Monsieur.
Hier au soir, vous écrivez dans votre envoi journalier "Le CAC40 s'installe durablement au-dessus des 4 100 points". Mais dans le même temps, vous répétez qu'une chute du CAC n'est pas impossible. Ce matin, vous soulignez le (possible) krach obligataire. Je suis perplexe. N'est-il pas?
Très cordialement.
RD
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