I/ Cher Monsieur, Je vous suis très reconnaissant de votre patience à mon égard et de vos réponses circonstanciées, comme à l'accoutumé. Vous êtes le seul financier dont j'apprécie le franc-parler et la justesse des analyses souvent prédictives. J'achèterai votre livre et votre fils a bien de la chance d'avoir un papa aussi avisé. L'avocat co-créateur de la loi TEPA, recommandé par la banque d'Orsay, a accepté de s'occuper de mes nombreuses affaires pour en évaluer les chances de succès. J'alerterai peut-être aussi en dernier recours mon cousin, conseiller technique de Mme LAGARDE. Car dans l'affaire de la 1ère banque BPSD qui nous a coûté 2,5 millions EUR, ni mon frère handicapé ni moi n'avons signé de profil à 90% de risque en titres vifs. Seul mon père âgé s'est fait abuser (on lui a extorqué une signature après 20 ans de gestion privée inexistante. C'est trop facile). A moins qu'il ait signé pour nous 3 puisqu'il est l'usufruitier, mais il ne s'en souvient plus et n'a rien gardé.
II/ La nouvelle banque préconise à mon père une donation-partage en ma faveur APRES rachat des contrats d'assu-vie multisupports en UC démembrés (moins-value) de notre courtier indélicat. Ce dernier dit que c'est folie et très cher. Le fait est que mon père n'aura aucune réduction d'impôts s'il me fait donation de son vivant au-delà du montant exonéré car il a plus de 80 ans (il veut rééquilibrer compte tenu de l'avantage pris par mon frère). QUESTION : Après notre annonce de le quitter, le courtier propose son 1er arbitrage en 3 ans, une fois que le mal est fait alors que je voulais rompre avec lui fin 2007. La banque, elle, propose le rachat des contrats d'assu-vie (actions internationales) puis la donation-partage avec taxation au-delà de l'abattement. Quel conseil suivre : l'arbitrage (courtier) ou le rachat de ses contrats avec donation-partage taxée (banque) ?
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