Bonjour Pierre,
Pour le moment, Saint-Gobain ne veut pas lâcher le morceau. C’est la famille Burkard qui a approché les dirigeants du groupe français, à l’automne 2014, les cinq enfants, dont un seul seulement travaillait dans l’entreprise, n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur la conservation de leurs titres. Mais le feuilleton risque donc de durer pour Saint-Gobain et la tâche s’annonce rude. Il a en face de lui les plus grands investisseurs institutionnels suisses mais aussi des grands fonds anglo-saxons, qui sont en pointe sur ce dossier. Des structures qui ne sont pas effrayées par des procédures contentieuses lourdes et onéreuses.
Bonne journée