1ère usine de recyclage de batteries à Ain Oussara: Recylex détient 33% du capital sans débourser un centime
Le Groupe mondial Recylex s’apprête à ouvrir son premier centre en dehors de l’espace européen à la fin du mois de décembre 2008. L’usine sera installée à Ain Oussara pour traiter et recycler les batteries usagées.
Le Groupe participera au capital de la société algérienne détentrice du projet à hauteur de 33% avec zéro centime d’investissement pour le traitement annuel de 20 mille tonnes de batteries de véhicules. Les métaux propres qui seront extraits seront acheminés vers l’Europe alors que les déchets seront rejetés dans la ville de Ain Oussara.
L’information est rapporté dans un communiqué publié par le Groupe Recylex, une société multinationale domiciliée en France, en Allemagne et en Belgique. Il s’agit d’une société pionnière dans le monde dans le domaine du traitement et du recyclage des batteries usagées et qui a choisi un partenariat avec l’Algérie pour sa première expérience hors de l’Europe. Eco Recyclage, de droit algérien, est issue de ce partenariat.
Le Groupe détient 33% du capital en échange du savoir-faire et n’a investi aucun centime dans le projet. Les autres partenaires dont un privé algérien spécialisé dans le recyclage et l’approvisionnement, et une société française de récupération des métaux détiennent le reste des actions.
La capacité de recyclage pour la première année, en 2009, sera de 20 mille tonnes de batteries usagées. Il semblerait qu’il s’agisse du recyclage, dans un premier temps, des batteries existant sur le marché algérien, si l’on considère que 20 mille tonnes sont les restes du parc automobile algérien estimé à 4 millions de véhicules par an.
Mais comparé à la capacité du Groupe qui traite 130 mille tonnes annuellement en Europe, on peut supposer que le centre de Ain Oussara accueillera dans le futur de vieilles batteries importées en provenance d’autres marchés comme ceux des pays voisins ou africains, d’autant plus que la décision de transfert de l’activité de Recylex en dehors de l’Europe à commencer par l’Algérie est une sorte d’expérience pour le Groupe afin de tâter le terrain de marchés vierges jamais encore exploités
1ère usine de recyclage de batteries à Ain Oussara: Recylex détient 33% du capital sans débourser un centime
Le Groupe mondial Recylex s’apprête à ouvrir son premier centre en dehors de l’espace européen à la fin du mois de décembre 2008. L’usine sera installée à Ain Oussara pour traiter et recycler les batteries usagées.
Le Groupe participera au capital de la société algérienne détentrice du projet à hauteur de 33% avec zéro centime d’investissement pour le traitement annuel de 20 mille tonnes de batteries de véhicules. Les métaux propres qui seront extraits seront acheminés vers l’Europe alors que les déchets seront rejetés dans la ville de Ain Oussara.
L’information est rapporté dans un communiqué publié par le Groupe Recylex, une société multinationale domiciliée en France, en Allemagne et en Belgique. Il s’agit d’une société pionnière dans le monde dans le domaine du traitement et du recyclage des batteries usagées et qui a choisi un partenariat avec l’Algérie pour sa première expérience hors de l’Europe. Eco Recyclage, de droit algérien, est issue de ce partenariat.
Le Groupe détient 33% du capital en échange du savoir-faire et n’a investi aucun centime dans le projet. Les autres partenaires dont un privé algérien spécialisé dans le recyclage et l’approvisionnement, et une société française de récupération des métaux détiennent le reste des actions.
La capacité de recyclage pour la première année, en 2009, sera de 20 mille tonnes de batteries usagées. Il semblerait qu’il s’agisse du recyclage, dans un premier temps, des batteries existant sur le marché algérien, si l’on considère que 20 mille tonnes sont les restes du parc automobile algérien estimé à 4 millions de véhicules par an.
Mais comparé à la capacité du Groupe qui traite 130 mille tonnes annuellement en Europe, on peut supposer que le centre de Ain Oussara accueillera dans le futur de vieilles batteries importées en provenance d’autres marchés comme ceux des pays voisins ou africains, d’autant plus que la décision de transfert de l’activité de Recylex en dehors de l’Europe à commencer par l’Algérie est une sorte d’expérience pour le Groupe afin de tâter le terrain de marchés vierges jamais encore exploités
RECYCLEX A T ELLE DE BONNES POSSIBILITES COMPTE TENU DE CETTE NEWS DE SE RESAISIR ,??
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