux ; les 1 306 milliards d'euros collectés en 2010 tous fonds confondus sont en fait un géant au pied d'argile... et les faits sont là pour le prouver. Savez-vous par exemple que...
- Ce grand assureur français a déjà annoncé qu'il envisageait une recapitalisation. Oh, il l'a fait en toute discrétion, dans un hebdomadaire réservé aux professionnels, et personne ne l'a repris dans la presse grand public... mais c'est néanmoins une réalité : cette compagnie a besoin d'argent.
- L'Afer (Association française d'épargne et de retraite) a passé un bon coup de rabot sur les rendements de ses contrats en 2010 -- ils sont passé de 4,12% en 2009 à 3,52% en 2010. L'érosion commence... et elle se généralise : entre 0,05 et 0,75 point de rendement en moins pour la majorité des contrats d'assurance-vie français !
- Les rendements, c'est une chose... mais encore faut-il voir ce sur quoi ils s'appuient ! Une des plus grandes compagnies françaises a dans ses coffres près de 9 600 millions d'euros de dette obligataire espagnole, portugaise, italienne... Et il est inutile de vous rappeler les difficultés auxquelles ces pays, les fameux "PIIGS", font face pour rembourser leurs dettes.
- Il ne faudrait pas grand'chose pour que les PIIGS basculent dans la faillite. Dans un tel cas de figure, nos recherches démontrent que cette même compagnie d'assurance-vie risque de perdre jusqu'à 29,4% milliards d'euros.
Et ce n'est là qu'un échantillon de ce que nous avons découvert lors de nos investigations. Vous le voyez, les raisons de s'inquiéter sont bel et bien réelles.
Mais comme je vous le disais plus haut, les mesures de protection existent. En plus de vous avertir des dangers qui menacent votre capital, j'aimerais vous présenter une stratégie complète pour vous aider à vous couvrir contre ces risques. Ils vous expliqueront notamment...
... comment constituer votre propre "fonds de couverture" : optimisation de votre allocation d'actifs, stratégies de protection, placements aux rendements attractifs... Inutile d'être un professionnel de la finance pour agir et mettre en place des mesures concrètes pour préserver votre patrimoine !
... sur quelles SCPI investir pour lutter contre les risques auxquels est exposé le secteur de l'assurance-vie français. Parmi la sélection de nos spécialistes, vous trouverez par exemple une SCPI dont le rendement est estimé aux environs des 5,50% sur l'ensemble de 2010... et dont la part a augmenté de 41% sur la même période.
... comment utiliser au mieux l'or, le placement refuge par excellence. Comment vous positionner, quels supports, or papier contre or physique... Nous vous dirons comment mettre le métal jaune au service de votre portefeuille.
Et ce n'est là qu'une infime partie des analyses, conseils et stratégies que j'aimerais partager avec vous. Je vous dirai comment dans quelques lignes, mais d'abord, voyons un peu plus en détail pourquoi nous sommes si inquiets...
Votre assurance-vie
sera-t-elle encore là demain ?
Je m'appelle Simone Wapler. Je suis rédactrice en chef du magazine MoneyWeek, et en tant que telle, je suis tout ce qui touche, de près ou de loin, le sujet de l'investissement individuel. Et là, on peut dire que je suis dans le vif du sujet.
Tout a commencé par une simple question :
"Et si l'on soumettait à notre propre stress test LE placement par excellence en France : l'assurance-vie ?"
A vrai dire, lorsqu'un de mes collègues a proposé cette idée durant une conférence de rédaction, j'ai failli refuser.
Un travail de fourmi... qui prendrait des mois... pour un résultat incertain... et qui, s'il aboutissait, risquait de ne pas nous faire que des amis dans l'industrie financière.
Et puis j'ai réfléchi. A l'importance de l'enjeu pour vous, pour moi et pour des millions de Français. Au fait que les risques pesant sur les compagnies d'assurance-vie sont un sujet dont on n'entend -- curieusement -- pas vraiment parler dans les médias.
Le lendemain matin, je suis donc allée trouver mon collègue. "Allons-y", lui ai-je dit. Et c'est ainsi que nous nous sommes lancés dans ce qui pourrait bien être l'enquête la plus polémique que nous ayons jamais faite.
Au final : un rapport complet, absolument inédit et potentiellement explosif.
Nous l'avons appelé Votre assurance-vie est en danger.
Il contient tous les chiffres, les hypothèses, les tableaux et les analyses de mon équipe.
Croyez-moi, son élaboration a été difficile et de longue haleine -- des mois d'investigation, des dizaines et des dizaines de tableaux épluchés, des bilans étudiés de fond en comble, des hypothèses calculées, des chiffres passés au crible...
... et franchement, le résultat a de quoi vous faire dresser les cheveux sur la tête. Oubliez les "rendements garantis", les "aucun risque de pertes" et autres promesses de "sécurité optimale".
A l'heure où on commence à reparler d'une deuxième série de stress tests pour les banques européennes, la réalité, c'est que les plus grandes compagnies d'assurance-vie françaises -- et a fortiori votre propre contrat et votre argent -- sont à la merci de la première crise venue.
Et ça tombe mal, car une crise, justement, nous en voyons arriver une d'une ampleur sans précédent.
Je m'explique...
Qu'y a-t-il vraiment dans votre assurance-vie ?
Nous nous trouvons actuellement dans une situation qui ressemble de très près à la crise des subprime de 2007-2009... mais à l'échelle mondiale. Et cela fait peser un double risque sur les compagnies d'assurance-vie.
Voyez-vous, partout dans le monde, les états -- en majeure partie occidentaux -- se sont endettés pour lutter contre la crise, de plus en plus lourdement. Ils ont injecté de l'argent dans le système, racheté les mauvaises créances des institutions financières en difficulté, mis en place des plans de relances astronomiques, et j'en passe.
Mais où les états ont-ils trouvé tout cet argent ? Simple : ils l'ont emprunté. Et c'est précisément là que se situe le danger...
Je résume la situation de manière très sommaire : depuis 2008, les banques centrales ont réduit considérablement leurs taux directeurs. Je vous rappelle que le taux en question détermine le tarif auquel les banques se prêtent entre elles. Le but de ces baisses était de donner de l'oxygène aux banques en abaissant le coût de leur refinancement sur les marchés interbancaires.
Ainsi, on ne cassait pas la machine économique, puisque les banques pouvaient continuer à prêter à des conditions supportables aux ménages et aux entreprises.
Ca, c'était la théorie.
Dans la pratique, les choses se sont passées tout à fait autrement.
Toutes ces liquidités injectées par les banques centrales à un coût de plus en plus faible ont surtout été utilisées par les organismes financiers -- banques évidemment, mais aussi fonds de pension, et bien entendu compagnies d'assurance-vie -- pour financer massivement des achats de titres d'Etat.
Elles ont ainsi maintenu les cours des emprunts d'Etat à des niveaux artificiellement élevés (et donc les rendements). Par conséquent, les taux d'intérêt sur ces titres sont restés à des niveaux artificiellement bas.
Résultat : nous sommes aujourd'hui confrontés à une bulle obligataire massive.
Le risque dont personne ne vous parle
Evidemment, il y a le risque dont je viens de vous parler, qui concerne la qualité des actifs détenus par les compagnies. Mais une autre menace -- plus insidieuse, celle-ci -- pèse sur votre épargne en assurance-vie.
Et autant le risque de défaut de pays comme le Portugal, l'Espagne, etc. (les fameux "PIIGS") fait parler de lui dans les journaux... autant cette conséquence-ci est rarement abordée. Pourtant, elle pourrait avoir un effet radical sur le rendement des fonds d'assurance-vie.
C'est simple : les obligations d'Etat permettent aux institutions bancaires de restaurer très rapidement leur situation financière. Imaginons qu'une compagnie d'assurance-vie a acheté il y a deux ans des obligations d'Etat à 4%. Ces obligations ne sont plus qu'à 2% à 3% aujourd'hui -- et notre compagnie les paie en empruntant à un taux court proche de zéro. Elle fait ainsi un gain instantané de 200 à 250 points de base (je rappelle qu'un point de base vaut 0,01%).
Maintenant, imaginez que les banques centrales décident de remonter leurs taux directeurs. L'effet domino serait implacable : les conditions de refinancement seraient moins favorables pour les institutions financières... le montage financier que je viens de décrire n'aurait plus cours... les obligations d'Etat perdraient tout leur attrait... et les portefeuilles obligataires -- institutionnels ET individuels -- subiraient une dévalorisation potentiellement catastrophique.
Les banques centrales n'ont donc pas le choix : elles dopent les résultats des banques grâce ces acquisitions de titres d'Etat financés quasiment gratuitement.
Pardonnez-moi cette comparaison, mais les institutions financières ressemblent en fait un peu à des drogués : elles ne peuvent continuer à survivre que par la drogue qui leur est régulièrement administrée. Et dans notre cas... la drogue, ce sont des taux courts maintenus durablement bas par les banques centrales
Or, pour plusieurs raisons que vous découvrirez en détails dans le rapport Votre assurance-vie est en danger... une remontée violente et brutale des taux est sans doute à prévoir dans les mois qui viennent -- d'ici 12 à 18 mois plus précisément si nos estimations sont exactes.
Les conséquences d'un tel mouvement sur les portefeuilles obligataires des compagnies d'assurance seraient catastrophiques pour les épargnants que nous sommes.
Une remontée brutale des taux conduirait à proposer des produits financiers avec des rémunérations plus attractives. Ce qui créerait une forte concurrence aux contrats d'assurance-vie adossés au stock obligataire actuel moins bien rémunéré.
Risques évidents : ces contrats paraîtront rebutants et on assistera à une sortie massive de capitaux d'assurance-vie. Les assureurs seront alors forcés de vendre. Ils seront contraints de devoir matérialiser des moins-values consécutives à ces ventes.
C'est pour ça que j'insiste : même si vous décidez de ne pas suivre nos conseils, même si vous ne souhaitez pas vous procurer notre rapport spécial... je vous conseille instamment de surveiller attentivement les signaux d'alarme que je suis sur le point de vous dévoiler.
Pour élaborer notre stress test, nos spécialistes ont en effet modélisé quatre scénarios de krach très probables. Un point important : ce que vous allez lire n'est pas de "l'économie-fiction", mais bien des hypothèses de travail pour lesquelles les conditions sont déjà en place.
Et si nos analyses sont correctes, l'un ou plusieurs de ces scénarios pourrait se réaliser courant 2011 -- et signer ainsi la fin de l'assurance-vie telle que vous la connaissez actuellement.
Quatre scénarios de krach...
... et leurs signes avant-coureurs
Scénario de Krach n°1 : le pire pourrait venir des pays émergents
Chine, Brésil, Inde... l'inflation apparaît déjà dans les économies émergentes. Grâce à une croissance forte et un chômage faible, elle va même en s'accélérant, du fait de la hausse des salaires.
Quel rapport avec une hausse des taux chez nous ? Eh bien, l'inflation des pays émergents se propage dans nos pays développés, puisque les biens manufacturés que nous importons se renchérissent ; les prix grimpent. Les épargnants des pays développés commencent à bouder l'obligataire.
Parallèlement, dans les pays émergents, le pouvoir d'achat des ménages se développe. Ils épargnent moins. Les monnaies émergentes s'apprécient. Ils ont donc moins besoin de réserves dites "sûres" -- comme le sont traditionnellement considérées les obligations d'Etat développés.
Les achats de nos dettes souveraines par ces pays pourraient commencer à diminuer. Le marché obligataire en euro est donc lâché de l'intérieur comme de l'extérieur... forçant une hausse des taux... et les conséquences que je vous ai décrites plus haut.
Mon conseil : surveillez de près l'inflation dans les "BRIC". Au moindre signe de surchauffe, les résultats pourraient être catastrophiques pour le marché obligataire -- et les établissements financiers qui détiennent de la dette souveraine... comme les compagnies d'assurance-vie.
Scénario de Krach n°2 : krach obligataire et BCE accommodante
Pour notre deuxième scénario de "stress", nos spécialistes se sont concentrés sur l'Europe -- et plus précisément sur les pays fragiles comme la Grèce, le Portugal, etc.
Selon cette deuxième hypothèse, l'Union européenne pourrait accompagner les pays fragiles dans leurs réformes fiscales, budgétaires et économiques -- et surtout leur donner une grande bouffée d'oxygène en dépréciant l'euro.
Je vais être directe : il se pourrait que ce scénario soit plus proche que vous le pensez.
N'oubliez pas que la Banque centrale européenne a déjà commencé une dévaluation de l'euro par le biais du programme d'assouplissement quantitatif mis en place en mai dernier. En 2010, la BCE a injecté 67 milliards de "nouveaux" euros dans le système, par le biais de rachats de dettes souveraines européennes.
Les risques ?
Dépréciation... inflation généralisée... contagion de l'appauvrissement des pays fragiles au reste de la Zone euro... mécontentement des investisseurs étrangers (qui détiennent 42% de la dette européenne)... et surtout remontée généralisée des taux longs !
Et voilà, la boucle est bouclée : votre assurance-vie est "en bout de ligne" et ne pourra que souffrir si un tel cas de figure se matérialise. Jusqu'à 26 milliards de pertes pourraient venir pourrir les performances des plus grandes compagnies françaises, selon nos calculs.
Mon conseil : restez attentif aux annonces de la BCE. Nouvel assouplissement quantitatif, mesures "non-conventionnelles", rachats d'obligations d'Etat... autant de signaux d'alarme qui devraient vous faire réagir pour protéger votre épargne.
Scénario de Krach n°3 : implosion de la Zone euro et sortie de certains PIIGS
Si l'on en croit les autorités économiques, nous sommes tranquilles jusqu'en 2013, grâce aux divers plans de rachat et de soutien du FMI et de la BCE. Mais je ne suis pas aussi sereine que nos dirigeants.
Chômage, grèves, manifestations, troubles sociaux... Sous de telles pressions, selon nos spécialistes, un ou plusieurs états de la Zone euro pourraient très bien décider d'appliquer des solutions populistes sous l'effet des crises sociales.
Dans ce cas, il pourrait y avoir des défauts brutaux sur certaines dettes des PIIGS, des états pourraient sortir de l'euro et provoquer ainsi une nouvelle configuration pour la Zone euro.
Imaginez par exemple une crise sociale aggravée en Grèce ou au Portugal. Des élections anticipées auraient alors lieux, avec l'arrivée potentielle d'un pouvoir populiste et nationaliste qui proclamerait la sortie de la Zone euro. Il y aurait une dévaluation officielle du "nouveau drachme" ou "nouvel escudo", une redénomination de la dette dans cette monnaie... et répudiation par l'inflation.
Et que vous le vouliez ou non, votre assurance-vie contient sans doute ce genre de titres. Lorsqu'ils ont appliqué ce scénario aux chiffres actuels, nos spécialistes ont découvert que certaines des compagnies d'assurance-vie encouraient jusqu'à 31,47 milliards d'euros de pertes. Etes-vous certain que votre contrat n'en fait pas partie ?
Mon conseil : il va être court... Fuyez !! L'un de nos spécialistes confie que, selon lui, la probabilité d'une telle situation est élevée dans les six à 18 prochains mois. Vous devez donc agir MAINTENANT pour vous couvrir contre ce risque.
Scénario de Krach n°4 : une série de défauts organisés
Quatrième et dernière hypothèse de travail pour notre stress test : les autorités économiques pourraient décider de tenter de prendre les choses en main. Elles mettraient en place une "retraite ordonnée", avec la mise en défaut volontaire et organisée de plusieurs dettes.
Eh oui ! La solvabilité d'un état ne se décrète pas. Il devient de plus en plus évident qu'il faut restructurer certaines dettes souveraines. "Restructurer", je le rappelle au passage, c'est le mot poliment employé dans les cercles de la haute finance mondiale pour dire "ne pas payer".
Quoi qu'il en soit, les marchés doivent anticiper. Ils commenceraient à organiser l'après-2013 dès l'année prochaine Ils réapprécieraient le risque souverain, provoquant ainsi une nouvelle courbe de taux, associée à une nouvelle hiérarchie.
Dans un tel cas de figure, mon équipe a découvert que les pertes pourraient atteindre entre 8,41 milliards à 48,03 milliards d'euros de pertes pour les cinq plus grandes compagnies d'assurance-vie françaises.
L'une d'entre elles est exposée à hauteur de 1 400 millions d'euros rien qu'à la dette de la Grèce et du Portugal... tandis que chez une autre, les obligations des PIIGS représentent 9 600 millions d'euros.
Mon conseil : dès que vous entendez le mot "restructuration", prenez garde ! C'est le signe que les choses commencent à se précipiter. Si vous avez un contrat d'assurance-vie, vérifiez son exposition à la dette des pays fragiles... et surtout, préparez une solution de repli.
Mais il ne suffit pas de tirer le signal d'alarme. Vous alerter sur les dangers que vous encourez, c'est bien... vous aider à vous en protéger, c'est mieux.
C'est pour ça que nos rédacteurs ne se sont pas "limités" à ces mois d'investigation. Ils ont aussi mis sur pied une stratégie globale, avec des recommandations concrètes et des conseils solides pour que vous puissiez agir dès maintenant pour la sauvegarde de votre patrimoine.
Dans quelques instants, je vous en dirai plus sur ces conseils -- et sur la marche à suivre pour obtenir votre rapport spécial Votre assurance-vie est en danger.
Mais avant, permettez-moi de vous présenter les spécialistes qui ont élaboré ce rapport -- ne serait-ce que pour les remercier publiquement du travail de titan qu'ils ont accompli ces derniers mois.
Trois spécialistes pour un rapport exclusif
Je ne vais pas mâcher mes mots : sans Mory Doré, vous n'auriez pas toutes ces informations à portée de clic. Mory "fait partie du système" -- il travaille dans la finance depuis près de 11 ans. Il sait donc de quoi il parle... et je suis fermement convaincue que c'était LA personne à qui confier un tel travail d'investigation.
Mory est en effet actuellement responsable du département des Risques financiers au sein de la Direction des risques d'une grande banque mutualiste. Il fait partie des interlocuteurs privilégiés de gestion financière et des risques financiers auprès de différentes instances et institutions : commissaires aux comptes, Banque de France et Commission bancaire, Comité d'audit et Comité d'entreprise.
Il possède un diplôme de statisticien économiste de l'Ecole nationale de la statistique et de l'administration économique ainsi qu'une maîtrise d'Econométrie de l'Université de Bourgogne (Dijon).
Mory Doré est un personnage courageux, lucide et compétent. Il fait partie des rares individus qui savent prendre de la hauteur par rapport aux évènements et prendre le temps d'y réfléchir.
J'espère vraiment que vous ne manquerez pas cette occasion de découvrir ses conclusions sur l'état alarmant de l'assurance-vie en France.
Mais Mory n'est pas le seul intervenant dans le rapport Votre assurance-vie est en danger. Il y a aussi Yves Gambart de Lignières.
Cet ingénieur est titulaire d'un mastère en finance de l'ESCP et major du premier DES de Gestion de Patrimoine mis en place par la Chambre des indépendants du patrimoine.
Il a obtenu la certification CGPC de l'Association française des conseils en gestion de patrimoine (affiliée au Certified Financial Planner Board of Standards et à l'International CFP Council) ainsi que la norme ISO 22222 et l'agrément "conseiller en investissements financiers", auprès de l'Autorité des marchés financiers.
Si je vous cite tous ces titres, acronymes et diplômes, ce n'est pas pour le plaisir de faire ronfler les états de service d'Yves... mais bien pour vous montrer que par son expérience et ses connaissances, il peut vous donner des conseils concrets, solides et utiles qui vous aideront à protéger ET développer votre patrimoine... même quand le "placement préféré des Français" fait défaut.
Et enfin, Frédéric Laurent a participé à la rédaction de ce rapport exclusif. Si j'ai fait appel au rédacteur en chef de la lettre Vos Finances, c'est parce qu'il travaille depuis plus de 20 ans dans la gestion de patrimoine.
Il a fait ses débuts dans une société d'assurance avant de s'intéresser de plus près à la finance et aux marchés. Il a alors travaillé pendant quelque temps pour Merrill Lynch, puis s'est exilé au Luxembourg, où il a appris jusqu'aux moindres détails de la gestion de fortune et de patrimoine.
Frédéric a ensuite fondé sa propre société de gestion de patrimoine. Cela lui permet de mener ce qu'il considère comme une véritable mission : aider les investisseurs comme vous à prendre réellement soin de leur épargne -- la protéger, la faire croître quoi qu'il arrive... sans prendre de risques inutiles.
A eux trois, Mory, Yves et Frédéric ont élaboré ce que je considère comme un document exceptionnel, qui vous ouvrira les yeux sur les risques qu'encourent les plus grandes compagnies d'assurance-vie françaises (et les autres, par extension). Préparez-vous à être surpris... choqué... et surtout à AGIR.
Parce que si nos analyses se révèlent correctes, vous n'avez que quelques mois devant vous pour appliquer une stratégie de protection efficace.
Mettez votre propre "fonds de couverture" en place !
Evidemment, je ne vous propose pas de devenir professionnel de la finance et de lancer votre hedge fund à l'assaut des marchés. Par "fonds de couverture", je veux dire une solution alternative à votre assurance-vie. Attention, je ne vous recommande pas non plus d'abandonner votre contrat actuel toute séance tenante.
Simplement, nos trois spécialistes ont soigneusement élaboré une stratégie de diversification. Ils vous la décrivent concrètement, pas à pas, dans le rapport Votre assurance-vie est en danger. Grâce à leurs recommandations précises, vous pourrez notamment...
Faire les bons choix pour votre allocation d'actifs : si l'assurance-vie n'est plus aussi sûre, vers quoi vous rabattre ? Quels placements, quels secteurs ? Vous trouverez des éléments de réponse dans notre rapport exclusif.
Je vous l'ai dit il y a quelques lignes, de lourdes menaces pèsent sur l'Europe et, par conséquent, sur l'euro. Un placement ne peut que profiter de cette déconfiture potentielle de la monnaie-papier : l'or. Nous vous révélerons nos deux moyens favoris pour vous positionner sur le métal jaune.
Pendant que l'Europe sombre... une autre partie du monde est en train d'émerger : là encore, dans un souci de diversification et de rendement, nos spécialistes ont sélectionné pour vous trois fonds d'investissement solides et sains.
Un patrimoine ne serait pas complet sans investissements dans l'immobilier. Et là aussi, pas question de vous laisser "dans l'ombre" : vous pourrez faire votre choix parmi les quatre placements que nous avons choisis -- pour assurer à votre "fonds alternatif" une base solide.
Ce n'est pas tout, bien entendu -- mais si je vous décrivais en détail tout ce que vous trouverez dans les 87 pages du rapport Votre assurance-vie est en danger... nous y serions encore demain.
Je me contenterais de dire qu'après en avoir tourné la dernière page, vous aurez toutes nos informations sur l'état des plus grandes compagnies d'assurance-vie françaises... les risques qu'elles encourent selon les scénarios de notre grand stress test... les menaces que cela fait potentiellement peser sur votre épargne... et surtout une stratégie complète pour réagir.
Je le répète, je ne fais pas d'"économie-fiction". Nous ne nous sommes pas lancés dans des élucubrations basées sur du vent, destinées uniquement à faire peur.
Transparence et sérieux ont été nos mots d'ordre : tous les chiffres que nous avons utilisés sont disponibles et accessibles au grand public. Nos hypothèses et nos scénarios sont basés sur des tendances déjà en marche. Je vous rappelle aussi qu'ils ont été élaborés par un spécialiste du risque financier.
Alors bien sûr, nous n'avons pas de boule de cristal. Nul ne sait ce que vont faire les marchés demain (sans parler de la BCE !). Et si quelqu'un vous affirmait qu'il peut savoir ce que nous réserve l'avenir économique... je vous conseillerais de fuir rapidement !
Il se peut tout à fait qu'aucun de nos scénarios ne se concrétise. J'avoue même que je préférerais ça... parce que les alternatives sont potentiellement désastreuses, comme vous le découvrirez à la lecture de nos analyses.
Réfléchissez-y en ces termes :
S'il ne se passe rien et que votre assurance-vie continue son bonhomme de chemin... au pire, vous aurez mis en place une stratégie alliant diversification d'actifs, recherche de rendement et protection de votre épargne.
En revanche, si ne serait-ce qu'un seul des événements que nous prévoyons -- sur des tendances qui sont déjà en marche -- se produit... eh bien, vous aurez pu prendre des mesures efficaces pour vous protéger.
Rien que lire Votre assurance-vie est en danger vous fera prendre une bonne longueur d'avance en vous mettant au courant de l'urgence d'agir.
Et si tout ça ne vous a pas encore convaincu... j'aimerais attirer votre attention sur un dernier petit détail.
Rentabilité en baisse et tarification en hausse :
est-ce le programme que vous envisagiez
pour votre épargne en 2011 ?
Vous vous en doutez, les compagnies d'assurance-vie ne pourront pas rester les bras croisés si l'un ou plusieurs de nos scénarios de krach se concrétisent.
Elles vont devoir imputer des pertes et lever des capitaux pour restaurer leur solvabilité. Et ces levées de fonds vont leur coûter plus cher puisque, selon nos hypothèses, les taux montent -- et dont le coût de l'emprunt pour les institutions financières.
Mais pensez-vous que, dans ce cas de figure, les épargnants laisseront leur argent dans des assurances-vie considérées comme plus risquées et moins attractives alors qu'on claironne partout que les taux montent ?
Non. En toute logique, une vague de rachats devrait se produire. Et ce sera l'enclenchement d'un véritable cercle vicieux : inquiets devant la débâcle des obligations d'Etat, les investisseurs chercheront à sortir de leur assurance-vie... les assurances devront vendre leurs titres d'Etat... aggravant la crise obligataire et engrangeant des moins-values... ce qui affolera encore plus les assurés... et ainsi de suite.
Le réflexe naturel de nos assureurs sera de compenser leurs pertes sur les résultats de leurs actifs financiers par une hausse de la tarification... et par une baisse de la rentabilité.
Selon les calculs de Mory, vous pourriez ainsi perdre plusieurs points de base sur le rendement de votre épargne.
Et je signale au passage que si les choses se gâtent vraiment, vous n'êtes pas du tout certain de pouvoir racheter votre contrat d'assurance-vie.
Comme vous le découvrirez dans le rapport Votre assurance-vie est en danger, une disposition légale permet de suspendre le paiement des valeurs de rachat "si les circonstances l'exigent".
Résumons-nous : des dangers qui se précisent... des compagnies fragilisées... une rentabilité en baisse... des frais en hausse... des conditions de rachat qui peuvent être suspendues en temps de crise...
Il est temps de prendre les choses en main pour votre épargne. Maintenant.
Le Portugal fait déjà douter les marchés,
certaines compagnies commencent à parler de recapitalisation, bref... le temps presse :
n'attendez pas pour agir
Commencez par lire attentivement analyses approfondies et les conclusion que vous découvrirez dans le rapport spécial Votre assurance-vie est en danger, rédigé par nos trois spécialistes.
Vous y découvrirez...
Tous les résultats de notre stress test exclusif, sous forme de tableaux simples et précis, compréhensibles en un coup d'oeil.
Des explications claires et ultra-complètes pour comprendre nos hypothèses de travail, les scénarios utilisés et leurs implications pour votre argent.
Des recommandations précises et soigneusement sélectionnées pour vous aider à mettre en place une vraie stratégie de couverture et protéger ainsi votre patrimoine.
Des annexes détaillées avec les chiffres et les données sur lesquels nous nous sommes basés, pour une transparence TOTALE de notre démarche.
... et de nombreuses autres analyses et informations aussi passionnantes qu'essentielles pour mieux gérer votre épargne dans les difficultés qui nous attendent sans le moindre doute.
Croyez-moi, le danger est bien là ; si la crise que je vous ai décrit dans ce message se matérialise -- et nous pensons vraiment que ce sera le cas, car tous les indices pointent vers une telle issue --, aucune compagnie ne sera à l'abri.
Je n'insisterai jamais assez : c'est maintenant qu'il faut agir. Pour recevoir le rapport Votre assurance-vie est en danger pour la somme totale de 147 euros, c'est très simple : il suffit de cliquer sur Je Commande. Dès votre commande enregistrée, nous vous enverrons immédiatement votre rapport par e-mail, en version PDF.
Maintenant, vous avez le choix.
Soit vous préférez fermer les yeux... et vous dire que tout ira bien parce que "les autorités ont la situation bien en main". Dans ce cas, je ne peux rien pour vous.
Soit vous prenez conscience dès à présent de la réalité des faits -- et vous agissez en toute lucidité pour mettre votre argent à l'abri du rouleau-compresseur qui se dirige sur le secteur de l'assurance-vie français.
J'espère sincèrement pouvoir vous y aider grâce au rapport Votre assurance-vie est en danger.
N'attendez pas pour le découvrir en cliquant sur Je Commande ci-dessous. Si nous avons raison, vous n'avez que quelques mois pour mettre votre stratégie de couverture en place.
Meilleures salutations,
Simone Wapler
Rédactrice en Chef
MoneyWeek
PS : Notre stress test exclusif sur les cinq plus grandes compagnies d'assurance-vie françaises pourrait faire toute la différence pour votre patrimoine en 2011.
Selon nos spécialistes, c'est le secteur tout entier qui est en danger, alors si vous avez un contrat d'assurance-vie... je vous recommande vraiment d'agir MAINTENANT. Il suffit de cliquer pour commander votre exemplaire du rapport Votre assurance-vie est en danger.
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